
 
        
         
		»  contraste agréable  avec  les  forets <|ukcoHvrent.encëiEe,une partie  
 »  du  terrain.  A  .trois oiu  quatre milites- au-dessus  de  la- ville ; ,1e  pays*  
 ». cesse  detre  cultivé ^  er  ies'défriehemens  s’arrêtent  au  jJiçiL d’un  
 »  grand  bois  qui  se  prolonge  au  loin des  deux  eô^side  la  rivière;:  
 »  quoique  toujours  fort  large- ve-n  tcet  endroit^^l’HaW-kesbuTry  
 a? .commence  Jéjetre'-moins  profonde,  et  na--souvent  que.cinqÿsu  
 »  six.pieds  d’eau;  d^ar-bijès multipliés  en-obstrûent  lé-cours Jjjbt  
 » y rendént  la navigation difficile.  Nous étaM' écbouésfnous-mêmes  
 »<3;sur  l’un  de  eesarbr.es,  ce  ne .fut  qu’av-ee  une  peine  extrême  que  
 "»  nous  parvînmes  à nous'débarrasser. 
 . s->ïrSur  la  rive  gauebe  de  la  riyjère,  au  lien où  commencent des  
 »  forêts,  omobserve- un  escarpement  dont  le  talus ’.forme „un'aiïgld  
 »  déqdus  de  8o°.  Ce t -escarpement.longeda  cù£e> l ’e^acecde^qte  
 » mijiis  environ  ;  il  est  entièrement  composé  .de^mt^î^mofes  
 » disposés  par  couches  qui  me'  parurent  horizontales. .Malgré-da  
 »àf#dêur de  cette pente,’ on apercevOit'desNsentiefs-que-nOSvguide^  
 »   n o u s 1  tassurèrent  être  habituellement  fréquentés  par  feà-natu-fels.«  
 » 1 1   faut  être  aussi  agile  qu’exercé ^  pour  pouvojpgravir, -ainshle  
 »dong  de  ces  remparts. 
 »  Eniîvlsitant gÉj bords  de  la  rivière ,.ùé&k  d’a n g e 
 »  en espace,  des\ttérissemens  formés par dps amasdtefgâlet-s>qùeiM’e.  
 ».charie.  Ces  gaiets.sont  un mélange  de  granit b,  de  poifdurtsiet  
 .»lautres matières appartenant aux montagnes primitives;  plus,petits-  
 „   et  plus  rares  aux, environs  d’Hawkesburry,  augmentent .de  
 »  grosseur  et  deviennent  plus  communs à mesure  qu’oiis’approche  
 »  du haut  de  la  rivière  :  ces  dernières  circonstances  n<|us faifofent  
 »espérer  que  nous  serions  rendus  bientôt  dans  le  lieu  de  leur  
 »: origine ;  et  cette  présomption  se  trouvpit  appuyée par  le  vOÏsb  
 »  nage  des montagnes,. 
 »  A u -d e là   de  l’escarpement  dont  je  viens  de  parler,  lè  pays-  
 »  commence  de  nouveau  à  se  découvrir,  et  laisse  apercevoir <des  
 »  fermes.et des  champs  cultivés,  qui  bordent  les  deux  côtés  de  Ja 
 '»  ri^$p^|.  A   -l|^^:»^f''îdte^e||  champs,  et  sur  la  rive  gauche,  
 { b   on, aperçoii»mfrtj^fe^uk;ipé-tt«é'lfeés1mais3 «trèsHremarquablé' à  
 rSr ea^fdldiéM%i^#Jnient,  et qiH#^riomme  RiÿkwendrBHl; ' C ?es t~ k   
 ƒ»  qtfee-î^^^Wfffe^NÉ^c^c^^^rfles  défechemelîsnet  la  culture  
 la  que*1 l’Hâ^^eshiifiy''cesse 
 na^igabJtetpo.uÆfesÿbateaux  un jp(|uLfeonsidérabies,-,à'cause  
 ^^d^banc» d%/s,ii^ië^fl|->lAo%tmentitM-*.-uA®NDELL;,,pré voyant  cet  
 ^©bst^ek,  a\oit  donm  ordrcVci^ds^tondaCtciirsVde  nous  pio-  
 y  epres* à RichmoMl-Hiil  un^èBpetit  c aw o t^ ^ o ep tîd i  de  nous  
 apporter  aù-dc l a ^ d & f e h a n e s J 4t 
 i c j y » A g » f ^ g j i i p t # . »  dè. ba^seV 'ent^M^sent  
 laqÆlfijo^ ^ ^ S^l,felq.ildfqiaL-aaJjg|kaon.  
 Ici,  le  E^s j lm i t   ra’ialw- plne. 
 a^quun^fikf^d’eap ;  l’aùtVeff^^A^^^cto/^cuIttnàviigahife :  il  
 .%ne » J ^ f i^ p ^ lo iig ^ h ip ^ ,  i  par 
 » jdiuiùius  ba^S*^ '■ gajc t-s^isn î l c b ^mç . a. oh « ujen<,^ciia’que  
 ‘^ij-ibitant.  D ’ailh'juais ; -la- ponte dde  01 L‘^ii|f(htxv;;.quë$eécVi-,-,- 
 ■ aa^ant» r to u ^ m p ^ u - tÆ ^ s^ ^ t  ;  il ilaliu bÀo^ na e^ re  plusieurs  
 •»ifoi^à4 t<WjHïui  tram e^ n ^ B p q u if:  q u i^ b b ^ is l»  pIusà^ktA-- 
 ai  tfen^df^aivfliiEOja's-^:-, 
 I   -^1P%^oir  ainsi*cIutti  quclquo-umps  cont-^èeulenvier  ob>  
 n o ^  prMa!k^|nfin  K - i p a r ^ d e ^ ^ ^ ^ ^ d ^   referez4 et  
 | R ^ Q B y « y | Q y ^ n y y g B |  de^aaîkrirîEÏî'e' doit-son  
 B U | aüx ^^1  L'^ querif*my£ÿ^teMra-în^dod’int%ieur, 
 0 e $ ^ V L g n è s   qu%lJenraveÿ-sélltG|îS4g,^|t-s^ont.  de- toute^spèçte  
 .^$lr6.|ûèstânc^^m'ai^partîculièri|ment .rdafciHes.qur  forment  les- 
 J Q  îYp-lffcJyDY^ $Kr  blr'  f-G 
 î^dfpi^  JJBa 
 „qjï  =c tro ic la t au-'Il  <■ u’Jj'de L  \ iIL d Ha  - 
 BdyjgSor.t  h teijfeluvéto.  r.at ,  cnc.o^'.VjSdno  
 *1)pd e  lueraùn^  î ti a l^ îj s tü ^ , r ,t  
 farte-q'btlçfue  joi-rraupd^a. ,,nt  
 Jf p a rle ,'il -avoit admiré  lui-même  ces  témoignages  
 pour  linsi  dire  prodigieux  de  l’ac-ti-  
 hommes que l’Eur.ape eu v.oj  i naguère  
 au  1 îiliéü  des  Uwrct :  dt  la  Nouvelle - Hob-  
 Jafidt^i^'mfs, il, -0"t.ndimis^nr*nfSr6  tLt  
 M.  B a i l l ï   I  l’espa,  ;  de  7  ou  S  milles,  
 » naviguant  presque  toujours  entre  cl es.  terre -,  
 ^Ji.-Bren^l^Prm's'êt 'eotneitLS  cft's^plu«  
 « riches  moissons.  -,, 'v