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 page  ne  lui permettant plus#que- d’impùisSans  M  fallu^renvoyer  
 à  une  autre  époque  cette.-découverteûmpoüiîànt.q:, - f$|fegner  
 le  plus  prochain  lieu de  relâche.  On verra dans  le^chap'itrè; suivant  
 combien cette  détermination  étoit instante. 
 Ainsi -  s©;  termina  notre  premiàEeiïrecQnnois^ance  de,  la  terre  
 Napoléon.; Pendant -quarante-trois  jours,  quelle  avoit  duré Jjjnqus  
 avions reconnu plus  de  milie? ijeu.es. de  çptqs*  en^gûmprenant-dans  
 cptte  suppumtjoai générale  jtoutde.  développem^ntjiÿes^lesi  "fes  
 enfoncemens.  divers  que  nous  avions.  suç^|ssiyement  pi:ok§i|gés,  
 depui^y^ promontoire  de-Wilson au  Sud  j.us,qtu’au  cap.des, Adidux  
 au N.  O , Maiaplpsieuri .points de.çet immense.f?f^!Ee'nQps>a^i^nt  
 çchappé  3  la  géographie de  IjîJjejJpeçrès -néto,it pas complèMjvr nëus  
 u ’ayiona pas  atteint  Je  fond  des  deux  gol-fest«? f jlp port'  Champagny  
 n’étpit  pas  découvert,  et  la  question  de  l'intégrité?  dü,çpntinept,  
 pBjef  essentiel  de  notreTffiission,  n’étpit  -pasf résolue..  ,  .  .  Une  
 seconde  campagne  à  la  terre  Napoléon  étoit .dpnc encore ,yinImpensable, 
   et pettë,. considération  dut  forcer  notre  Qpmmantfant à  
 prendre  la.route  du  Sud  pour  aller  hiverner  au  pqrt;A%efcspn. 
 C H A P I T R E   XVI . 
 Retour  a  la, T  erre  de  Diémen  : Ædjour  dans  la  Raie  de  
 VAventure  :  Arrivée\ au  Port  Jackson. 
 |ïLT',Êj'ii, ,8  A1. . i Jogr i ' t i roa.  ] 
 ; b'L’m  v-E-Tt '\^mmfMe^e*<Mïrdèfi#êr' pour  le^ifc'^ibns Australes  ;  la  
 fré'quënoe^’Æ ' ^ ' é ÿ â g ^ ^ f ' l e d e s   vents,  l’agitàtion  
 de^-ffét^,'  rie^ridjis fra voient q\ié^Bp$appw| dans  les  dernier?  temps  
 clé*no#e s§j o ui?fâtêr-Fë' N'apoféot#MwîciréohStâncès  impérieuses;'  
 •'édn'coùrant,  a’Veis  Fépidértfie’qur régnOif à  bord, ?à. nous  rendre  le  
 'Èfésbin  du'frépOs^pius  pressant,- iliparoiSsdit naturel’-dedious diriger  
 Ipi'eipPwJfeËsOnqmf le  chemin M?*p§ds Court,  èUdonséquemment  
 d‘ê  traverser1-  le-''détroit  db  Bdss  po"{ir! ‘rentrer  dans de grand  océan  
 Austral :u nôtres® htefemjugeâ différemment';’ et-sans aucune espèce  
 deb^fOT¥%èifeib 1 ë  f  ’il  dorîna  l’ordre  de .rCM.te pour  le&nxémitéfSud  
 de  la ’terre- de  Diémen^''-Unë'#ésolutîorü:a\tsSij singulière:  répandit  
 la  consternation  -^b^rd^, .etdeS1 tristes préssfentimèns-- quelle  ms-  
 jfîr-a,  forenttjîdàtiï^lbïentôt par  les plus'grands- désastres. 
 Le  9 mai*,  par une briseiviolente du;N. >Nb Ev,  nous  fîmes beaucoup'Hé  
 Ckem'ffda-ns- le'[Sim  pendant  touteda- nuit  du  9  au  10,  
 l’horizon  parut/tout  èn ’f e u , ‘tant  les'éclairs  étoient  vifs e t:multipliés^,,' 
 nbuseûmes  de  fortes  averses.-' 
 Du  I-O'^au  ilw   le  temps  fut  affreux ;  lmciel,  toujours  chargé  de  
 gros nuages, ne cessadeVerser des torrëiis d’une pluie très-froide ;  les  
 -vents  soüfHoient avéc  impétuosité  et par rafales ;  tme brume  épaisse  
 obseurcissbit l’atmosphère ,-pénétroit toutes Jèê substances, fàtiguoit  
 tous les  hommes.ïNos malheureux^scorbutiques  étoient  alors  couverts  
 deplaies  et d ’ulcères putrides  :  chaque jpur  voyoit augmenter  
 le  nombre  des  malades  ;  les  personnes,  chargées  de  leur  service  
 étoient  atteintes  de  la  cruelle  épidémie  :  notre médecin  lui-méme.