
 
        
         
		fvoit  expédiéqueiqbës  embar'dkiof s'ÿùur'' réConnôître  la’baie dans  
 m / m  E. Çfofïrcier  dune  de  embarcations; M.  Hëirtsson,  
 rapporta,  lors  de  sb^retour,  qu’il  a^ôit-'détQÿfVfert  l'embouchure  
 d’uné  rivière,  q u i«m o n tan t  dans  l’intérieuèdëirterrés, paroiss©ït  
 se'proloïigèr'fort  avant:"Cette  an’nè’ncé  füt>rVçùfoavfeitmn  plaisir  
 d’autant^îus->if,^qfieqts'qu Éorrriô%rn avions pudécoùvrir aucune 
 tÇcfe  treauKâ o i^ 'lu r   i f  Vêrrëlle  Leuwin,'er que  rid^hügnteions  
 fas  q le lë é  Wvigafoür<?’ qui  note  avoienrqirécédéfMf-' difFérens  
 points  de  la  cke^îSDO.  de  Ia~Nouvelle-HoiIaride,  n-’aVOferit-pas  
 été p lu / l f e ^ t f l   que  nous.  II  fut  donc  OonVfenu  «jue  le  lendemain  
 matin,  â  deux  heüresV-la  chalbupé diTGBgraphefîo^$\t  fcbmman-  
 dement du Capitaine  de  frégate L ebas,  et$M petit-canot dù W m i-  
 râM $ iavJ#Ie  Capitaine' M j j lM M M M   rfeeOnnoftre^c'etté  
 rivière'èï ^la  rem on te ron t  dans'i'iïïtétréür^’^rs^^din  qi 
 ^ f f l lb le . MM. ÛEPUcihÊfeeH-EÿrAtlf, R iÉ D lT É ^ f e )^ K ^ ^ i , 
 ^tînmes  de  faire  partie'^de  cettetéxpédition;'à  laqüeUe^notre  
 médecin,  M.  L haridonV voulut  prend«'  trie' part^àæêiie^t  
 En  abordant  au'  riW ^/nô’s  deux  Capîtaifee^^nvinrent  entre  
 eux  que  la  chaloupe-,  tirant  trop  d!eau  podi"%ne*Trfaviption; tfotée  
 genfeTd  ètoifoplus  c o ù vM i le   de  la'n tw fflà  amiâfgf^ d ÿ â s^a 
 garde  de  quelques  hotnmes ; et  d’empfofër  une partie  de^sMtéqui -  
 p l|e%   remonter  la  riviètéîà ]hed,/tandis1 qued^péfjn^ah'Ot.^s avan-  
 ceroit  jusqu’au  point  où' le  défaut  deau  le  fèVcerdit'à# s artéc^: 
 * Aussfift  que^WdispO'Sîti&fs-^énéi-aiW furent  terminée^,  j|   
 quittai  la  troupe  de  mes  compagnons:,  pour  prolonger le  
 la  mer  étoit  basse,  et  le'  ïnbment  propice  pour  'én tre^ÙêillÿléS  
 produits." Je  rie  tardai  pas  à  réunir  un  âfsez  granÆ'-noÿfejre.d ob-  
 "J0   nouveaux,  parmi  lesquels  -une  charmante  espèce  üQrbüljtc.  
 vivante.  On  sait  assez  que  les  brbülites  sont-un  petit  'genre  de  
 '’ ’loophytes  sblides/confondus,  avant M.  de  la  Marck,  arec  les  
 véritables'  nummulites^  et  qùë'ceê  animaux  singuliers  n’aVëient  
 été'  trou a s   qu’à E'état  fossile.’ Cette  découverte  ri’ést-pas 
 la 
 ericore 
 la  seule  defce  genre  que  nous  aurbns  occasion  de  présenter  dans  
 le  eburs(de-cette  relationff efofes  »rivages  de  la  Nouvelle-Hollaride  
 nous  jfpàrnirbrittsouyent  de  nouvelles  preuves  des  grandes  catastrophes  
 de: la  nature. 
 Cependant |p ^ « s | r  'çè|observer  les  peuples^ de  c&S  régions  ne  
 tarda  pas-%m’arracher  aur-HvaJèÿi  je'-franchis  les  dunes,  et  presque?  
 ^ussitôt -a^nièi yih  arrèté.par.un:marais,. dont  les  bords'é'toient  
 Pj^tpÙEfCpîivects rde  £mûbfnr^   et*  sur  les  eaux;, saléeS  duquel  on  
 voypât  .plusieurSj troupes  de  cygnes  npirs  naviguer  aveq^élégance.  
 Au-'delà  de  ce  marais,  la  prÆidke^ri^ierefoOnt mès  ahtfoétolent  
 al|^^lerjDher'tCénï'b©dchure,  dessinoitson; cours. Un grand nombre  
 dempreintesfde  piedsrfos^m^^  que  plusieps  
 d’entr^eipe i’a vooentTécen^entîj|^  dddeîsuilef 
 trouveri;|||r  l’autte  bord.  Tandis  que  ïfo cfierohqis mn  éricfrôit  plus  
 favorable à^mpn p ^ ^ ^ e n ten d is^ ir è r ;  iflStancep je' ©rus 
 pqüvip# té^fOfiÉreî;,1  sdans|> l|l||qhasseursquel que^èbkpagnorfs  
 d’a&entüre;, mais jjfM . LEvrLLAàwèt 
 biÆ lo in ^  Vùuloirpàrtager môn;^treprise;..s^eff©BC  de'm’en  
 détouiinér par leurs' cpnseMs|(J’ayajs pris ma’téloluæion; je me déshabillai  
 ^franchis  la 'rivi'èm§en^feqr  pïésèri^eK'edm’enfonçai.dans  la  
 fqrA,iqui.>sè^proLongeoit‘ sur ,s f  rlyè^gaùche.  II  étoit .onze  hêurOs^  
 I|ijjKpL étoit spâirj  la température  agréable;'de  telles  circonstances  
 ajOutoient à mon ardeur,) et, plein de  ffespoinde rencAïttélr'biMtôt  
 le^ k(»me's-'de^s.,b o f^ ; jp  prérgipitpis^ mes  pas  à  four  suite,  fors^  
 qufune  ç^ç|jùxeB,tp|| ingul ièr#' ■ v « t  mel. f&téféb 4  lésifSfependre.  -  
 „  A:peu;de»distance  du  lieurde' mont'débarquement,  jauërCus; un  
 vallon,  qui;s^  dirigeanA^eÿsyFiïitérieür,  sembloit;dfosinérfo«cours  
 d’un  petit  ^ujssçaiil^ je  n4 .çms,I nas  (%yolr  me  dispenser,j d’aller  
 vérifier un  tel |s^tpçd|i ;  malheureusementliifc'tSit, feux,  et: i’allpis"  
 reprendre ma  rj^üto-,  lorsq^^&est jpgards seStpfov^ënft'  àrréfos  par  
 un;massif de  grands  arbr|i/jqui)  par  ipinri^pulcùr d^^fétâph^iënt  
 fortement  dq-;ceux  qui  fe|  avOisinpient..  ^;'Touk|étorent  blancs, 
 '  TOME  I.  V  ■  fo"  '