xcàj T A
Inconvénient qui réfulte de la différente
réfrangibilité du verre & de
l’eau, 492. Etant compofés d'un
grand nombre de glaces planes,
feraient prefque autant d’effet que
les glaces courbées, & feraient d’une
exécution plus facile & d’une moindre
dépenfë, 49 j. Leur conftruc-
tion & defcription , j 14 & 51 5.
.Mo uvement {le) appartient dans
tous les pas, encore plus à l'attraction
qu’à l’impulfîon, y ,
N
■ N"atuTie (la) peut produire par le
moyen de l’eau, tout ce que nos
Arts produifent parle moyen du feu,
1 1 6. Elle ne fe dépouille jamais de
fes propriétés en faveur d’une autre
d’une manière abfolue, c’eft-à-dhe,
de façon que la première n’influe en
rien fur la féconde, 289.
JJ E w T O N. Correction à flaire d’un
paflàge de Newton, au fujet du
progrès de la chaleur, j 5 3 «ÿ* fuiv.
J jl t R E ( le ) doit fon origine aux
matières animales ou végétales ^49.
Contient une prodigieufe quantité
d’air & de feu fixes. — Explication
de là combuftion, ibid. & fuiv.
O
O bjets. Moyens d’apercevoir fans
lunettes les objets de très-loin, 479.
B L E
O m b r e s . Découverte des ombres
colorées , 5 1 7 & fuiv. Ombres
colorées au lever & au coucher du
Soleil__J_.es ombres au lieu d’être
noires, font alors d’un bleu plus ou
moins vif, & quelquefois verdâtres.
■— Ombres colorées à midi & à
d’autres heures du jour, à de centaines
inclinaifons de la lumière,
53 6 ü" fuiv. Explication de ce
phénomène, 538.
O R (1’) qui eft deux fois & demi plus
denfe que le fe r , perd néanmoins
fit chaleur un demi-tiers plus v ite ,
289. Etant fondu avec un quart de
fer, prend la couleur grjfe de la
platine,3 0 9 . Cet or mêlé de fer,
eft plus dur, plus aigre & fpécifi-
quement moins pelant que l’or pur,
ibid. Les paillettes d’or que les Ar-
pailleurs rarnaflent dans les fables,
ne font pas de l’or pur, il s’en faut
fouvent plus de deux ou trois karats
fur vingt-quatre, 3 1 1 . Un morceau
d’or pelant fbixante grains, avec
lequel on avoit mêlé , par la fonte,
fix grains de fer, c’eft - à - dire, un
onzième étoit attirable à l’aimant,
3t2.
P
P er pen d ic u la r it é (la) de la
tige des arbres & des plantes, a
pour caufe principale les émanatipns
confiantes
d e s M a
i confiantes de la chaleur propre du
globe de la Terre, -35.
P h lo g istiq u e (le) desChimiftes
n’eft qu’un être de méthode & non
pjsde la Nature,44. Ce n’eft point
un principe fimple, mais uti com-
pofé d’air & de feu fixés dans les
corps ; preuves de cette aflêrtion,
ibid. & fuiv.
P h osphore artificiel, fit combufti-
bilité plus grande que celle d’aucune
autre matière. — II s’enflamme
de lui-même fans communication
- d’aucune matière ignée, fans frottement
, fans autre addition que celle
du contaél de l’air. .— Le feu eft
contenu dans le phofphore dans
un état moyen entre la fixité & la
volatilité. — Il contient en effet, cet
élément fous une forme obfcure &
condenfée , 50 ù" 51.
P i E R R E‘s calcaires ( les ) perdent au
feu près de la moitié de leur poids
par la calcination, 105. Elles ne
font en très-grande partie que de
l’eau & de l’air contenu dans l’eau,
transformés par le filtre animal en
matière folide, 10 6. Les pierres
augmentent de pefànteur par la
longue application de la chaleur,
389 fuiv. La dureté que les
pierres calcaires peuvent acquérir
par la longue application de la chaleur
n’eft pas durable, elles perdent
Supplément. Tome 1.
’ I ' . È r e s- xxïïj
; cette dureté acquife au bout de
quelque temps,394. Elles perdent
de même leur pefànteur acquife,
ibid.
P l a t i n e . Minéral nouveau, là
defcription, 301. Elle.exige plus
de chaleur pour fe fondre que la
mine ou la limaille de fer, ibid.
N ’ayant ni fufibiliré ni ductilité, elle
ne doit pas être mife au nombre des
métaux, dont les propriétés effen-
tielles font la fufibiiitç& la duélilité,
302. La platine eft un mélange ou
un alliage de fer & d’or formé par
la Nature, 303. II y a beaucoup
de fer dans ce minéral, êc ce fer
n’y eft pas fimpfement mêlé, mais
incorporé de la manière la plus
intime, ibid. On peut en enlever
fix feptièmes du total par l’aimant,
ibid. , Sa compofition & fon mélange
, 3 04. Le fer qui eft uni à la
platine & même celui qui n’y eft que
mélangé, eft dans un état différent
de celui du fer ordinaire, 1 o j . Ce
minéral eft très-aigre, ce qui aurait
dû faire foupçonner que ce n’eft
point un métal, mais un alliage,
309 à?fuiv. La pefànteur fpécifique
de la platine n’eft pas à beaucoup
près aufii grande que celle de l’or.
—-Diverfes expériences à, ce fujet,
defquelles il réfulte que la pefànteur
fpécifique de la platine eft d’un 1 Bbb b