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 étoient  passés;  je  vais  en  rendre  un  compte  succinct.  Le  3  août,  
 le ^capitaine  H amelin  étort  venu-mouiller  au N o rd ,  e tà î7 'O u  §  
 milles,  de  la  presqu île  *Péron  ;  le  lendemain  u n e . grande  -femée  
 s’étant  élevée^iôut-à-ooup de dessusdes terres wj§ines,Ue- capitaine  
 envoya, p o u r ëna-eophnoître la cause!, MM-^S^-Cricq. et Bailly,  
 *qùf seidotrvèrent attaqués àdeurjdébarqùement par une trentafeejjde  
 sauvages. .Armés  de  longues-sagaies >et  de  casse-têtes,  ces .hommes  
 farouches,  poussoient  de  grandes.-  clameurs-, |||ÉjjÉ  d'isppsèàenfe  à  
 p or,ter  Jetas  premiers  coups  xo n tre  M. - S.5-.Ç R1C Q.,  lorsque  icet  
 officié^ fseî^épida,  quoiqu’à-Tégcet-,  à  tirer  un  coup  dër fusil™ pardessus,, 
 leur  tête.  Le  bruit; sinouvea-u pourteux  d’une-explpsionKé  
 cekgenrfe fité p ro  uverKàfXèg sauvages  unq/s,ùrprtse^et 'une; 'terreur  si  
 vives,  que tôus:xnsemBle“€pgj précipitèrent vf|S^.lRivage,. gi-av’i^ent  
 lés  dunes-;ét  s’enfuirent  au  milieu; des bjouss^ille|%|jA l’égard  de  la  
 fumée  qu!on -ayoit  .aperçue  du  nayire-v  elle  p r p y - t ' i è s -   
 grandtfeu  allumé.par  les  hommes  qui  venoient,de  s’enfuir.  
 -VLèi.6  ao û t,  l’on établît l'observatoire-sur M^prfsqaÿrlërvqâsine,  
 et M. S >G ricq. fu t chargé;ée vérifier fie m^rche^des “chro n o rp ^ es;  
 mais-^esvariations  de  la  t e m p é r a t u r e . é t o i e n t , t ^ r r e ;  que,  
 peu  de  jours  après,  c e t  o ffic ie r^ tn c o n tra in t-d e   rapporter ijp   
 montres  à bord. -  : 
 Le  même  jour  6  aoû t,  notre  chaloupe,  dont  lesiavarie’^   fers  
 de  son échouage auprès,  de  file  Rottnesr,  n’avoieift nét^||arées  
 que  provisoirement-,  fut  halée, 'sur  le  sable  ppur  
 radoub  complet.  Tous  nos charpentiers et  calfatsv furent  einpl(i?és  
 à srès.réparations : l’on expédia aussi,uni  certain',nombre  de-matelots  
 pour  couper  du  bois  et  rassembler  celui  qui  étpfi.méçessair-e-ppur  
 notre provision.  Par  ce moyen,  nous  eûmes  un. petit  camp  dune  
 trentaine de personnes. L,anéppste’itéde  lés approvisionner  d’eau, et  
 l’embarras continuel de  leur  en porter du  bord, -firent  naître  l’jfp6  
 de  placer  à  terrç  notre . alambic |  et  de distiller  de Teau de -iper. 
 ^.Jetofm.chargé,,Je  .sQniétabJjs^çmeirfe)  dit  Mi  Bailly  et  .malgré  
 „  quelques, difficuij^l^sultantjdu Vïièe, de,la construction  de J’appa-  
 »Treil-^kparvins-à en,obtenir 'fn^kion quatre-vingts pintes par jour,  
 33;.éeffqui jgttpit) plus,, que^sÿiisanf  pour? l’nsâge  des  trente  personnes  
 33  qui se^èûtyoipnt à L ’p%u$de mer,  ain|i,d|^illée,(>nest  pas  
 9 » §lïÇa,b|pj,e 11A-a.ss e u l e i m ^ t  fS n ^ d e  fum^p^û!il  sçroit  
 33.tfaeil.e ide  lui J®^E;en'.J^épn^-g.ell^^&^&i^j|m paru fiien, pjré-  
 33  féfjaMe  à.l’eaUjsû&^fceiatE'GQixom|^A’ia fe ftJffln  .usage,.à  bord 
 33^%4jj  >Lia\aiy.afge^iuç^  tir^ded’ernpjoi des 
 a'I-a-na'-feif e .. m R m| B R h  siiÆ-s amen r. 1 ç©pibien:, ün,  appareil ‘.de; çç  
 étr^ntol^ à. bcxrdjSlpaimferftb S »   l’o ^ d ^ k  lo. regarder  
 SM^nt iÊp-mipe, m d î , s p , ç n s a b i  1  o r ^  cÉ^câtçs 
 a r os; de>.-to,T|Ejé> e-amfeucr  laj^ouv 
 d ie -H o f i^ n d e .fE n n a u f r a g é% d e   t e k | p o u r r p i e n t   
 sajife‘ta>PWher |^ éqagpag^S!^%la mort  lar(plteid^>h'H-ante. 
 ^ aR.EAp^Éireiucé\|^diL3  dan» le  
 guryad;  eapêtfjKj.urï ^ n tin u e lS l^ ^M a fion |^ l|-ÿ^ ^ ^ \  (H'singS^cI-e  
 élë\.menÆ^c©mmafeer slenr.. travail  à MfidpoiY  
 ©Jy^ v o is  læfojc mémeateimm^  rduiimcns tn ’t -t^-dire  , -, à  la 
 par  Al.  J)L  S.lf-A t l$jj \ fty ,  U<iut^ 
 hyifd^  orivfcntdc,‘dç, 
 11  de^ientÿ^v~®^m^l,Q«d.  apaiês, av‘© ir. r^ m o n ^ l^ É ^   
 le^t-jmê'rs  de^rcMte|Smëïne  pw,injte^d6iu  jfttsyiutb  dl  par^T^.Cc tte  
 o nvfijbp d ey^&ko ur »1 c  3-^ N ou s. a|q)wmc  aniio^ï 
 qu’au ,.&3id ..de, lakppjn re-adbsJHau,ts».^F.Q] ici s k  il^w^i&nt  dtafrmut i.t  
 upç^porke. ^hqip. ^  nommée  depuis  Baie  1 ui\çb^ps^5f 
 p^Mej.qui  la  |i|pna.ine M&LS  lé&§ud^fiEfeâpbeï^e^^mt^^^è/ienatt/t,  
 duÿɧm’-de  l’um ■des  deux. mornpag.n4i^4de Afi  l.kjd^^clam,1a  cpujsc  
 ■ ^Æh'leadon r J  aksii-im  dè^qétte, fiisto ire cÆ iA lq^déiails. .P-ljus. Ip in,  
 et to à& p s ven$sîavançant vê^^Sudi^ils^Gonnurent une .sep^pde  
 bai^.que nOnS.-a^onStnp mméfpBaie .L/iari^omÀ^çi jj? p 1 ntç ni é N’d.i on a le  
 dMcfHiê baie  reçut  lesnptn  de" M.i.TETiT^il’u%dèflnpsimaIheû|eux WW TOME,  I-.-