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 leurs &jgffî|gj§k ^ttaques^njmêmeÿtjejajfps quais ^^ou-paient.notre ,veu-  
 geanceî.viu.-'t A   ;p e t t e ^ o u t r e  inespérée/,; ;tbutes  les .malbeu-reu$ps  
 ibnines  -qiii  parurent  éppavaneécsi;. lews  féroces 
 épquxiieur tancèrent des  regards.de colèæenet  de  rage,  qui■ n éteiçnt  
 guère propres à  le$i rassurer.  Après ;avoiddép.©sé le|» produits de, leur  
 pêche aux p ieds de  ees;fooinOTes, qui$nkâ.partagèrent 3us«c^saH:s  
 ieur  en  rien offrir,  elles  allèrent- eiies - mêmes  se  grouper* derrière  
 leurs maris ,  qui  Se vou voien t  assis  sprile  revers: .d’une grosse |§ |p   
 du sàbiev etdè^ p e s a n t  tout  le «s*e de  l’entresme",-ces  infontuniées  
 d é fè r e «  plus ni lever èes .yeux,, ni parler-,, nhaqurireq.  . . Mais  cerne  
 Sont-là  quelles  premiers  traits .du  tabkau .q u n ^ o ^  aurons f  ^présenter  
 ailleurs,’ . k  .  Peu de; jours  après ,».-j ous.lfe&fdais.ir de rencontrer  
 fâjnéiïie.femimpdont  il  vient dlptre  tanta de do idquenriQn  : J#PKJS  
 alors quelle zenvmm&NARRA^MAÏjNi.,,Mt  Petit  voulut,iJ^en, à  
 ma priè^Oy  en  faire % portrait,  qui  se.-trouve*dans  l’atlas,-et-qui,  
 Sousutous  les  rapports,  «st  .dune-iresserabianÊe  parfaite,  «©n*y  
 -retrouYe; k e n ,  si  je-ne  me  éHmpe,vse£  caraptèr®' d ’assurance  et  
 dedierté  qui distinguait  éminemment  cette démine,  de, toutes |ges  
 compagnes.  Lorsque je  la  rencontrai  la- dernière  fois,«elie-ipertoit  
 pn petit; enfant derrière- le  dosa  1 
 .Le  3  février,  je  descendis  encore  sur  iÜe Brumy  avecuuQÎside  
 Freyæinet  frères  et M*oNTBAz:Mkc.fnou%ne  
 tardâmes, -pas à. rencontrer  deux iemm#&^ q u s^ d u  seenmetsid’gne  
 montagne  voisine,  dirigeoient  leurs-  pas- vers  le  -bord, de»  la  ,nter.  
 Impatiens  de les  examiner  de  -plus près, mes.compagnons  
 dère-nt  à-leur  poursuite*  mais dvpeine,jls*^av6iept  fait- deux, cents  
 pas, quC  les  femmes  quils. ayoient;cru,p©UVod  aisément éteindre,  
 M ü h m  Ate§;-de « p e  ;4e  le .leur" avoâs  prédit  d’avance;, ^ n t y e u   
 déjà;  plusieurs  occasions  de  me  convaincre  .que  les  habit-ans  dç  
 nqes-bords  étoient  en  général  beaucoup.piaaaagdes  que  ncm§  à  ^   
 course.  F.n  nousvranproisbànt.  ’du  nous  trouvâmes-  un 
 ; r.trèé'-'gr^nd 
 très-grandifeu, qui-y^ansd.oute; allumé dans la nuit , brûloit  encore.  
 Autour  de  lui  se  pr4sentoient-5?d,iss,éçninés,au hasard,  presque  tous  
 lea objets  que  nous  avions donnés  .aux, naturels,  ou  que  ceux-ci  
 nous  ayQienti.YQlésd meme  au  péèÜ  de, leur.viec Nous en   avions  
 précédemment  reELQQntréhpIusjdu^s  aulnes y semés ,çà*  et  là  dans  les,  
 'ïnou.s^rèstâme^conYainQUis  qulapjçès  savoir..satisfait  une  
 curiosité puérile,0 $&\bo mmes  ignoruns^ueinburrassés,  pour  ainsi  
 dir-éL-, de  nos -bienfaitsen.abandonnoient l’objet aussitôt qu’il avoit  
 cea&çde leur. plair&iOjU  devins .amuser:. ; 
 Qépendant,Jôutesmyos.Opératiop^jà lau&rrede Diémen se troua 
 ie n t  à  leuriàerme ; n||$fe  provision  de  bé;%;é,t0it;j faite ; la petite  
 rivière  qui  cpplp  dans  fe  fonds d„u pQEt-duuN.  O. nous ayQiwfuuHÂ  
 unMefesez- ,grande  quantité  d’eau,  cpti -nialheureù'sqjùfnt dtoit; un  
 pepis^umâtire, :1a. marche  des,m©nkeS/Uvoit  étpfféglée ; par  notre  
 Ml  Berlier  M.  Faure . étojt  dë sretoufi de  la 
 re^onnojs'S^ni^ej.intéressâpte^quif étoituallé>faire.dans  le,N. Eudu  
 c^nal-p-ct^surr lÉ^é^uk'ats de, laquelle,  il  tfstî  indispensable < d’insisteï  
 plps^particul-ierêmePt  ip*u^| ) 
 D  ans|,K&|^de.. 1 a  Baje.  du  Nord, gsj| trouve épdlquée^ sur  la ’carte  
 de Pamiral J I entrecâsteaux , une*soe©-nd©*haie, ,qnf,<soaiSjdç  nom  
 d,|,Baie  Frédénicik-Heh^^%Ya^’^uâ^r.d^ns-An® Troisième,  qui,  
 -siffipdetteo mêmevf carte y  pôrtèvia. »dénomination^ à&\ Bak  >Moerïon*  
 Léècanal  de^eommunicatiom-entre is’es:,4 eux  dernières»  baies,’,  se  
 tr©Ayant;.parfaitement  détermipé,part ia?n$E|Ê;' Frangdise-^lp3CEnn  
 mandant  expédia,  dèsïël.^^reniiers'fcj-nuFS'  de-  nepre  arrivée-dpns  
 §|_port  QfeéTngénieurrgéogr^be.'Mï’ÆÆPiRîE^Jiavec^I’ordre  de  
 reçonnoître  çev canal,  et  de s’assurer -sd  pourvoit, offrir  un, passage  
 suffisant  à  nos  paisseaux. 
 -Onze  jours furent emplo^ésiù  c,ette.Ee,connoissanoe,  de laquelle  
 il résulta, |r J   que  le  plamdejdrbaiq d^ ^ tàçd,  tel  quil  sé(tropve  
 dans^éa  carte- de  I^EnTR^A’STEAiux», »estpinpomplet  : M. /Faure  
 découvrit  en  effptfep|er®5sn^fond,  un  bassip  dleau  deqpeu;  de  
 /a  ïf èJViË  I,  '  '  K  k