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 »  pose,  est  ientièrement  calcaire /  b lan ch e g ren u e .,  .remplie de  
 33  coquillages bien  conseryé^quiis’y  troussent  d-isjîôsés Comme'par  
 »  familles4;  ici  les  venus,  là  tes1 vis;  » g 
 Cependant tesljojirs fixés par le capitaine HAMÊLjîf pour-attenjdre  
 le Géographe étoiènt  écoulés  sans  que nous  eussions  eu aucune nouvelle  
 de  ce bâtiment ;  il  n’étoit  pas  présumable  que  nôüsjjduspp|$  
 en'recevoir;  én  prolongeant  plus; long-temps-  notre  séj@;ùi|r;sur  
 cette  cote.  Nous  nous  décidâmes  donc  à-faire'vbijte pour  la  jprre  
 d’Endracht,  après< avoir  laisse-sm;  file  Rottrie^iVn  pavijlon, >une  
 bouteille  et  une  lettre  pour  Je  Commandant,  d^ns^'e^feas  il  
 viendroît  y  rllièher.  Le  28  juin,  nbpshappaféjllâmes  >pout  |e  
 second  rendez-vous  quienoiis  avoit  été  fixé  :  mais  avant  dei^oul-  
 rèuivre  l’histôirè  de  notre  navigation',  il  me  paroît  néoflsatee  de  
 jefftr  üït qoùp - d’oeil  général  sur  la partie' de  la  terre . d’Ëdels^qiie  
 nbus  allons  quitter.! 
 L ite   Rot inest  est  d’une"  hauteur  m é d io p i^ ie   rivage  emb est  
 pi. vi, teg^4.  généralement  écore,  et  composé  de  ctun IgéètfïCâl'ë^^' et 
 sablonneux ;   qui  laissent  .toutefois  entre',elles .quelques .ançes;tt,ün  
 sable  très-blanc.  Ce tte   île'est  en  général  bien ?bo||é^^\le' terrain,  
 quoique  par-tout  sablonneux,  m’a  paru „fournir  une  végétation  
 abondante-et vigoureuse. L’a'spect  intérieur, du payç£$c^pé’par\une  
 multitude  de  collines t est  souvent  très-gracieux.  Malheureusement  
 nous  n’avons  pu  y  trouver  âucune  source  -d’eaii  daubé e  et dont  
 l  nous porte à  croire  que  l’île, d’en , fournit  pas  :  .on^ouproitiseepen-  
 dant  peut-être,  en  ouvrant  des  puits de  6  â, ÿ> décimètres  de p rofondeur  
 [-2  ou *3  piéds-jj  à peii, de  distante  des, eïap^ :©uvaldpll|j  
 se  procurer  une  eau  saumâtre,  qui  seroit  potable  dans  un  besoin  
 pressant,. 
 Nous. p  avons  observé  une  petite  espèce  de  kanguroos  dfc 6ÿ  
 centimètres  de  bauteuE  ènvtebb {   z  pieds >]  «fui: ''My  trouvoit.  très-  
 nombreuse.  Nous y  avons également  reconnu  une  seconde  espèce 
 de  quadrupède ude -Ja/gte^teu^d’un  ■ rat  'très^fort,  que des «ancieris  
 navig^füoes HolIànd^r;bnt';-*4iféçtivèment  pris  poür  un  r a t ,  mais  
 qui,  dÆ asl^^-^éfîsérvatrops^de  notre  naturaliste  M.  
 appartient' %   un îjgènre  nouveau  ^è$-remarquable!^ et  dont  la  
 description  do|tllëîtïl©Ù^,er  dans  Ja  partie ^poàfgiqM^des  travaüx  
 de èeWsèimablë, et la-boripug nalu^i^iq^oeîSto^)heques'fse montrent  
 en a ls^ rand   p om b^ su^ è s jd ’îivpijies.  jéagdsàde  $abîe|cfe  la pèîè.;  
 ilâs’aéâncënit quelquefois  danf lEwe'li^p^^fojrétSïà^àsdfe2 grandes  
 •d’tstajt®es.-''!^Sus  en: avons-fivu'  de  ■ ii^ff§&gJit  comrhuné^ 
 ment ^rfe;' d’au trel^^^ènt ¥pugRâtîesu^oelqkesi4j3.s, enfjnvêtoient  
 nons'ffôcs dernie^p^oitn^'pplusyUit-^ti’EpcutL üc  
 jeünéijdia^’ndus  avonsfrvddn^BmèËdrdrun. jpi&e^d.ré -allaitant  
 un de^feipptits, -qui  lui-mêiép?s# d ë  nc|m La-grmsse d.e, ceâ animaux  
 lorsqu’elle  A   m a n g&   nous  l ’avons 
 emplq§mo|§f^  sans  y  trouv^de moindre igpi^t  nid,a 
 moindre r ©ilèur ‘-‘®5a^^bte.^|s^/ourrurês,p d‘e<  la  plupart  fie  des  
 animauxf&ont'.fiiSI bien - fbur n  1 ajiparpvpf ijiraoiépt 
 et-te  d un\grand'fâi^çêtYalt^oi^^^^eï^^^^-^è^èn-p^^6er^ûàîe  
 rîphè tea-Ega-isén. 
 "" Les/rëptÿtesâ'sbntfîàssez/*bôtnmunlj sur  l’île  Rottpès|||$noRs; en  
 avons -ÆroUTécpjlistepr^ .qui  nky^ienupas  mom^^Ki ^fiL%3?i>$ep-  
 tiurèéres -de ioxigueuf|'4|feyÎpie^|purd^^Çpafisseui'deî^,cÿj^;.ÿ.o  
 mtlljmètiSM pouge e;t demi^'z p j e u r . * o | p | l c u r : ' l f q î^ d t e   
 de  làerer  dépolir cQ’e s t^ f a u s s j l ’île  Rjbtjtnest-^^®p^@||ièrft  une  
 ès'pdce;ssngul|ègÀ^ lézard,  dans  laquelje^^on  ^mi M.  PÉRonda  
 un® rcombinaisbp  dé | doigts ; jusqu’albfsMpOoripyè  dans  la  
 lamifié  des  lézards.iG'elui  dont  ihlagit, n’êLflÉsedi^quêdeux aux  
 pieds  de,devant  et  trojàikuxfwods  de  derrière.-  • 
 Cette  île  nîest  pasohabiiée;.;,  et  il  né,  n o «   a  pà?  paru  que, tes  
 naturels  de  la  teire-fcrmeiyioient  jamais  dépendus,/' ,'t 
 Les  vents,.  pendant  notre  *>®éjour  sur  la  rade,, ont-  soufflé  
 SMcfelssivement  de  tous  les  points-»de  l’borizo'n.  En:généralÿ  obvnt