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 plus  anciens,  ê®* dont, te '-géographief^-fevoit,  par  conséquent!,  se  
 ressentir de-toute  i’imperfeerionctes Jttoéttbà&è.ei  dted:«miinfensi; 
 te rwièrw des Cygutes-atussi  
 teio  qn’ilte-  siüOit praticable ;:  tevigj^te' fra®té  pariimiièBâi ’éertfîte  
 RotOEes®  et^d«fai pawk de  -ôète.  qmi-dk voisine-; tvisilear-tes' redoutables  
 tAiffcdbdS^^fecéds à Peilsar ^podiplérertei r^cmpé^amee  
 deter  grande  ’baie  dé- Skark |~cbesè <ïdden^niaïïas|p fkerndkrasea-  
 posistensbapterterre  tte  ’Witt e t te long; du«rest-e-de læteatei N,.. Ou,  
 parakulièremem. Iteffliréê  de te ®iviè»ed?® Roi.Guittanm® ^ lîe^fe da  
 Romarin,  &e.,  et  terminer  enfin  cette, litangu»: es  premèèB® i camp  
 pagne aucïtp N. O.  de te Nouvelte~Hsoltende7'D.eee dernier paintp  
 frisant voite^-pourlSes-1 M o f c ^  nous- allïOnsiMÿtemer à Timorteu  
 à/Anifeoine.  W&M  ■•-  -  :  '  p  :i'-i  i:.;v: ®: J b p$ 
 IEté  l’une ©u  Vautre  de  ces: deux ite s .e n   passant  au  mord  de  
 Gérau%  il:'n^â^«yt'wA»aiàé>tfafl^"~àte^etf‘fct-.«Ê«è .3?»O.  de  te  
 MouvelfeCuniéê,- de la reéonnoître jwqu’aii p eint ©tes’étoit aorêté  
 Gbcwçpet  demère-lequel: onu suppo'so it'Un détMit^-eVtapant égale?-'  
 menthte* MMweSfe-Ouine'eï en .plnsieucsi fiies^f edë&cèndanr  ensufiè  
 vers  te  détroit d e : l’Éhdeaw®ur,  nous, dévions. attcrrra? à-: ta  pointe  
 Êteitentafe-  db grand, golfe  de  Carpemaatre, .n o u a ^   enfoncer ,,  en  
 jfWônnoitre- tes^prtelpank lienk^ . fixer  te position de  plusietos îtess  
 qui:  se*^souvent•  indÉqaéesistir tes  vieilles: cartes ptviswer  i’emfcMP 
 anciens plans de  ce>'g@lfe, dknsi lequel: nul' ^©yageiær n’amjâcpénéîrâ  
 depuis^ si  long-temps ;  prolongeant  ensuite  la  terre  dAfl-nfoerân. ec  
 G#lte  de Diémen  dtrNord,  nous  allions!  terminer.' ' cette?'sèGOncfe  
 campagne  àce?méme  cap du H.  Ot  oit la première auto io été finie;:  
 traversant  alors-  l’Oeéa»  Indien,  déterminant  la:  longitude  extrê*  
 mement  incertaine  encore  des- île® Tr-iate,  nous; avions  boidre? de: 
 venir  pelâcHer aftne sçconde faiéâ  l'IteHde-Franeè^  de là, dans notre  
 traversée de retour on Tmr-ope,.-calcu 1 é:pour de printemps de  1803,  
 te#cOïano isfràce- d’une portion de iapôte Orientale d’Afrique, sur  
 laquelle  ïterestpir’encore-quelque meerritude’mix 'Géographes, eut  
 terminé- 'Utilement  la  suite  de nos. iongss travaux. 
 Tel fut  1e plan générai* tracé par te’ Gouvernement à notre  chef,  
 plan dont  ltexéeulion iimérate auroït  rendii ceavoyage  l'un des plus  
 rapides -et  l’anldes plus - frufctueifx'. qui  eussent!  été  farts  jusqu’à .ce  
 jouir. d ’expGfôerarsM^eSÊiveimentt,  dâns^rîfrdTeVdés'époques«où elles  
 Êjifent-lieu p ies -modifications!' qudi épixbuva ;oon  peut  cependant  
 jàger déjà, par I’exposé  succinct que.ffcà'wfeisljfe'^inéi^p^nbiaslv  
 Mus - te irâp-poït’dtf perfecticmnes&ent  de -fiajn-'av-igation  et  de  la  
 gÉfagMphie,. >ûè|tê 'Expédition étoîtîfenportante'S plus.\dk''ciaiq mille  
 iieûës. marines  de* b ôtes in non ri ites- ■ nuntrèfeïrnal  connues,'  dévoient  
 être expte>ïéfe;s efrdétati ; jamais aucun .navigateur, V.AN^p^vtR seul  
 excepté,-n’àvotjfe-eu"deTifriteioh  pins1 diffi citer i£ n  effet,'-ce  né  sont  
 pas'les  navigations  au  milieu  desraners, Quelque  longues  quelles  
 puissent  être p qui  traînent'à teunsuite  lessïever^  ou * tes màufrages ;  
 ce pi ont  .Ofeltesoqui,  bornées.à  des .rivages  inconnifrf'à  idéalçEfes  
 sauvages i  présentent  àcfchaque  instant  âe * nouveHqs'  difficultés  
 à « vaincre,  de  nouveaux  dangers, à  courir-' Gesédifficultés  et  ces  
 dangirS,  triste  apanage  dè  toutes  tes  expéditions destinées à  faire  
 die la biographie  de,i#.é$ail^re e'dv© fent  un  caractère’ pf^fimminent  
 encore-de  la  nature  dess. rivages  que mous  devions «explorer  :  nul  
 pays,  en <effet>.n&-fe<®St  montré^tjusqute  -eèvjour, «plâs  difficile  :à  
 reconnoîtréiqué  la Mouve-lte-Hollande,  et .toutes lèsigrandés  navigation 
 «' quijy'-onvét-é.fa«elbfom' été marquées:par,tdés||?èVers ou-par  
 des  tentatives impuissantes  :  ainsi PELSARipà la  côte d é i’Ouestv fut  
 une des premières;vfctimes de Ces rivages; Vlaming a parlé des défsris  
 de  navires  qureouVrbient'i’fle Rottnest',  lorsqu’en  iépÿ  il aborda  
 sur-éette^i|40tet jnôü|ip  en avons1,trôikVè' n'ô'us-mêmes. de  beaucoup  
 plus rîcéns ; l’audace du capitaine: D ampiir et?saJx>nguf Expérience