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 contraint  de  venir relâohef à Timor;  dix  hommes atteints*de  ce.tte  
 éruelle maladie Eurent  débarqués àjljfoupàngdë  lendemain de üqtre  
 arjfitjée / et;  furent  établis  dans  un  magasin  ruiné  de  ta   compagnie  
 Hollandoiseqqui  fut désigné pour/notre hôpital,.  Indépendamment  
 de  cesi4ix  hommes iphiSigrièyement  malades,  il  y  en  avo'it  encore  
 un  grand  nombre  dont  fe%<genci ycs-fo to ient  plus, ou lïgoips, fongueuses  
 et  saignantes;;‘ j’étois. .mofrmême  d^ce* nombre ;  majs^fees  
 symptômes légers?cédèrent  a isém en t  ltasagè.des.aliipens  frais,  au  
 séjour  de  la  terre;  et  à ! l’époque, dont  je  parle maintenait,  jë.|ne  
 fcêouvois  parfaitement  délivrévdte>toute tâîfeinte*” scorbutique, 
 Le  ^'"Septembrey omsïgnata,\dans  ta/pa^sse^du, détroit dé  Si$kâo-,  
 d'eux  frégates; Anglôises' et?! quelques, petàtsu’batiinensbd^^ùerie';  
 Pajapne  devint  générale  dans  Je  pays*  et  déjà* l'ong^préj^roil à  
 appeler,  les  redoutable^milice^ Malaisesudefintérieur,  lorsque  la  
 dlsj^ttionvdjd lescadre» vint  rendre  ta  calmé ià  laL.cdlonieïf. "• 
 Djuupoauut Ÿ\>  dfi'  un  grandnombre  dëxpërienemtqàwop 1 e  
 dynamomètre!, > pour  connoîtie .la  force.  relative» d!es! peuples ^.au  
 milieu desquels nqus nous »notodongffihtGé^. Les  rés ul tats Intéqps&ans  
 en; seront présenitaailleurs/).-; 
 Le  u®r  septembre,  j’eus  occasion  de  faire.; une  remarque  intéressante, 
   à  laquelle,  je  dois  l’avouer,  j’eus  grand  tort  de  ne  pas  
 donner  plus  de  suite.  Parmi |les  individus  qui  vinrent  nous  voir,  
 j’en  observai  deux  qui  avoient  les  dents  antérieures  ornées,  de  
 petites  plaques  d argent  assez  épaisses, ;et  qui  sè  trouvoient -tellement  
 adhérentes à  l’émail,  qu’il me  frit  impossible,  quelque^effort  
 qupcje pussfefaife a ve c ihesmpgles,  dîéfiranler  aucune; dé .cespet&s  
 foüille4 Æ é s A o m m f d e v a n t a . m o i ,  
 sans ; paroître  s’inquiéter  de.  cette  parure - bizarre ;  ils  m assurèrent  
 que depuis  plus  de quatreîou.cinq moisdles  étoient ainsi  collées, et  
 qu elles': ne 5se; détacherôient  que  par  l’usure.  Par  quel  moyen  ces-  
 hommes  ont-ils  donc  pu.fixer,  cl’une; manière : au'ssijsoiide, .de>te|les 
 pîaqpes 
 plaques 'sub 1,email  des dents.!  Quelle  esUdoncifcéttë’ substance  qui  
 pe-iÆt'résrsjtèr ainsi  à  l’action dissëlvahte  de  la  sâlîvë  e t’dès, alimerisî  
 Nos'déntïÿtes' n’en-eonnoissent énëërè  aucune -qui-soit^sqsceptible  
 de bravep&es, agens'élivliif ils  ’soi©:  réduifs^lfeagédes; m’étaûx1,-  et  
 particulièrement à- oëlui  du plomÉjfpoun-défehdfoï'è« partièsfoariéès  
 des  dëntsÿîls nfont^aucununoy'èniqui :^ùis,âë  ’s’.âppliquér  à la" surface  
 plflië  de  léur-emailk L  I .  L e 1 m as ti^^ls^'MalailflelS:' donc  étfé,flous  
 to&s lës^/apjfÔriÉsune  préM^sdfpour *PEùrope  :  mais 
 entraîné par’ la müft-iplifei|ë  travaux, 'fiï-êfêgh^é^e  prendre 
 dë§  rènâcrgnemëns.plus prléfir^à^ef fég^&e^jie-Wd^lfckdroïs lePejS  
 ri^n  dird,,ts’rl  h’éf^fetp’à,s*indispensable ibappcjct’  *0 b j tVJ ’a t - 
 tëMidn  ’desb-^ÿâgeùrs^ pélît - être  il*s ^pourront7 'faite^d%ue' jè   
 m’accuse  avfe'è  regrfet  d'é  naVotapis  frife. 'D a fiM ’fiisféïre  partial1  
 liè?êEde  :Tirnl>f f   "parlMt'Mëlf^ins'trb.iÉèïîsjflf^^lre  émjfqÿé's 
 p îp f s   Malaisée* présenterai ’que l^5^soupç©1^   ê?iflr  la  nature  de  
 la-substâwe  qühlps,%grf'dë: d^è-ëuffir; -et* 'j’ai  ltfüi;'d^trSirei'qu ên  
 cherchant  à ' ^$i«fid#^î®5ÿ,sd;êu!tès'J  onJpourra" fac dément  arrivera’ sa  
 découvéSté;.*^ 
 Le  11  septembre!  le  Roi  A madima,  -qui  avoir ► p&sé^.péu  de  
 jd#s^'ans  venir  mfe  voir,  se,p|jé'#ènça‘ ’d%m&illeufo;hétffè!"’qii^dè  
 coutume, '“ët  m e f ai tr  Amt' Ter o h , Viefrs  foatagéïvdfâ  rfz? dans  ma 
 « -ifraifonv^ 'Som hirf  efrfoêîmoment,  avôrt  qlfoiqâe«' chose  dejp$là  
 afféëtuëux  encore  qua-  lfordiilire fé# dépendant  il^rav^ï^p^rie  
 sais  quoi'de  imstéheux  dansasfs  manient«-,.  q u l'Mix a -jn o n1 *att e iï|  
 trlfniëil  me  prit  par  la  mata,  et që  lé^suivi^En 'eMéant- dahWo'fr  
 palais’ou  dans sà/chaumièrêi ^e-ar l ’un et' l’Mtre' nOta’péütlt’^lEpliqùèh  
 à  cette  royale frabitàïfoîri ]f.|/^pbffus -MWè^gràndq^mbté^d’^   
 claVfeS  parés  comme  aux  qô-ur'S' de  ’fefoi'  Un  inôucon- fout^ntleP  
 cuj^ît-soüé un  hangar  voisin ;  plustaufs,-dès*femm^du Roi é|é^Mïit  
 océUpëëstla cuisine :  jé ne sif.ms à-qué'i’tantl^prSpatarifrfre\pTent  
 jfb'outir.  Bientôt 'csèEsefvit  le m ou t ofitay 0e  ! A   a • dêÊèâp 
 1 animal,  m’èn.présefite un hàofêéâù deSfin<Jl>5iæJ^c l!fSlis\^;moins,  
 Tojvie  j,  v  s  5  ■  '  •;  X