
 
        
         
		ploeiears 
 a voit répété plusieurs fois quejson intention et oit  d-ailen, aprè^ «^tte  
 campagne,  relâcher;..à J’Iie -dêtFmnae,  ii  prit-lui-mlme  fôv ^solution  
 de  s|ermidre.  Ens-cîitipséqnonceÇ il  redoubla d’àGtivitésd^nshsea  
 préparatifs;  et luîtik{mai/,aumatin* ii  appareilla,  laisrant-àptërre  
 sonpremierriie®teriant  P f p P w  m 
 :P eu  I deb jours  avant  le 
 notpeiin ©ipsieiie  de* la. conciusion^-dn  ia  paix  entre  la  Fratti^ et  
 l’Angleterre  Cetaéyénem eut nepairvoit rien ajouter aux  sentimens  
 - affi-^^eBxriyAde^An^oisa^  port  Jacksan  n’avoiem9©eàsé^dè  
 prodiguer ||si|g|jj^^  un  grarïd>s|ajets<de- joiétposnr^igs 
 derniets.  p   leur  étoit ibien  doux,  e n 4êiïèft/'au*>momèÈ't- du'«départ,  
 de  songer  qu’ils, allaient  trouver; leur, patrie  heureiusé dt-paiMible,  
 gouve£n#ip>3irfena|m.e  hoimne-qui  déjà,  sousdeurîspropresy eà x,  
 avoitmxécuté  tant  de  prodigespour  lut donner  1 e bonheur  ëif* la  
 paix..  ..  .  .  Vaines  espéiancesd  lé# démon  de  la*  sfilkvott ^às 
 encore  .assouvi;  ;sa;  mg-e ,  ec q)eu  nié® fallut \que  notre-  conserve  
 ae  fut  une  de  ses  premières  victimes,-ainsi  que"nous  le  disons  
 ailleurs.  ;• 
 Instruit  par  sa .propre- expérience,  eÿ^fer^^UB^e^îqttM^afoit  
 entendu  dire  au  port  dackson  des  dangers1 -du  
 le capitaine FlAm elin avait  résolu d’abord de  porter droit auÜ%d  
 pour  aller.doubler  .la  pointe  Australe  de  la  ^erre'de  Dièéaen:  
 oèpendant^pour  abréger  la  route  qu’il  a vo it, à:  
 tenter  au :moinscde  passage  du  détroit;  mais,  re^pîsiÉ'piHiAars  
 jours, de  suite  par  les  courans  et-les  vents d ’©uest,  assailli  par le!  
 ©rages et  le  gros  temps;  il  futeontraint  de  revenir  à  son premier  
 projet,  e t  d’aller -douMer le  ; cap  Sud. 
 i ije  y  jcpm,  oii.sè  trouvoit  par  5/l de  latitude* Australe  :  là  
 mer étioit  horrible;  les  vents  souffloient avec  foreur e t par  ïalliles;  
 ||ne;cessùititfe tomber des  torrensde  pluie,  e t ,  pourdëmM#dé  
 malheur., des  vents ,  qui  se mainténoient de  la  partie de  f in e s t   en 
 posant  par le j^ u d^ ^ ip e rm e ttp^ t, pas  de doubler %.,cap  Austral  
 4gjila  terres dep]J)jiémen. 
 I^Le;f 8f.?ju*^l^|lleu^onie  itomfi^çpnstmiuoit  encore.  L’équipage ,  
 Î##®9|ÏS p f o n i é ^  Æàllàu dé£brt&n©|^#^ab^' fedaéigues ?hréduit  
 ^ l a   plus  màW.aiseiM<^qfrit!are fe ^ ^plà^nijit,' b  alternent, dp  tan t  de.  
 e ^ t  r ar i..ét#ii|§e t--éo m m e . i 1 ,p$Ê$||pp t , imip®®si'b4é3;de lutter u^ec avan-i  
 t$ge n o n tm  ia^iolenic&tdes^veht&du ? S . » l e  .capitaine H amelin  
 fe, ass&myejfsesioiB  pour4p1.endrp.leur avii^Consîs’aceordèrent  
 sur  rimsulhsance des^VjVfl’es» qui -'Kestoiemfeiibor d p o u r  une traversé p  
 q id  s annonçons -»ofus ide^siitæisteLauspli.ces^^t  donria- durée parois^-  
 s©it  devoir .être*, plus  longue-du  do u b le’i. qu’on-ne I la v a it xcalcul ée.  
 Qe%f^nsj4érat4'<ans>diécidèjent. 3e  cap i tain e , H  A memn tk  ; reveni r. sur  
 spfcjpa-s^et .dè^Ietméme jour.il-donna J-ordreide rp u te p o u r le Nord.  
 A#çia^dernrèKé4tépoquè,,  ifese .tr o u v ô ic p a a i^ ’ $ud.;  abandonné!  
 à'iouifefjS  -fes  '4gufeUrS'' de  l’hiver  Austral  qui-fmmmeHf©dég.et -4cé3  
 pï^bmierai^inpt^tees^du; scorbut  <st/mamfest©ient  déjà  parmi des-  
 hommes-de.dféquïpageîf  | 
 isfLe^aqpijstinf onJ-^u^ia  vue de laie. Maria ;. le  21,  onseffmavoTtr  
 ada  hauteundes  des  Furneaux ;  le   2.3 ,-.on découvrit  Ram-Head  à  
 la^ô^torlentale  de ia Nouvelle-Hollande.  La mer,  qùi jusqu’alors  
 av©rt|éÈusi¥.©mgieuse e t isi grosse^-cessa  de tourmenter  le navire ;  les  
 %fmtes'  *^dissipoient  insensiblement ;  la  -température. étoit  plus  
 eLtojsit annonçoit àwifâs-.coïnpagnons qu’ils étaient déjà loin  
 de-stpar-ages  orageux de  l’extrémité du monde  oriental. Enfin;  le  27  
 juin an-soir ijfeeuæent la vue du port Jadcson, dans lequel ds entrèrent  
 l&Jfendemain ;4nak^ Contrariés  par les eai.mesî*®  les.  venfc^ils -ne  
 purent arriver que le 3 jùiMetau mouillage que nous occupions nousv  
 mênae-s depnis  quelques  joursv  Ainsiv se  trouvèrentrréunisipour da ;  
 spc-Onde, fois,- et- par le  plus inconcevable des hasards ,deuxMciniens  
 quedâ meme  obstination -du C h e f  à ne'  pas -ses trouver  aux rendez-  
 vous fi.xes par- lui, força deux fois  à naviguenisolés, aux deux époques  
 t^ VO fâ g eo èd   eût été  le plus avantageux dàgir de  concert; ;| 
 M