deux inftrumens de même efpèce,
cm plutôt ce n’eft que le même
infiniment qu’elle manie dans deux
fens oppofés, r j .
F o urneaux. Le feu des fourneaux
de verrerie, n’eft qu’un feu foible
en comparaifbn de celui des fourneaux
à foufflets, 64. Defcription
du fourneau pour courber des glaces
avec l’explication des figures, 505
& fuiv.
F o y e r s . Dans les miroirs ardens,
les grand foyers font toujours beau-_
coup plus d'effet que les petits à
égale intenfité de lumière, 4.10.
Évaluation & comparaifon de leurs
effets, 441 & fuiv.
F u s ib il it é . Explication des caufès
de la fufibilité, 29 t.
FUSION (la) eft en général une
opération prompte qui a plus de
rapport avec la vîteflè du feu que la
calcination qui eft prefque toujours
lente, 378.
G
^ jLA C E . Phénomènes remarquables
dans la congélation, 103.
G laces ou Miro ir s (les) de verre
bien polis ou bien étamés, réfîé-
chiflènt plus puiffamment la lumière
que les miroirs de métal poli , 4 0 1 .
G laces ou Miroirs plans. Manière
iaifée de reconnoître fi la furface de
ces miroirs eft parfaitement' plane,
413.
G lobe terreftre. L ’intérieur du globe
de la terre n’eft qu’une matière de
verre ou concret ou difcret, 37.
G rès (le) chauffé au plus grand feu
ne perd que très-peu de fon poids ,
167.
G u E u L A R D .G ’eft ainft qu’on appelle
l’ouverture du haut des grands fourneaux
où l’on fond les mines de
fer, 372.
G yps & P lâtres (les) fè calcinent
a Un moindre degré de chaleur que
les pierres calcaires, 299. Us ne
fuivent pas, comme les autres matières
calcaires ou vitrefcibles, l’ordre
de la denfité, pour le progrès de la
chaleur, mais celui de la facilité à la
calcination, ce qui revient à l’ordre
de la fufibilité, ibid.
I
I m pén é t ra b il it é (1’) ne doit pas
être regardée comme une force,
mais comme une réfiftance eflèn-
tielle à la matière, 7 iffuiv.
Impu lsio n. La force d’impulfion
eft fubordonnée à la force d’at-
traélion, & en dépend comme un
effet particulier dépend d’un effet
général ; preuve de cette affertion,
2 i f fuiv.
I n c a n d e s c e n c e . Toutes les
matières, lorfqu’elles font dans un
état d’incandefcence, c’eft-à-dire,
lorfqu’elles font blanches ou rouges
de feu, font alors environnées d’une
flamme denfè, qui ne s’étend qu’à
une très-petite diftance, & qui, pour
ainfi dire, eft attachée à leur furface,
67. Cette couleur blanche ou rouge
qui fort de tous les corps en incan-
defcence & vient frapper nos yeux,
eft l’évaporation de cette flamme
dénié qui environne le corps en fe
renouvelant inceflàmment à fit fur-
. face, ibid. Incandefcence produite
par la chaleur obfcure , 3 8 5 .
I N F L E X I O N (1’ ) de la lumière n’eft
qu’une réfraction qui s’opère dans
le même milieu; elle eft produite
par l’attraction des corps, auprès
defquels paffè la lumière, > 2 ;.
I n t e n s i t é de lumière. Cette intenfité
de la lumière de chaque objet,
eft un élément que les Auteurs
qui ont écrit fur l'Optique, n’ont
point employé, & qui néanmoins
fait plus que l’augmentation de
l’angle fous lequel un objet doit
nous paroître, en vertu de la courbure
des verres, 43 4.
L
I j E N t i l l e s de verre Jblide, 4 9 7 .
Grandeur & proportion qu’on doit
donner aux lentilles, pour qu’elles
puiffent brûler le plusavantageufé-
ment, 500 i f fuiv. Inconvéniens
qui réfoltent de l’épaiflèur des lentilles
ordinaires. La partie du milieu
de la lentille ne fait prefque aucun
effet , 501 .
L e n t i l l e à échelons, eft le miroir
par réfraction le plus parfait qu’on
puiflè faire. Son invention & fit defcription
, avec le calcul de fes effets,
5 02 i f fuiv. Comparaifon des effets
de eette lentille à échelons, avec
l ’effet des lentilles ordinaires, 504.
Sa conftrudtion & fa defcription,
î 1 3 & j 16.
L igne brûlante à l'infini ou à l’indéfini
, n’eft pas une rêverie comme
l ’a dit Defcartes, 43 1 àf fuiv.
L ima i l l e (la) de fer mêlée avec
de l’eau, devient une mafïè folide
difficile à caffer, 3 67.
LUMIÈRE . Toute matière peut devenir
lumière, chaleur & fèu , 1 1 .
Preuve de cette affertion, ibid. i f
fuiv. Elle conferve toutes les qualités
efléntielles, & même la plupart des
attributs de la matière commune,
ibid. Quoique compofee de parties
prefque infiniment petites, eft encore
réellement divifible, 1 2. Efhpefànte
comme toute autre matière. — Sa
fubftance n’eft pas fimple_Elle eft
compofée de parties de différentes
pefanteurs, ibid. Elle eft mafîîyeôc
A a aa ij