
 
        
         
		qui  sont  doutant  la  plupart 
 semb 1 eroient avoir Ieursanalogues ujvans au pied m&ne de&?i‘„qgfcer&  
 qti elles  composent. 
 Le  3  janvier  1 ,^ 2   vit  succéder  tout-à-xoup  aux. vents' faibles,.  
 aux ealipes.plats que-nous avions?eus* jusqu’alors,  une.brisçj^.piente  
 d’Q. M. O;,  i  le baromètre  s’a b a t  •ïapifenent.de |z8&qt*k'2pp- ib'.\  
 Le   ciel  "'se  couvrit  de  nuages »épais  .et.- noirâtres:.;  nous  eûmes  
 durant  là.imfc-.ïliifiifQBie  averse.. Lè. lendemain  4  janvier,  leesy^bjnts  
 continuèrent  à. souffler  grand  fiais  et.par  rafales, impétueuses, /  la  
 mer  étoit  horriblement  grosse,  et,  le  rouiisikcèsr fatigant  :  mais la  
 rapidité  de  notre  marche  nous/ fais oit  supporter  aveeuplaisir  |es  
 inconvéniens nécessaires du  temps, qufcqo «^éprouvions.. Au mi%u  
 de?Ætevaguesv^UK@ucé^ ni®i»Mmns ïta^fo deuxcTaMnesmoris-  
 trueu^s,  qui*  passèrent  très-près du g navire ;  ib.rne - fut <eépousant  
 impo^lde  d’en déterminer  le  genHp,  parce  quelles  ne  firent  que  
 se montrer àda  surface  des Hors,  et disparurent.enkûite,  en laissant  
 m  vaste  remous  aptes. elles;: 
 Assu rguhtffcngo  properànies  agminé’Mcfûs- 
 MfeeentwqBe' vadisiimls.. . . . 
 Le  5 ,  bousbousT’trouvions, déjà par- 39$' de^latitucfenupar  i iy 9  
 de longitude orientale. I(ci disparut le grand:Pétrel  éq^mm^à^Êro-  
 cdlurui  eqiùnmudis,  Lmuf^f ’A  nous- avoit-appaBû ^  1 nééigpbre  
 pour  la  première  feis  par  la  latitude  de  àr°  ényirom;  .ekdépuis  
 cette  époque ,  il- n’awdiB- €ss$é*4 q .^-moôip^attfionr  de  notais--  
 seaux;  Iè en  résultedonc  que  npus  avons, observé  en Ireaui pétrel  
 dans  .une*  étendue  de  plus  de  .19°,  sur  les  limites  ;djss  régions  
 équinoxiales .Australesv  etf dans;. la  plus, grande  partie  -des! régions  
 tcmpércestdç-cette même portion, du  globe:;  e t  sinous ajbatons  à  
 ces. observations,  qui. nous  sont  propres 1 llautorité  d’EDiWARDS,.  
 de  B r®#®  et  de  LbN3®ÆUS^ qui  tous'  étendent  Jesi limites  
 de  l’habitation dit Pétrel  équinoxial  jusqu’à  la  hauteur  du  capf.de 
 ♦ 
 Bonne-Espérance-; e t même jusqu a  celle de  la Nouveîle-Zéèlande,  
 on"  conviendra,  sans  ’ doute,  qui!  eût  iêé idiffiïÆe  de  donner  à  
 éétte .iespèce un  riôÉi  qui  lui  'convînt motes  que  celui  ^éqttino-  
 m l  y qui-semble'mdiqûer  un  habitant  plus  exclusif.des  contrées  
 équiÉdfïafè#f'v5 
 Le >6-et! e  y  janvieïy le  gros  temps d'es,; jours' précédons continua ;  
 ci^àe^ttiér  -jour",  nous  ïiotis'îtr¥ùl€oïfs  ]5âr *49° l4 e  latitude  et  par  
 • 1 de fMihgkude  orientale  :4e  tberm%m!èftÿên’indiquôit plus  que  
 rblfSet  lissent imérît^ du  froid  lè  plïï^Rif nous  força  de  recourir  
 à^n@s. habits?  d’hiVè#fiNous  ‘eûmes  '1-a  première  Vue  de  l’espècé1  
 àlffîlMttfê'yse >  dédH#* paÊr Forsteû  sous-le  noria  iï A'Wtitresse  ceuleur  
 dj0AW&lâi‘pI2iomedêh'' Spddîtmf];-. '‘Nous avions-rencontré Rdès le 4 ’>  
 par* p Ÿ  dX'^lldtkè^îe^'ûmmim'pDiémidea  Exlifans,jL in '.  le  plus 
 gfàrid  dès  ois^mxpéfeigiehs' antarctiq-uès ;'lt  nous enavi-ohs  observé'  
 l ^ # e ü x p d u t - ê t r è   de  
 cdi&Sidirèf^febfnme dèuif'èŸpèl^Misti&S^s,‘ ainéi *(jûë  jè< m'efforcerai  
 de f ï  pïouvfer  aill’pull. aQu-elquès individus afoient  jusqu’à  32  Me-cb  
 riièfes - d’ehVé^1|fei>^ p  ^pïfedSfet- même «davantage;  L ’Albatrosse  
 ecfuléâr  de  cnobèlût  m’a  .paru,  comme  à  FOr s t Lr ,  plus-petit  
 que  A’Exîilâns.i  ïMfe'qù’àlix  atèémgès - de  la  terre-"" de  Dieïtien;-  ces  
 animaux ^ônt  bâtifàlite&f et  leur  ubiribre  sembloit  s^è’r 
 erfltre à  iïiësûre qüê'ribhsrious rapjmëjchionfcdavantage dès climats  
 froidécrit  brumeux'/ ou!'s’exerce plus  particmeremërit  leut'^Sipir'e. ‘  
 Là'-joUrnée  du  9  m’ofFrit%piTâÿOùrs  arii'fnâux  intérbssâhsf  Lèàî  
 ptëmierSmrent Ces grands ^OèéMnds brkns'-fiLarits  '€âtâraiirs, L in Æt  
 ccrnüué des matel##soUs  le nom  de' 'GdÆmnkrs'/ de Pmiles du Port-"'  
 Ppjfftâat,  èyc.  G o oit  a  vu  î leurs  nbmbreùx''ess'àims  sé'  reproduire  
 jusqu^aü milieti  des«glâcel» qui  bornèrent  sa  Course  hardie  au' 64?  
 &§r& de‘ latitude 'Australe?  ^SèsGbélaBd’s’^sSmtl  apfèS  lés  AibU1  
 tro^stï'f'lës pMa^pifiSSans  oïsêHux pélagiëïis dé l’extfémité ânt'arctîquè  
 dîlMbhdé;  | 
 "Lés1 autres  troupes  d’oiseau^-'qui  nous f;apparurent  'pendant  la