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 ïiayïres y abordent annuellement  ddtoufèsdes partiesdu monde;. ..  
 Quelle ^împortance  fd^fbMë^V^ti^s  dynamoînétriquès  ‘dirigé^  
 ave cdnte 1 ligencejpoursegÿies“àv,|i opiniâtreté1;- rie reeéyr4ient-el|è$  
 pas';%i  on le&éteridoit f nfeeetd-dlîâerit-à  cefte unultuhpe <fè peuples  
 si  différens  1est:ulf  desy&'utrfesd  M a i^  s'âflrafS' iithpr#|ùger5 sur  un  
 travail  bien  exécuté defSglBgnSfe .mu’il nie^àd  permis U'^riésenter  
 maintenant 'quelques  rçdllxieris' geiérai'ès  sur  fés^^u&^f)resl|ri‘éés  
 de  la  fbffilés|Sdfés  t^disifpeujfles dont  j’ai  parlé; 
 % ÿ E C T IO N ^ V I   I. 
 Des  Cai^sî'prénimées  4e  la  Ejikless^açs Mahitans^^iJa  Xert§  
 .de Diémçn^.de  la  'Nouvelle - Holland^  jr.  h 
 jE'^fe^de^èoiütater,  par  dfeexpérie^e^ntfect^^un degrlrde  
 foible^ê't^a-rèmarquable  dans-lés^péup'lesïde1 la  teide - de-pfeitïeh ;  
 'derféTfchveüe-Hollande  et  derTimor  :  doit1 on  imputer  exclusivement  
 cet?e*  ïbi blessera  leur  in an rare 'fl’f  
 mêmé a l'absence de  tout état social parmi:çux|?t; :u  C/ëproblème^  
 aussrdifficile qu’iHferessàn%é^gefekÿai'ido!Utè'âpoi»'®%h puÆri  
 donner une solution rigoureuse, plus de -frits "que je^n’èfh'àt>i^^|gîlli.  
 Gependantdëux q u ^ e x^ ^ ^ ’iëj mS^^ouNam <S®cipmn«w^hlT.  
 un grand  jour  sur.-cette  matière,  /ai  cru  cltvoit  JcurklonncrhofÉt  
 le  développement  que Timportânée.dedà  question  
 ?VTïés  physiologistes-modernes  :m 1 réuniàsentdp6ür *aîf^tfe|'  que,  
 toutes choses égâïesd’ailleurs, une nôurriture ^bondarit^^'S'âduirre,  
 un'Fexercièè habituel*,  cèptiiiü, modérê^ur-tout; sont les/êonditîcfifl  
 les plus .favorables-'au  développement  de  la :force'physique, Wson  
 entretien;'  ife è  ^température» un  peu  froide  pârôît  être  .üîid'troi-  
 sfëriië"condition  avantageuse,'  quoique  momà  'gënérafé^èt'  moins  
 exclusive  que  les  précédentes;  Les-dispositions  contraires  à '’celles  
 que  noùs' Vendiïs  d’indiquer,  ont  été  jugées  devoir  produire  un  
 effet  opposé/ C e  petit  nombre de principes" étant  admis,  les: Causer 
 ' _ A W |Ë E  R R E Ç ^ y ;S TM M E  S. '  459. 
 de  la  foij^|%^  de^p^pyês'JdqhluiQus  parlons;/-  doivent,  ce  me  
 scipb.l^te'âî g^ti»cjàpssi  l^pj^siîqu ënérgique§frjPourf le-* prouver,  il  
 pig|,suffira,  »si&carifctqjfoenfc Péfcat  physique  du  sol  sur 
 l e q u ë jà b b i c u n p e ^ p ^ s y s f e   t%uyejplacé  par  la nature. 
 fit/v*  'Jlabndjtâ  de  È ïmehr: ‘ 
 La ^ïand;%4^ad^|;pn/mpy,  tr<|p ^ ÿgionnufi,,des - Européen? 
 paturgltsW^est-  sqhg. tou-,' h|s ra p p o S ,  l’un  des  pays  
 Ie?  plugÆ^ides dp^rinde .  Il/|k(|p|  pas  de  n^onjjoBj’e t, d’insister  ici  
 fe,|U’^jfe|^tabjeg,u  rie  st^pto/Juc^nohî,  \ cgêtâJëdÊt animales!^ ifuie  
 en jî&u de^mLs^qîifâ t-qu lcv les o^pj!feVf de  
 puli^^^aîfeimaude  ’Coûte à 
 lÿç/U^p^a^iu-pi^jn  de .çidfuÿe,, auçup, travailfp|re ,qq^,oéjui  de  
 cuitdh^cSjtrtsois ;  là^tür|/f^rt to'ufe.lÿre¥Ëe :  l^ ^ e s , t d ’une'qûa-  
 1 'r/-^,’P4^U\urc ; felVs/ncdjP^ ^ u^4%és ;4 'a patgteî/I’ignamc, Jpmanidîé^  
 / y^tjpluâeArs^ aut^^^ui po^sont^ncoupues,  ^foisonnent  de  toute  
 -  part  :  ||jyun  m&tf,  JlfAy égé ta-lpar o îy y -  iï^aygumu|4  tous 
 Q ^ i^ è  ^ gn e ) animal,,  meme  prcffudpp’de/fiierijfaïÉl? Autour  
 d.e,.la  |c®s^dpA.iyi^|ii^,jndqlen^. pullulent. àj.lignviV^es  trqiapes^de  
 ''p^rd^^^ScanarcIs,  de’ 'jéafe-b-png,  de  chèv;re.s^jo.; moutons ;  de  
 ^ÿ.l^es/aè^^yîrig;, &Cî‘^èütb|Je^sfêrêts,de firi/érieur sont remplies  
 de„,tr<^upeaAxi'sqonyidérableMMe  la  plupart  deifcpS’ mqmes|rinimaux  
 ~  :r|dey^q,us^4aüÿages.  Ajout,|^yr c||nnombrables ‘i/gions  de sffiges^et  
 d^enormes cbauveSrSOiurÿs  dont les JVlalais bimentjbeaqjCdpp la  chair,  
 y^etiyemçpt.jres^tcndre. eturèVdélicatg;;  et  l’on go,reviendra  
 saps.dç(ute que,  dans cette  partie,/jfhabitant  de^cys^égions h a  plus  
 rien  g^desher;  Je  ne  parlerai p as  des  oiseaux,  quelque  abondans -,  
 quelqup syariés  quol|| puissent ê t r e ,  parce  quau  miiiep^de  tant  de  
 richesses  il  , dédaigné ’ absç^ujpent.  Les  rivières.lui  offrent  en  
 abondance  désunissons  délieatsJ^Mais .rien  ri’est,comparable{%la  
 „ p co h d ité   des  rivages  mêmes  de  Timor  :  tousdes-  naturalistes  de 
 Mmiri-  2