
 
        
         
		s u i v e s . d o u x , '   et  cependant  lai,grêle  restait  
 encore, sur  le  sol presque, aussi  grosse*-qu’au moment  de.sa.èhute.  
 Quelques  morceaux  de-.cette  grêle,  apportés td’Hawkesburry:par  
 le lieutenant Abbott,,/avoient  encore,  deux  jours.après,  16  à  21  
 décimètres ^6' à  8  poueèst]  de  longueur,  sur deux  doigts.au moins  
 «^’épaisseur.  On  ne.s’étoit  pas  aperçu  dè  cet. orage  à Sydney, non  
 plus  qu’à  Parramatta.  (GoLLiNS,  op.  cit,  pag.  4 ^ / . )  • 
 Quel  climat  que  celui  qui,  dans  toutes  les. parties  de lsôn,histoire  
 I  présente'  une  suite  de  phénomènes, si  remarquables  1 
 A   peine  l’arrangement de  nos ► collections  étoit  terminé,  que'je  
 repartis? avec  le  ;tolonel  Pa t e a so n   pour  aller  .visiter.iétahl-isse-  
 ment de  Castle-Hill.  Après-avoir  remonté  la riv-jèreide  Parramatta  
 l’espace  de  trois  lieues .environ  , .nous/fdéharquamest  le’  colbnel  
 et  moi,  avec  queJques?.soldats,  pour-commencer  nosvreéherches  
 d’histoire  naturelle.  Au  milieu  det G&srarbres  divers ^ue4‘èî^èmps  
 ou  la hache ont.renversés de  toute part, sous  leur éoDtGefong-upi'se  
 et  putride ,  nous  rencontrions  à. chaque  instant dessein» <3  
 tères,  diverses  espèces  ddLézards.ét  de  rept||ésrdontîri;©ds  fîmes  
 une  riche  collection.  En  nous  enfonçant  à ,d 1 verses.rt.pr»ise!sf1 d;£ns  
 l’intérieur des  bois  où  les Anglois n’ont  pas  encofé portéde’deinet  
 le  feu,  nous  observâmes,  monullustte^eompagnon  et  md-fyi|ue  
 les  inséotesiy  sont  beaucoup  plus  rares  qu’aux, lieux-déjà?,défrichrés  
 par-les. Européens ;  et  cette  singularité  »hoirs  parut  dépendre^è  
 l’habitude où  sont  lessauvages d’incendier les  forêts*;|ethe:détrüire  
 ainsi, une  énorme  quantité  d’oeufs,  de  larves  .d’insectes"/, et même  
 d’insectés lparfaits.  -b ? 
 De   toés fes  végétaux  Européens^ hè lui qui-a.le  mieux  r.éu#M‘ à  
 là Nouvelle-Galles,West le pêcher  soit  que  la nature' du M l  généralement  
 sablonneux  et  léger  lui  ait; été.-plus  favorable,  Soit  que  
 la  température  du  -climat  ait  été  plus-appropriée ?à  ses  facultés  
 végétatives.-. Déjà  des.  champs  entiers  sont  couverts  de  pêchers,  
 et  la. récolté  de  leurs  fruits  est  assez  abondante  pour, qu’on  puisse 
 en .faire -'Sécher  de^grandes  quantités:  plusieurs/ colons enPprépâ^ent  
 une  ■ esip'leè  der|vih^yiêzï-agréable ;  d’autres , retirent  de  ce  vin  un  
 alcool  de.-bon  go-ik;  dans ’ quel quésha#' brème ; Ion; a  vu des  cultivateurs: 
   engraissér  leurs Aèâh^én's  des  pêches;  En  un  mot ,  
 tout-sêmMe anncfhWri qùfefcéttÈbc’ikltüreîdoh devenir înce^safniùent,  
 '.pour *la Nouvelle -Galles,  unie tbrandhe' déWoriïmërce  analogue  à  
 '-celle  des  ràïsins- pour1 le 'cap  dë<Eonùè-Ekpérance^'Ou  des  figues  
 fpaur  leslîfUitGanaTtes.  r*  •ïH.hi'S  u  -  ‘  -  b- 
 "'"En  arAvant^;àiBârr4matta,  nousallâmes1 foge-r> Aï..  Pa t eù so n   
 -e’t moi, ‘date d a maison-du Go.iY^uci!îÉStdfquè#fia£i  débite ailleurs ;  
 et 'dès lé  lenrdeùkirt,  nfe'tpartrmfes,  avéhlfe  GAfiiAV; pour 
 ^commencer nos1 coürsés'd’histôire naturèlfêi  Aved cjoie! intérêt xiùùt  
 p ar.co ur. uiùêsfM unânt .phAreurs-jours feWlfeuxîsrhkhês édpro dufetifens  
 ipi^uTeileWpour  f-Europe i1 Avec-.quelle’ ardeûrlhëù'Stndds.dis-putiQns 
 JeaoMétpf^s|Hfeshêc4hveft'ê^fiAAh’c'^lclileïâViù^ious^éhcr<^rk' 
 Ineyfhonoïaêlfe^laboTateuTSdihiehrk’l^ ^ le ïi't  de-  touS-'tfesiObjéV  
 qursætoieik ’soùstrai tS  â »mils* p 5opres4 e'eherehCs4i;-  
 îiïDurarft tu é slç^ itiifÉ s -'p liid è î'É i& B - ïd la fM e ïré e l,  fè f r é t a i   
 pluèk'û^fo^^dfel^lfvati'on:k^ê^i<i^®^-nifef'pour  quelle mérité  
 de fixenplus particuhèfeekerït  l’attention. Dansi%s;^aiMféekpWfondes  
 que riouS'iè-averiidnslsouvent^tGouloidhfe.ÿ.üelq-Ues'  r'uissedÙKtfdeau  
 h o vu»es# foÉbléshhh  réssêf-r^ tdans^. leur  irt ;  qùe rd%ne  séide  enjarn-  
 béesOn  pourvoit ïaiséméfit'''franchir deslplu^fa^es^^Ùlc^erîddk't| à  
 5. oui 6 5*ou  zo s ffeM fd ^ éh tê e io n ku^ à s iàb d ^  lèûa?$É|urs.  
 habittlir,  on'pobSeivoit *stt§'d:l l8 b i  êttkife 1 éS *arhfes ‘d ^ J fé d v ’es-éyi-  
 défîtes  que  les eàux^èidien-lf8A;fekînent'éIeé^sç|dsquVoiette',Eau*-  
 temv  Mes  compagnons- me 1 confirnièrenf  TduteHa  ÿëfk)é$dfëhdètte  
 remarquepétîme -fournirent àÆéislije’r d e  pill^ifeùliiiétiaiis qu-i, réftnfe  
 à5ceux  qiSjh'jiavfffbQbteh‘ùéfdëjàî:sîürla mêine-mat jèîeg o^Êpi^j^Mins  
 encore  dans-  la; suite' rde  nOtre ‘Séjr'ékr  au  pôîcV.jHcfeeSn,  mè  per-  
 mettent  de  présenter-,4 vèc  pfusîdintérêt,  lâùsfogùfièrè‘Kfsfoire  dés  
 débordemenkKles  rivières ÙéMettepartieid'e  la'Mouvélle-HolIande.