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 alongées, étroites,  d un-millimètre MiRpi^ç|iy|e  l^ngueur-environ,  
 et: qui  jouissent- également  au  plus  haut  degré  de  la  vêrtarjphps-  
 phorique. f  * 
 J^a^onieur ^p^os^jnguliejs ^oophytes,^  lorsqu ilsÿont en repos  
 ou-quils>viennent  dejmourir,  est'd’um jaune  opalin vm,êlé de  -vert  
 asse;?- désagréable : mais dans  tes mçuv^mens  de  contraGtion ispî>j^-|'  
 tanés qu’ils^éxereent-,  dans  ceux que  l’observateur'pgut^déterxniner*-^  
 son gré  par. la  plus légçjë irritation,  l’animal  s’embrase,  si l’on, peut  
 ainsi parler;  if.devient  presque  instantanément'  d’un  rouge  de.fer  
 fondu,  d’un.éclat  extrêmement  vjf;  niais  de même  queipemétai,  
 àmesure  qu’il  Refroidit,  affecte  diverses .nuances 8^e  coloration,  
 de-même  aûssi-notre  .animal,-à  mesn&exjqu’ii/ perd,., sa  jSîi^'plio-  
 ■ re^éndQ^^^^^^Ç^iyement  par .unp, fouie çde ■ tejn p ^ ^ fférfae-  
 ment  agréables,^ légères,et  variées;  tellesj^sonndg  rouge, jaur-oi^j  
 l’orangé,  le  verdâtre  et.  le  bien  d’azur  i  ncite,ïdprniert  n.uan'ce  
 sur-.tout; pst.airssi -yive  qu’elle  est  pure^^^eit^ans^cét^éÈ^thfue  
 M. L esueur a  cru devoir-le peindre, nompâSgS'egtemenlâpà^Get que  
 cotte  teinte .èsfeÿde  toutes , celtes^qu’il jnésente .^ la  pfus ; gracieuse  
 e tja   plus-propre à donner, de cette  charman t t i  'qf J ’idée u;éc 11 e  
 qu’on  doit en .avoir-, mais entfsÿoqiatte' qu’ejLl^f|t ,^pour ainsi  dire ,  
 intermédiaire  entrp  le  rougi:  de  ,ltr  fondu  qu'il  allc( te<,dans  M   
 état de phosphorescence extrême, et4g»jaune,opalin qu’on  obse^e  
 dans  sôn-.ét^  d’adùissement  ou  de  repos.-absalu. 
 A . l’égard, dç  cotte-^phosphorescence  eltef,rg,êp^  quelle  qn’en  
 puissèdtre  la mature,  quels  que  puissent  être  les^ir^ensjpioptes  
 à  la  développer,; à fentretenir,  toujours  est-il  qu^lfe^sepâ^eifete^  
 dans cqtte  espèce,  a^vec  tousfes, caractères d’une  fonction-réguli|kè,-  
 ex naturelle.  En  effet,, si  l’on  abandonjae>;dans un  vase, rempli  d’eau  
 de mer  un  pü  plusieurs  individus-de  qej.genre;  on-tes^y^it,  à  4 e5  
 intervalles isocjhronèsképrouv'er un  léger monyement  alternatif de-  
 contraction vét  de.dilatation analognes.à-çeux de  l’ingpnation-et de 
 l’expiration ' dansâtes:' âiîimaux  plus-parfaits.  Avec  chacun  de  ces  
 m'o.uveme^pj^i1 vvoit-  la  phosphoresben’ce-se 'développer  dans-la  
 Mjftttractàon ;1 s’âffoinîi^^ûitè^insfertsîblëniéntI  disparoître  tout-à-  
 r fejt-poiûi|SëtBe^fo4 dtee biiento-f-dans lé mouvement’de contraction  
 suivant.  On peut; à%>n grey  l’entretenir pj$ÿ long-temps,  la rendre  
 pius^où, moms'^VèS, , suivant'  qu’oÜHirrite  l’animal  plbs> ou  moins  
 fortement-et  pendant  unxxeihps  plù^oü  moins-long,-soit  en  le  
 touchant; *s|fit  en-ragitantsd’èàh*dams  laquelle* il  -est  plongé.  Dans  
 tons  lëskMy -cetteépfôpjpiëté'»{Ihfosphorique  est  tellement  dépendante 
 de  l’org'anisatSomé t - de :fa * Vi;c€e  l’individu,  que  dès  qu’il est  
 mart^eiie. nejsàiibit pl^&Sfeprodui'rè3  Au  rèpte-,* -|es Tyrosomes  
 « ont.:cefa::d^^o@m;]kun"<a'Vée'  tous  lès!  autres  animâiix ^marins  phok-^  
 phoriques,  et..jemeffais  qu’indiquer/^itoefcobjet  important,  sur  
 'lequel^uMrdans lâ^itefeinotsion* de  re^ehiCtfes-etfifetkil, lorsque  
 je  traiterai la  questionife -Ja« phosph^|is^eh;bëweTa men  ' 1  
 ..  La^à^ù^^dbb^|no%ive;^èpeo|sè p te lq u e   l:a%i|fi|>par©îc>dbseuré  
 et hbrké^danstteefe:ânimai ;  dlefsèmhle ,>enIiMtt4^dnâsfter Yxcin-‘  
 si^emènfddâns  ce^égér^nïouvementudê.ramtraction • queîïè/vienÆ  
 deî4 éerrrë(^ p   dontMfdffi^lfi^'âàæ^feWfeilÈ*dbûinè^-un -légef  
 ^ ^ S S |  ré vis ion  ret|®||âÿ^j||emment de* progressait rétrograde.: 
 4^uj^et^ubbp'tioeirie le rnd4e*d^^tmion  cet animal-,  j’avoue  
 quhlmdsèr^tt  impqSsihle|de|i.rien.dire-Mf|||Stif ;h | | ft^ ç o n n e   •  
 secernent-  qu’il  slofere;-; de ila/. manièretSùivan't'êfvJ J ai  parlé  d’un  
 anneau. ,de ^pé^ft-uherè#és ‘dispbléiiaü' pourtou r f He  i’oué  
 - v,ertùre«.aux erieulpj^^vcê|êps ^ët flèstreignant -de  près* de' molfre * le  
 diamètre  d ^ q ^ ^ sp e è e g d e^ éÉ ;^ 6 ;  ne  serOit-'iipâS Ipd-ssiHe  que  
 1 ânifnal r,;  âvfeHLpar  I irritation  que  doivent,  petits’mol- . 
 lusqdës&|txés avec^jeâu-qui  larremplititoujé-urs,  dans' l’in'térièur dé  
 la* cavité tubuleuseMont hbjï^laêsons  parlé,i^|pérât une  clmtraction  
 assez ffpîjt'ë* ppur determiners un  rapprochement -fèkde4 chacun  dés  
 points  de  1 anneauj antérieur.^VqgéiL’^uv.erttïre  de ; cdliê^paftie ■ se 
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