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 pendant cinq  min’uftes  
 la  face  tournée - du ^Oô^é^id’oùfc’venoit  c‘e  VeM>t.^Ac<l©unt*bf&ne w  
 south. Wales fpng:  et  I 
 (>Novembre~r79 r^Admoe&sbfe  chaleur,  durartt-xei»ifaoiè^réhdit  
 beaucoup  de mondeimalade:-‘ fee.*4 > 'un'convibt  qui /Isate^a^i-F' 1 a  
 tête  couverte ;;ættGndoit M.-Whîte  datïs le  ."passage  de-sà  -mSfë'üiÿà  
 saeuisine, fut frappé* d’un coup de soleil, qüife priva presqueMfÉtôt  
 de-la pajjote,  du mouvement, &ty en moins- de vingt-quatre  héürfes,  
 de  la  vie.  Le  thermomètre ;; âvmidi  dette’#' jonr -1 à^sê%otftBnoit  
 F  2 8 jo li R ^ - e t  4e-vent- ;êtoit’*amN / O ,  A  EYttès'même  
 époque, notre  eau  se  trouvoitnon-seulëment altérée,  mais encfëïe  
 tellement  réduite «par  révaporation’^qUe  -le-iGôuvèrneür.îdëtma  
 l’ordre  qu’aucun  navire ne pût en -faire  aü  ruisseau  de  la  ville*; ^êt,  
 en>îQutre,  pour  remédier.dans  la  suite1 à -ë en ia i,  autant  dudmoins  
 que l ’état  de  la  colonie -pouvoit l e  pèr-méitri^il-afréfia qûertoSitës  
 les  pierres de  taille  employées-à  la construction  les  éditées publics  
 ou particuliers}  sero-ient pris-es dans-le-lit du-ruisseaU^- db^manlêÿe à  
 former  des  espèces  de  eitemes-'capables 'deEeënsewer-une  aisé?  
 grande  quantlté-dcaupourenfournir un  supplement aux»fcft^yens  
 durantda  saison  chaude.  (tPagr 
 ,  Décembre  -.HfcjâV)  La  température ' durant’^cè'nfbisSAt r-res--  
 forte.  Le  yr,  la  chaleur- devint  étoufFante^tefvent^dufSoit ’p e ë   
 violence  du  N.  O .  La  contrée, .-comme  pour  •ajO%tert;à;Par’deur  
 dévorante-de l’atmosphère,  étoiten  feu  d é b u t é   part.-A  S^dfiey,  
 l’herbe  et  les  broussailles  qui se--trouvoient  derrière  là-  colline  de  
 l’Quest  de  la  crique,  ayoient  pris  feu  ,iJou -’peut-être  avoientf^éle  
 mises  en  feu  par  les  naturels ;  l’incendie,  exbfte par  kvvent  chaud  
 qui  souffloit  -avec  force  y  se  propageoit  rapidement y-et  devoroit  
 tout avec une incroyable furie*. lYéjàjune* maison étoitErulée«# débite  
 la- erête -dù ; coteau^étoit  couverte  dé  flammes  qui  menaçoient  la  
 ville «d’une  entière "destruction.  Heureusement  fôsradi&fts  réunià'de  
 la  garnison et  des  habitants parvinrent  à arrêter les progrès die-Cctte 
 AW 1   'PEfRE§<  A S T R A L E  Si. 399 
 terrible; conflagration r .La crainte  du -danger, a Voit^bntraint  tous  
 les  individ^|i§|rtir desl’eiiflfs majs^sîl:,*àï3peine  on pouvgtiuresp-irer ;  
 la  c h al e r f -^ ^ ^ s ù p p  drtaEle  la ^Igjè^iopfs'oA^çoit  beaucoup  ;  
 le^feuilles^deilaiplupart d%$plan|^|^|>î||^esi étojent rédùicês^en  
 paudrc^et^ie  t|erp<^è'rt^p%q^re/ÿ|}.&©ut,e®pât  à*; 1 bd;©,?*,  F. 
 I |P"f2.2-V ^|]|^-Ràrmma^af,  'è#lCB^|^ée!,^la »chn^lr.n’étoit  pas  
 mo ins-.ci^tèlve ^tont le pàYJ|etO)itƒjaarerflèmlefe®dçtfeul;.e,t- quelques  
 .habitations  deii|bénü>|la;proie.desSEammès.Æçndânt  jour  d’a? 
 larmes, fl é  to nn e p e i f , f i t   entendre  à*  dlv@BS^|^’pp^>fes^,dans  "le  
 lointain-,i?e,t^sur le.^^rjl^tojnba : quelque - pl^i|!  qui  rafraîchit  un  
 peufiatnic^pJh^^M^/. 4 ^% k * v 
 «r'rL a.etioqKfl^ee vent red^utablesge  fit^nt,«} jusqu’à  la hauteur de  
 llle ?Mawar, .et|c,éloquemment à  plu»  -he,ue|^]dàstam’c:e du 
 p o p  J aqà^on Jpar |£k m êm ^ ^ qn^O ù ’ 1e* vent de 3^ , 0 .  dé Vas toit  
 4 | n s o n ^ A n g j o t f e   navireyAméricain  the Hope  épro,uyoit  
 aux ^enviroqs <de; 1 ije  -Maria gjme^liorjible  r’Èçmpêù^iéKcitéetpar*‘cè  
 /mimorvenl|}gi'|fi|gmp.s'><|sQitrsonabïeii^âsant^f^lÈè^chaud ;  l’atmos|s-  
 phè.çeparo'^éliï'Qainme  remplie 
 $v'{ A4o u L e,ve®tthr^%nt>dei'  udwis ita 
 le: 2 5-pour  la  prernièrfifQis^j^nSj^èlt®'5  salgon*,  soufflant jusqu’au  
 ^oipavco < beaucoup, ffl^vlolenge^  alors ,3*il  fu t remplacé--,- cOmme  
 il  ar r iy of^p ricl in^ i rem ent  apks  ^^ours^slcbauds ,Jpar  le «vent de  
 Sud. ^Êà&pÀiéJhi^, 
 \  D é f a i t s ,fnon^bretp; que  ijè^iei^  fflexpq&erÿ etldLôri  il  m’eut  
 ^dÿ^ipile,  |e   multiplier  l’énumératibn,  .d’apÉès'EHiLipp^Hu^nER,  
 WAq$3|j|,  TEN:ç.|tiéKi^Av^&c.,  nous;|poçuvona  donj:  dédpire  la  
 çonséquen ce  su i van te  : 
 I   «  Les  ven|s.f qui,traversent  la.fHonYelle-HollandejduvN.-O.  au  
 É | l P l | K p B - i ^   l^âqmté 5 de. Gumbe^and ,  avec  tle  
 »  dou;ble^ceaïactère,  d’une;  séchgresse  et  d’une  ardeur,.eprêmes -  
 maigre A étendue  ,et  la  hauteur^des ,moa3tâgne|siiau- dessWjdes-  
 »  quelles  iis  passent  pour  a îpfve r ■ j usq u’  c q - de rn ier- p o i n t   »