ïes globes de fer, de ce qu’il en
faut pour les refroidir au point de
pouvoir les tenir dans la main, &
environ la quinzième partie & demie
du temps qu’il faut pour les refroidir
au point de la température actuelle,
159.
C h a u x (la) faite avec des coquilles,
cil plus foible que la chaux faite
avec du marbre ou de la pierre dure.
— Explication des différens phénomènes
que préfente la calcination de
fa chaux, 106 & 107. La chaux
qui si LviS>i Line longue câlcinauon,
contient une plus grande partie
d’alkali, 1 t 2. Moyen facile de faire
de la chaux à moindres frais, 3 8 6.
Différence de la chaux faite à un
feu lent, ou Amplement avec la
chaleur obfcure, & de la chaux faite
à la manière ordinaire, 387.
C h im ie . Défauts de fa théorie, j j .
D ’où provient l’obfcurité de cette
fcience, 7 5 & fuiv.
C o m b u s t ib l e s . Les matières
combuftibles ne fè confument pas
dans des vaiffeaux bien clos, quoi-
qu’expofées à I’aélion du plus grand
feu ,3 8. On peut mefurer la célé-.
rité ou la lenteur avec laquelle le
feu confume les matières combuftibles
, par la quantité plus ou moins
grande de l’air qu’on lui fournit, 4 1 .
Matières combuftibles qui paroiflênt
n’avoir pas beloin d’air pour fe con-
fumer, 4a . Explication de la manière
dont fe fait la combuftion de
ces matières, ibid. Différences des
matières combuftibles & non combuftibles
, ibid. Rapport des matières
combuftibles avec le feu, 43 ù “
fuiv. Différence effentielie entre les
matières volatiles & les matières
fixes, & entre les fubftances plus ou
moins combuftibles, 44.. Toutes
les matières combuftibles viennent
originairement des animaux ou des
végétaux; preuve de cette affertion,
4 6 & fuiv.
C ombu stio n. Explication de la
manière dont s’opère la combuf-
tion, '4-1 & fuiv. Ce qu’elle fup-
pofe de plus que la volatiiifation,
43. Ses effets comparés à ceux de
la calcination , 7 1 . La combuftion
& la calcination font des effets du
même ordre, ibid.
C omètes. Correélion à faire à l’efi
time que Newton a faite de lachaleur
que le Soleil a communiquée à la
comète de 168.0, page 160. Cette
comète n’a pu recevoir le degré de
chaleur affigné par Newton, il
auroit fallu pour cela qu’elle eût
féjourné pendant un très-long temps
dans le point de fon périhélie ,162.
Explication de l’origine de ce, que
l ’on appelle les queues des comètes,
165. Lorfque les comètes approchent
du Soleil, elles ne reçoivent
pas une chaleur immenfe , ni très-
ïong-teinps durable ; leur féjour eft:
fi court dans le - voifinage de cet
aftre, que leur maffe n’a pas le temps
de s’échauffer, & il n’y a guère que
la partie de la furface expofée au
Soleil qui foit brûlée par cet inftant
de grande chaleur, ibid.
C o n g é l a t io n (la.) paroît pré-
fènter d’une manière inverfè les
mêmes phénomènes que l’inflammation,
1.03.
C o q u illa g es, (les) ont produit
toute la matière calcaire qui exifte
fur le globe terreftre, 1 0 4 ^ 105.
C o q u illes. Accroiflêment & multiplication
des coquilles, i o j .
C orps. Un corps dur &abfolument
inflexible , fèroit néceffairement
immobile , c’eft-à-dire, incapable
de recevoir ou de communiquer
le mouvement, 2. Les corps s’échauffent
ou fe refroidiffent d’autant
plus vite qu’ils font plus fluides &
d’autant plus lentement qu’ils font
plus folides, 171.
C ouches de la terre. Les couches
• voifines de la furface du globe
font les feules qui étant expofées à
l’aétion des caufes extérieures, ont
fubi toutes les modifications que ces
caufès réunies à celle de lachaleur
■ inférieure auront pu produire par
leur aéliori combinée, c’eft-à-dire,
toutes les formes des fubftances
minérales , 3 7 .
C ouleurs en général. Moyens de
les produire, 317. Chaque couleur
différente a un degré différent de
réfrangibilité. — Pourquoi les dénominations
de toutes les couleurs
doivent être réduites à fept, ni plus
ni moins, j 1 8 & fuiv. Le rapport
entre les fept efpaces qui contiennent
les couleurs primitives & les
fept intervalles des fept tons de la
Mufîque, n’elt qu’une proportion
de hafàrd dont on 13e doit tirer
aucune conféquence, 5 2 0 . . Elles
font produites par la réflexion de
la lumière, auffi - bien que par la
réfraétion, 5 2 5 ù “fuiv,
C o u l eu r s, (les) odeurs, faveurs,
proviennent toutes de l’élément du
feu; preuves de cette affertion, 112.
C o u l e u r s accidentelles. Découverte
des couleurs accidentelles,
j 1 5 rir fuiv. Rapports & différence
des couleurs naturelles & accidentelles,
528 &fuiv. Moyens de les
produire, & expofition des phénomènes
qu’elles préfèntent, 528.
Expériences lur les couleurs accidentelles
faites fur des couleurs naturelles
mattes, & fur des couleurs
naturelles brillantes, 5 3 1 . Les taches
Z z z ij