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 •à;peinede'l2.°  dates  l’an  yX  de  2.1,8°  dans TanTîïffét-dé  22“-dans  
 est  de^f^'à  i-4°t pour-  chacune  dévcesymêmes  
 années!  Le  plus  ordinairement,  elle  se  Soutient,  durant T é té , ;de  
 rteR-îà'-acShèt  durant  ithivert,-fféèi jdirirB. * Anà§f,  danæffdmtërGettè  
 partie ,de. l’rle^ èsttorTassez  gcüéralemçnt-.dans  f  usdgeff’allumèr■ du  
 feu Thiver ; des . nuits-feàr-t© ut -y y:fontlTkes-ff ardbes y e .t j ’yA-'âri  moit  
 même.sent«vivement  le besoin'd’êtrehïen  couvert'durant}lainuit.>. 
 Dans-la plaine  des PampIemoteSét,  la  température n’es ripas-plus  
 forte  qu’aux  plaines-de Wilhemset-de  jVfoekâà.  MHGÉRÉ,,.qui*penT  
 dant trente ans,  a suivfct&èigneusément fa marche  du  thermotiètre'j  
 m’a  dit: que  -cet  instrumentltffêds elè\le. 3 que?  très- rarement  jusqu’à  
 2'y0 ;’quêVèe  phénomène -.arrive  k  peine’ une • fois' tëusffeff ciîiq ans;  
 que plus  rarement encore’ 'H monte  k i z 6°, èt^quèffdateàMe* 'tderhier  
 Gâ&j'il  survient  presque  toujours,  à'fatuité dehesdchafètrrç extraom  
 diha.irds,  dést tempêtes .violentés, 'ou  même  déjà ouasagani.  Exposé  
 pfeiems fois|:de midiiàjune’ heure',  à ,faction  du;s^iêÉ£*SQn'thei?7  
 mamètr«ïhe>.sfest  pas  élevé, au-desshs^de 
 Cette  particularnéglremarqbable  du  peu  d’elévàtiôh  deTavtem1  
 pérmure  det l ’Ile^d^sFrance  dans  l’intérieur''desjaértjesî'nd^en^î)  
 1 .?«du  peu  d’étendue* de  l’île ■fr:Z*îrd& -son  isolement  au milieu jdès  
 iû!èàÉ^^i.°  de  la.nature  des^vehts^dominans;  jf#  doT^isïtéteQeodNs  
 montagnes assez élevées .qui couvrent une pârrie-dé?aa*sPrfaGé.; .5 ■. |edè  
 qui  dans  l’intérieur- sont- encore lafese%éÆteteduèS:i  
 6 °  de  la  fréquence  et  de  l’abomdancecdqs pluies.;  j&-  ,de  la milité  
 plfoité  des rivières  êt  des  sources,  qui  entretiennent  une .ffaîefiéuir  
 habituelle'dans  les-couches -inférieures  de  l ’atmosphère.:-. ’ 
 Au Port N;  0 .,  la  température est beaucoup plus  foÿte que dattes  
 le ireÿtfc de  l’île  :  enj effet-,.  d’après  unè- longue-suite :d’©,b9.erv'atfohë  
 faites  à fcet regard  par. M.  L islet^: ancien .correspondant  de;l’Académie  
 défesoiences,  ; lafchaleurqu’on  éprouve  dates 
 la  ville-du Port,  est annuellement .de  2 8 y. 29,  et même  de  2 9^ A 
 -§ 
 Le  thermomèfeh  ne  s’fesrireëpencjatet&fjamais yélevérjusqu a.  30°;  du  
 moShs  'M.  L is l e Ie  no.  la  spas, observé; lui-même  à, cette  dernière  
 •ha.iitëttr. ’Vlfesdmo-fti de i 'détepijbre:, -, janvier^ et  février .sont; les  plus  
 chauds.  C e   n’est  pas  sehiem'ent .par. sa^ternpérature plys. élevéë,  que  
 l ’atmosphère* du Port  N.JO.  est  i no© mm ode* ,et  fatigante;  elle Test  
 bien davantage encore parla%tg,gnationi dans  laquelle .trop  souvent  
 Ôlfêfsi^ô.utient, ëe quTprQvieptîlévidemment,  ainsi  q.uév sa.,chaleur  
 plus,  grande,  ;de  l’eaÿ)èèe,'■ ffête&afèWmé p t  profond  dans  lequel  ce  
 p'orritsè' tro% é  p lacé>  ceiteééd^ri®5^!^sparts pâm les montagnes,dp  
 laD;é<fouyér£è, duvPfjuee, du Pitter-ffoth et d elà Montagne-longue-;  
 d|é^ôSit‘jon par  suteffeldè laquelle |gj septrouiye pri#»„de  l’action imméi-  
 diate  de -. ces  vents-frais  et«* salutaires  dus  S.4}E^îet, du  S. -S h ET dont  
 jr-afi'ipârié. - j 
 Hdrs fentemps  des  ouragans; Te  baromètretse  soutient  ordinairement,' 
 dans* le  Port  N.  O .,  de,-27  potfees^p  lignes;  à  28  pouces  
 3  ëffmêrae'■ 4rhgteës'; mais  dans- les- plaines  plus, éleyées-yde  Mocka,  
 le.'Spêm'e instrument me*s’é|iVe£';quet!^rèst'EàiÉp®mtf  aùHdessus,  de  
 27 p éffces,  et  presque  toujours,il&ést  'aufvée^4®#s4de  ce  dernier  
 terme, f 
 f  a G pssAioîfeidérationS'sur d’état physiquejde  l’Ile-de-France ne sont  
 pas seulement importantes  à  comioa trie-«sous  je. -rapport  météorologique  
 proprement  dit, *  rattachent  encorç^d’une manière 
 immédiate-à  la saritéidé^hahkaÿrsî N. est-il  pas*fa,cile ‘de. concevoir,  
 en i effet,  dfaprès; 'les*' nombreussü§s * ^observations âjque  »je  viens4 de  
 rapporter  ie^lquerhair pluffj-yrf;  plus  frapriet plusfégpr  de Mocka,  
 ffesfjffaipes ' de Wiihems,-’ & c .,  convient  be^U^|tpvm'ieux  aux  péri  
 sonnés foible^aux individus convalesc-en-s, que l’atmosphère.étouffép  
 du Port Nv. O . !  que, par-laimême-raisonjtcet*air  trop v-if des plaines  
 de Wilhems-est tré^coétraire-, aux  individus qui portent .une poitrine  
 foible/eVdélieateî  et l’expêriQncesconhrmig^cr%^ë^oub,le  rapport,  
 le  raisonnement  et  l’analogie.' Malgré]-  ineonyiniént,  d  seroit  
 Lien  injuste  dfert&a  plaindre,,rpuisque'i'(^ÊsStvà,^ces<<mêmes  qualité? 
 Baromètre. 
 Salubrité.