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 »  disoiént-ils,  ia  vigne  ne  pousse,^àvjlc  plus U&  force  et  de -vigueur  
 »  que  dans  celui-ci,^X^outes  les. apparence^,  pendant de}ux octrois  
 » mois  ,  se  réunissent  pour  promettre  à  nos. yoins,  (des ,*|,é;coites  
 »  abondantes,:  mais  à  peine  le  plusj» léger  souffle  vient-il  à  partir  
 »  du N:  O . ,  que  tout  est perdu  sans  ress.©ureef ;  boprgeopis,||fe.uT's  
 » .et feuilles »  rien  ne résiste àà?®A ar. d e ur. dévorante^ tout  se; flétrit,  
 »  tout i naeurtj,, »,,, 
 Contraint de céderfàla leçon de l’expérience,  ainsi  qu aux plaiqtes  
 de_ces^  vignerons-',  M . l e   Gouverneur  K ii^g  ^venqit^eq^^e,  se  
 •absoudre  à  transporter  ie^^ignobl^ dans ^ne^k autre ^àrtie  de  la  
 contrçe  que^çes  hommes  âvoient  eux-méi^s. ch o is^   et  qui  leur  
 feroï^Soit  susceptible  de  justifier  le^plus. liautçs^esperances.^,3  
 ;  Quel  que  pujsseÿétre  lëÿpsultat  d & e t t e   nouvelle  ten tp t^ I  il  
 est  certain que le Gouvernement Anglois  nab^donneça*la culture  
 delà  vigne  qu’à la dernière-extrémité,  et  qu il  saçri fie r^,^o ut  pour  
 assurer  un  suqcès.qui  seroit  bientô|  pour  lui  lâ ^ o | r & ‘djes' .plus  
 grands  avantages.  En  effet,  par  un  de^esJiasards  diffi|ile^a|^on-  
 çevoir,  la  Grande-Bretagne  est  la  |eu lë^ ^ g r^ n d e ^ % J ^ c e s   
 maritimes  qui  ne  récolte  pas^de  vins ^soit ,s.ur; s o f i ' ' . t   
 dans ses  fcoloniesyét  cependant  la  consommation  de 'cette lj%nfu,r  
 est immense à  bord  de| ses Aortes et dans  t Onfe,*L ^ e t e n s   
 régions  soumises  à  son  empire.  Contrainte  de firery^ette ,e^r«ie  
 quantité  de boissons  de  la  France,  de  ^Espagne,' du- Pprtûgai et  
 même de la Hollande,  elle voit à regret une forte  partie^des,capitaux  
 de  la nation  absorbés^tous  les  ans  par  ses  achats  en  gfÿïp,J | |   
 aspire  avec  ardeur  aux; moyens* de  se  libérer  dé  ce  tribut  ongfpux.  
 Ç e   lut  principalement*dans  cette  vu e ,  ainsi  que  nç>us  1 ayo^^^it  
 observer  ailleurs,  quelle  tenta, .durant la dernière guerre,  la  conquête  
 des  îles  Canaries ;^c’est  un  des  grands  ,^ o tifs  qui.,  l ont  
 déterminée  deux  fois  à  l’attaque  du  cap  de  Bonne-Espérance.  Ce:  
 quelle q’apu obtenir, ou ce quelle n’aura sans doute encore obtenu 
 que  momentanément  par-la  Eo$fë'de;ses' arûies,  elle  lé  sollicite,.  
 elle  rlsjîere  de  set'  .colonies  aux  terres  Australes!  et  malgré  les  
 obstacles dontJéfvaéfts de parler,  tout  annonce  quelle  doit  arriver  
 à" àon  but. ‘'Mari ,^s^pns  insister  plus  long - tempF s®'des  considérations', 
  de  ‘éeFgenre'J1*revenons, à^ois  venté  destructeurs  du  N.  O.  
 dênt  nous  avtffls "parlé  ;  ils  Vont  nous  offrir  eiîdore  un  de  ces  
 nombrefix^pléfi^mènès  partlcüliefsf $ la  N&uf felle - H ollande,  et  
 dont  l’explifeïîion  ou  même  l'existence-%emble -éôntredire lés"principes  
 les  pmS'' incontestables  deJfa  physique  généràlé  des  grands  
 iphtinens et clé ^leur  histoire Météorologique.'- - 
 Le  comte  de'Curaberlandy. qaûi*comprènd  tous  lèEètablfésemens  pi. i ur, n.° 4.  
 acttiefsvVde-l’Angleterrér à  la »Nouvéllé- Galles ‘dû  Süd'f ise  trouve  
 boW^Pj-Est,  par  le grand 'adéan Australjlm'-Nord,  par  Broken-  
 B a y ew a   rfÿle^jd’Hawkesburry, dont  nous parlerons bientôt;  au  
 Sud,  par  Botanÿ-Bay  et  la  rivière'-Gelpgdv  â  l’Ouest,*  par  une  
 chaîne  de  montagnes qui ,-ifeïiVe  recourbant  au-dessus  dé  Broke'n-  
 Bay  et  aurd^ q^l^ de   Botàmy-Bàÿ, ‘•eny-èîbppe  toùt  le'comté   
 domine  dans’une'  grande  demEHuné.  'C e ’ s^fèqie  de  montagnes  
 •l^esï!\ju’üne;fôible  p*ôrtièn de  fa  grande‘chaîne  q u i' du càp  le*plus  
 NoiÊ dé la  Koffvef le-HôdIande j-s:avarfce %  long  de ’la  épt'e  orien-  pi. t.  
 taie déEc'êontînènt jüsqu’à sori extrémité’ la plus Australe,  et vient  
 ée feaep^dwp®^F groupe  de  Kent et  feirîles ‘Eumèaux,  avec  les  
 môntfSourcilleux- de  la’  terre  de  DieiSén,-  qui  pardissèht  en  êtïé  
 à-la-fois  le-.pYô rangement  et  le  poiht  extrême.  -  
 ^ A f fe c ta n t ,  comme'les*  Cordi’llfères,  la  direction  générale‘ du  
 Nord  au.Sud îéé^m èn tà gtiè s'd e   là  NouvèllfesHollande  offreht  
 un  rapport'’ singulier  dans'  leur  disposition,, avêé"cèllês5xles  Andes  
 dé- f  Amérique  méridionale.  Personne'  n’ignore  ,  en  e ffe t,  que’  
 cêtte  cRàîné  puissante • Se  rapproche  tellement  de  la 'dote  occidentale  
 du  hquveau. continent,  quelle  ne, laisse  aiesmiêds' qu’une  
 plaine  très-étroite;  tandis*' qu’à -d! Est  de  cette  même  chaîne;  se  
 développent  les * Immenses  vallées  au  milieu  desquelles  roule 
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