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 bien  des  soins  de  l'homme;  e t ,  je  ie  répète ,  Ce  serait'une acquisition  
 précieuse  pour  nos  basses-cours. • 
 ;  Si Eon  c®  excepte  quéi^®s  ^enT^5  incommodés  ou  nuisibles  
 dont  nous  ne  tarderonspas  à  parier ,  tous ies  animaux  sont  rares  
 sur  ie  soi malheureux  qui  nous  occupe ;  ia  classe des  Oisimix,  par  
 exemple,  se  réduit  aux  tristes  cormorans ,  à  diverses  espèces  de  
 Poux,  de -pétrels,’de goélands,  d'aigles  dè mer et d’huîtriem;  qui;  
 loin  des-  h®mmes"  et  d é  deyrs  traits,  multiplient  sur  fces  rbéhéri»  
 arides  leurs  voraces  essaims.  La  division  des  oiseaux  de  térreüy  
 compOiOit  exclusivement de gobe-moucheset de pries-grîèchés :|in  
 y   trouvait  cependant une  belle  espèce  de mésange  a  collier  bleu,  
 qui  méritera de nous  octa^er  plus  parttoulfe^ment. 
 ' l^ s   Peptilès  ne  comptoîeût  qu’une  espèce  de  Stihq^vfSviraus  
 frâpitMru*  une  'des  plus  grandes  de  m   genre,'et'dont-la  
 queue très-courte  et  très-grosse  fait  paroîà-Çÿ  au premier'  instant,  
 ce t animal  comme ayant  deux têtës; une belle èspèscé de TupiramUs  
 ~fT. B ifr^ m û a rN ÏJ -û è   i z   à  ISS  décîmètresde  longueur ^ l ^   
 pieds],  un"iG*®fe  fùmpo  Dorreentis  N .J   de  i»   à  i  3  centimètres  
 ^4 â  | pouces]. E’Mistdire de péi fi^èCos, toutes  lès trois nmaveflès,  
 sera présentée dfhs  le  tableau  zooiogique de  la Nouve|le-Hoi|aride,  
 avec tous  ie& détails qu?elte d oiï  comporter. 
 Nul  pays  au mondé  n’est  peut-être  aussi  poissoameux  que  la  
 grande  baie  de Chiens-Marins; mais cette  abondance des p o so n s   
 e s t 1 étrangère  aux  rivages  dé  J’îlé  jBérnier.  C e s t   dans  ieiiond  
 bâvres voisins  que ces animaux  vont  èhenMàc  le  calme-m ia .nourriture  
 dont  ils ont besoin  ; nous  les  y  retrouverons  dans  un  autre  
 temps;  contentons nous  d’observer  que  n'osqiàches  furent presque  
 absolument  infructueuses, et  que  nos  collections en  ce  genre  s'accrurent  
 à peiné d ç  dix Espèces nouvelles. 
 Au  milîèit • d e s '^ û fc^ ’-afafecweiix  de  T iè   Berniër  ,  vivent  
 différentes éqtèëés1 de  Poulpes,  dont  quelques-unes  atteignent  a  de 
 très-grandes  dimension^, j’en  ai  .vu  plusieurs  qui  n'ayolént  pas  
 moins  de  940u même  Lg  déjèjmètrea  de  longu eu r^  ou 4  pieds]»  
 lorsque  leur^ bras  étoient  déployés, 
 \  Dans  d q ^ e e s   parages  étoient  plus 
 riches^;-,-mais  en  excéptAjes^ moules  huîtres, qui  se 
 complaisent,  p o u r a u i s t d i c § m i l i e u   d.e§„,mçher-s  et  des  ilôts  
 çn  Cénrrôyx,,  Dans  je 
 fondde  la baie, Rivent jepfbm^squS' Ja »ya^ï&t? le  sable  de  npjji?,“  
 brey§res  et magni%ufsAi^ é l # % ^ y ^ ^ { ç s ;  arracher ^ ‘ jour  £  
 Içy^s  habitation?, p a is se s  ;  mtais, pou.^^e>pasiamictiper  sur  l’ordre  
 naturel des  faits^.Spntentjeps-nqU^lind.iquer-.rapidegjent^i qujel^’  
 quosatne?) 4s.s-,coquilles  les plus  remarquables, quqjpous  recueillîmes  
 Sucd’IjfejEegnjer, 
 De,-toutes  les espèçeyde. moui^c^nues? j . u s q i ^ - ç g l l e   
 que  l | f4éÇQpvri^^st  m^pt^|ahlem^|t  la, p lu s .b e fe .fi  la plus  
 ^datante, m<Lp;oudlée t,de ,&©û  ÿîap .n f tm ,. 4 ie>.;ré|it4çpit  t o n a l e s   
 couleprs, le.s.'ipijisv¥-ivçs .dp.prisme,  ety„des,_pferres,’ppéeieu^S^iêlJe  
 çst^lauissante,  s’il  „est  permis  de^p-xprimèr  aiusîs  J O l’ai  décrite  
 sou^Je  nom  de Mytjlqs  effulgeqs. 
 Sous  d’autres rapporta,  !’hu|jp|.de  ces pl.ages:/ % ^ ^ ÿ 7é » / |^   
 N-y^#î.érite  une  attcn^jpmparticulièré^ sa -valyy  inférieure, ,èst  une  
 e s ^ e   de. sôpeutrès-alongé de  a |û | |  19 v ceptijaMes^dg ■ longueur  
 ®Æ-R°u||PSi],.plu§  o u  moins  régulier.  Fk^-Aur J$r*o#ié par  sa  
 pointe, èt „par  urjr de,.ses  cotés.,- eile^e^t ^ecouyglte^par^ la^sgcondç  
 valve« qui.rcsaembie.assez,bfen à la.mêjne pièc|,de n©ahuîfres ordir  
 Uaiçes,^  e t  qui  sert^pmipe  d’Qperçule-  à  iespf^fede  corner  que  je  
 vi?*^,de  décrire,  L ’animal  n occupe  pas  tQutgufa  profondeur  de  
 cçtjte-coquille  singulière^,il  se^trau^ey=e|égtië  dans  le haut- du  cône,  
 dont  toute  la portion inferieure  es^occupée par un-grand  nombre  
 de  petites  cloisops  transyeçsaies  £ssezs<pqb%bîes  ^  des  yep-çs ,de  
 montre,  et  qui-  se  continuent  jusqu’à  l’extjçm«é  de  lapointef qui  
 sert à fixer  la.coquille..  Leur^ç^.çoncave^si^qnrnée p i e u  haut;