
 
        
         
		tme  légère/sapeur,  q u i’ne»  lui  fit  que  trop  soupçonner  t<9kt  ce  
 qu’il  aÿoit.à .craindre  *de  leette-fmorsùre.'Ji^el hâta  de  reprendre  le  
 chemin de  la  ville,: mais .déjà',toute  sa  jambe  étoîe duré  et  tendre;  
 le  genou'v^é- -plidrt^ àr. peiné.«  Pour  ralentir  l’action- du t-viijjft,  ilfpe  
 serra, -fartemeiit*  la- p iip g fa^ ^ sau s * du  genou  ;  vaine.' ligature  t  la  
 oip^e  elle-mêlue  se'^gon£|@gtJ.à?-vpe'  d’oejlt;  etrftout-1  ee  qtte^mon  
 malheureux  ami put  faire,  fut  detgagner  la maison.- En,y  arrivant,  
 il  s’étendit  sug^son  cadrer épuisé  de  fatigue  et  de  d’ouleuii4?:^>a;iu-  
 vant  déja-fies- premiers^  indices  d’une •fièvres violente.  J’étais: Absent  
 pgpcdars  d e là   ville;  mass  notre  médecin, M j^ h a r id ow ,« y  
 trouvent :Jl  accourut,  et.,  sans balancer*  il  cautérisa profondément  
 la,morsure  du  reptile;,- puis  appliquant  sur  Ja  blessure  uneisëàm,-  
 p^èsse'imbibée kl’ammoniaque  ,  il  -en/fi^nvëlef dune*. fonfee^Mèse  
 au  malade,;.et  lui  recommanda  de  garderie; plus  parfait  ffepôs.  
 Un.q55s.ueur  abondante  ne  tarda  pas ^ / é t a b li r  ^IfencfouleursKç  
 calmèrent ;  peu  de  jours  après.,  M.  Ucs^Bj/iR  n’eutudfauî&re  
 ressentiment  dg-'Sa  blessure :que  la  difficulté  de  -plier.' le  :genmi,  
 qtfii  -conserva  long-temps,  et  donpji^^^s^g,t^iêméiqi^fe^!i!éiois  
 encore,,  lors~d,es grandes  -variations  de  la- tenapj|ra'ture.^5^©;qu’i l   y  
 eut-de plus  remarquablêdans  cet’ accident,  ce^ffit  fg^tj^êmeiciu  
 poison»sunle  malad'e--:  telle  fut-  la  rapidité de  strokotidci-dSctèfee,  
 que,,  dans  la  soirée  du  jour où  M:  L e% eur Jut?m6ï.du, Æoute  
 l’extrémité  inférieure-correspondante  au  talon malade I#j tropyîêi t  
 dune  couleur verte de chair-corrompue.. .   .  QueJle.peut donc;étre  
 la nature  dejeesratomes  de  liqueur.,*susceptibles  d’introduire dans  
 l’économie  animale  des-modifications aussi: puissantes^ame  décomposition  
 aussi-iapide^aussi profonde.-. .   .  |  Get  accident  servit  à  
 |ustifiër.-à nos  yeux  la  pour  les  reptiles. 
 Dans  la partie, zoologique  de  nos  travaux,  nous  rêyiendrOsns  plus  
 particulièrement  sur  dèt  objet; et  nous, ferons  connoître  un  grand  
 nombre  de  çesjedoutables animaux. 
 L e   i j   septembre,  tous  nos  scorbutiques  étoient  entièrement 
 'tuais  upe^îmajadie,ffiien; plus -dangereuse 'avô it  commencé  
 s.çs^yfegçsb D ix- h u it  h - o m m è ^ îé t^ em ^ ^ u rtJ ^ c a d c e s ,  frappés 
 étpfefat 
 mon-ipiéressant  am i M .  J^b p p c m , m o n ilc ^% u o 4d-AErGÉ>lfe  bon  
 et-* 1 ah0Meux -Ri é p abattu -■par  la   
 maLadiçg^nafs en traîne Ipap èj^f,%«ye*»jj&o-ntin tto i t   encore ‘ïsjfsâ excu-r-  
 smt&s'i lointaines,  b rû la n t /et .meurtrier.' V ain em en t 
 j empjoyaiapjiùs*jri de,  iuû&Égxus - i ÿ f P l  s* j$ ié t ésMpar f l ’intéreM  et  
 pour  l j . C l ^ a g e r J q u e i q p e i   repjépif toutes  mes  
 pffliege^ftOut'ej^^liês de no tre médelcip^Aâ-  fe•>dbf^feUjà- L h Ar id oN ,  
 finenttfinm ^esildiaque  m atin  ‘diajdo<p5^ 4 ^  m e tto it 
 en-troU î  e stpio.u t> tal 1e r qinoiai^gll^^ ç©fife,ct’Ç|n;s^|s’ in qu i é t <to t - p eu  
 dgasa-maladif, -absorbé. to,mt  enti.ee/par  le,*de$ær<de  j«fi#fi,eu*|hon-o-  
 rafilè,çonfeneeed^RRÆ iUÆ E ^G ^sry^jet de l’fns%fiut...:.  Homme  
 q^timahfe‘'eai mai heureux  !  il e^*oyiï)itr ppuv.oir. i®on3ÿ ter ||uddà‘'force  
 to® n<   tem p é ra n ie n ts ^ ^O ^ ^ d é fà i  par. le mljmàt -des- Anti#ës>:  
 cômSen  ilè s ia & s iit i 
 -- Jp§pendan^;nQSj/inquii4tudè^ su;ç J,è-s®pt du Naturalisé dèvenoient  
 PI t^iwféc§:ïdej'j b 133s  ejuij ©Ut* ; > nfo uSj-ïn avions* en coté' -au c une /nouvelle  
 dçiti^thatimetiit.', j et jnom-%'nQUSi^rappej 1 ioits- tou>s *’aVè-é'rpjçineu  qu’au  
 moment’ on »nous de p e rd a n t  del-viiël,  f i pa r o iss oitr t  o nah e r\ sçl ùs!]J;é  
 ve*:r. p § | .R eptS etreuvoit-ifiété' afFaielsur  la  côte  p ar  la  violence  
 de ^a-;tepmf6e î - p eutiêtre  quelque autre  malheur- du  mémet genre 
 H é to it- il arrivéïdepu^m ptre longue séparation____ ’ C ette inceù; 
 titiid p  cruelle;.tourm entoit>tout.lè  monde;.- etsdéjà nonsççommen-  
 cious;  .à. i-perdre  l ’iespéranoeqd'e ; rejo in dre  nos  am is,-»lorsque,  le  
 2 ^-septembre yau  matin,, cJeK Naçutaüste ;fut. signale  p a r  -le  travers  
 de  la  baie  de^Goupangj  donnant  dans  la .passe» p.outW  en tre r.  
 Lalegrefese  fu t  générale,,,<et  h i entô t, m ous, fumes-jisé unis  à„mos  compagnons,. 
 qui ^  ne  nous  ayant  pas  trouvést<a,ux  deux  rendez-vous^  
 n étoienih pasf. eux -memes  sans  d e i ^iyes;  inquiétudes  sur  «notre  
 compte.