rédigées et prêtés à 'êlre renliftie^publlqués , MM. P l r|© y et
■J-iE/ÿpEUR oftt désiré qiie,la C l^ è /p iît conneîssance de itérât
de leurs travaux, et elfe nous^a; chargés d’être' s f f organes
pour cet examen.
Des cinq zoologistes nomméspar le GouVernëment, deüx
restèrent à'nïé^dè-Frâuc^lDeti-x autres, atteints mortelle^
ment à Timor, périrent au commencement de la p èo n d e
campagne > aVant, pour ainsi dtrê, d’avoir atteint les5 rivages
qu’ils dévoient "explorer. Resté?seul dé^Cowflgl ëolfegiicf,
M. P^R9^redoubïâ"Me^|^îl-ét d e dévoi^nfe^t' M. feÉfsuR
réunit. sés'pffortsà ceux de son ami, et tons lesdeux ensemble,
préparèrent cette riche collection zPPlogiquë' dont’* orT vShs
à déjà, parlé, mais dont chaquejour décile;mieux fétqçd^i^ â
l’importance. Plus de pent mille^éehanti lions d’animau\ iK*>-
ïtèéés grandes et petites la composent réelle ^ d ^ r f à û rn l1 plusieurs
genres importans; il en reste bien davant^gnêncore *à
faire connoître, et lé; nombre de^éspèçes nouvelles',diaprés.îë
rapport d e s "professeurs du Muséum |îà:élè\leya? plus de. deux
mille cinq cénts. Si l’on sé rappelle maintenant •-quê le ?!ƒ.
voyage de Go ôk, le plus brillanfeen- c e ^ n x e ^ u if e u t été
fait jusqu’à ce jour, n’én a cependant pas fourni - plus de -
deux cent cinquante;;,/ et qïie tous' les- vpydg%s;!réunis/ de
G arteret; de W alias, dé FurneauX', de/MEARES', de
Vancouver lui-même, n’en ont pas tous ensemble produit
un nombre aussi grand; si l’on observe qu’il eh est de même
de toutes des "expéditions Frahçbises ; il én résulte que
MM. P éro n et L e sue u r auront eux seuls plus fait connoître
d’anûnâux nquVé|LUx, que/tous naturalistes voyageurs de
^.s,fdprniqr^ temps.
^ •Q u e lq u e 4®uiarquables. que '^ fe n ê ^ ^ s collections par le
IçoUibre, dpsVqb je;ts ^qn’elfes^^iqm.prennent, elles* ne le sont
pas moins par la manière dont^elfo^ënt1 été dirigées dans
leur formation. En èifor, 1||| mturalïst*es/.$oyageurs s’étoient
â€û^eMi:;|p|fn.és; à ^ js e ^ j^ ^ e f ï^ .p u Tjgîle classe d’animaux,
^ns» s/oççupCEë^g|iÇ,eliésbquiég rrqpvoient .plus étrangères à
ï^ursq goûts p parucdiersî;}ls|j Ieuçs4r^çherph.f% personnelles :
MM. PÉRON^et fE^ujE^R ont eu le sage esprit de-$’occuper,
sayëc, un .soihqégaï, d e , toutq|i|e^.pia|ses^,d’animaux, ,et-j^ous
P h rappot-fede généralité,- nous neypnnpisspns aucun travail
qui phiss^^êrre^ comparabl^au leur. | -
Uneg^itese^ métjhode^ def,, description introduite dans la
science|én a . beaucoup retard4vfo^Prëgrès.*^e.s'voyageurs,
40%sm-Aout quelques - uns > 4è^peux de slpcple^de L inneus,
fayoiem consacrée, comme plus^^cpp^itive- et plus facile,
3p bornant à présenter, dans u n e ,phrasei<spTéeifîque plus ou
mornsÂcou^te, *tqls ou , tels çarae^tpresii'Sûivant la rpéthode
; a d o p te , par eux, sans. tenir .auçun, oompte d,e. ceux qui, dans
pette,méthode, étoiênt--actuellement inutiles pour la distinction
de l’espèce^nppyelfo.d’aueÇ’ ,cglles déjàcqonnues., ils n ob-
;tenoient que d.es descriptions, relqtiyejï, syÆsantes à peine aux
bespins de fo scienceyyl’éppque de. leur, découverte., et qui
. devenoient inutiles^ à mesure que dp nouveau s objets exi-
geoient de nouveaux termes de comparaison. M, P éron a
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