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 des. productiïtesî végétale!;] e t  des  animaux  dd-c&ae  .île.- : Sbdshce  
 rapport y. Aon ’hfstorfe1 de)3ënt#^ftis  glifé^ldèy, plu$lfnréressante||€t  
 mprite^ien  le développementïtpie j’ahcru deV^pf donofeftà'-chaoune  
 dts; parties: qui la'-composent.  Ajoutofis ’ sfeuletaëhé ilÜjefèÿ..]pre‘Bfti'Pës  
 eonsidéràtion^^queiéiulle :part  cuis  ne.trouve  aucunef-I^ECe. d eàu  
 d o u ç è f aucun  indjçe îd’Jiumidité."“habituelle. 
 Sur un? «set so l, .il .est  -a^^de Je pressentir,  la végétation rie-pSut  
 être  que- misérable  ;et.'languissante ;/ elle  m’e'si cependant  pas "aiiss i  
 -nulte  que  d’abord'.'on<p,ourroit; î^^)èpçoiftér’.ï  On  y  trauvel^en  
 effet,  une lassez  grande'.yariété  d’arb&y|istfet  de^pefiæs. arbæî^èaui,  
 parmi lesquels une espèBeMe Riguïer, donFîe fruit'^lîpîidetd’aillëUrs,  
 ?$£:à*.pdine  de  la.grosseur  d’une  noisette’;  d^ux.ô'#teQ#lÿs^aé^e  
 petits Mmasa.k-:fleurs  agréables-et odorant.©#,- un. petit' A0 tâ'kît'$a,  
 quelques -Atripkx,  un Rumex,  &c.  Adais-^dé^t(M>tse^^Ssï prè'd^pif^hs  
 Yfgéiàie^îjil, en  est" trois-sur  leaqüeiif^ll mie-.p>ar'^trné<?“éssairè'’d!insister  
 plus particulièrement  i c i ,  parce  que  leur histoire  se,ir4étache  
 ^ c e l le  même  dur-sof,; 
 .  La première de'  ces "trois-plantÊ^ést:vüneâssplç&‘îd e 't^ l |^ / o u   
 _du moins  fut 'regardée' comme /tdffé^pàr5hp^'botlahfs|0 sf; *Lll^^»ît  
 ayx lieuxJLes plusiaridés  forme desidspèces^de p^i^fedfewéiëildue  
 quelquefois  assèz-  grande \  qui'së dessineifr  naturellement de iùille  
 Manières  agréabtbry: formant  ici  de  Iopg4êll^d'ë^i!^É[|Épèl%^à,  
 présentant une-foule de. petits  sentiers - o n d u l e t E x i i  vant ailiers  
 - d i yeries'figure s  plus  ou  mbinsbizarres ; Âtonblant  yen  un  motffile  
 parterre  léplïis  pittoresque et le plus vafié-i  Cette plante bKgülffere  
 ^'bbmpo^fe^d^i'I^Ébmbrable quantité1 tfcs  feuil|êsbpbür^ato®^fîre  
 capillaires;  radicale^  se&sties,,-. roideis.  et' tdfeniçnt aigûçs,  qu’ilp-st  
 iPlpOssibie.de:Itôuipber-aucun  de  ce^ buissons'ldé'-verdure  sans être  
 â-1a-fois^pei,(iérde mille petits  dards  qui'restent  dans  les -chairs ^et  
 i$P2t ' éprouver  d’assez  viyes  dpuièpr^ tLa'.ténuité  prodigieuse  de  
 ce?  feuilles,  ,ou plutôt  dè  ces  épines,  les-rend  susceptibles  d’une 
 décomposition 
 décomposition  aussi  prompte,que  complète,  et l’on peut regarder  
 cettê  plante .comme  la  source  essentielle,  de  la  petite  quantité  de  
 terre ^egétale, qu’on - trpuv# en  quelques  endroits  de  l’île. 
 La,seconde  espèce  de  plantes  qui,  sardes  rivages,  se  présente  
 avep  des  caractères extraordinaires,  est .un Mintosa,  dont le  , tronc  
 noueux  et  rabougri.#$,élève A-peine  à  la  hauteur^de  7, à. 10  décimètres  
 [a   à  3  pieds]  au-dessus  du.soj.^mais  qui  fournit  un  grand  
 nombre  débranchés de  5  à 7 .mètres,( 1 5 . à  20  pieds]-de  longueur,  
 étalées  horizontalement  à  peu  de  hauteur . au-dessus, du  terrain,  
 vilement tourtes et, ^ntrqi^c^s., que les petites animaux qui viennent  
 y .chercher  un. gîte-,' soru  foçeésy, ainsi  que  npus  le  dirons bientôt,  
 de.se frayer d esch em ips,. co uverts au .milieu de  ce  lacis inextricable  
 de  .branches,.de  feurlles;et  de  rameaux. 
 Tandis  que,,par  clés moyeps^u^singuli,(%,ÿla  couche végétale  
 se prépare  ,,  que  les  plàntps's’épanou^sseqt  à Ja, surface  de  las  terre  
 po^Ç  braver  plus  impunément,lafcW e y r ^ ‘4v-eèesf^ et  pour  concentrer  
 pn  quelque sorte les piuiesi.gt  les  r - p s é g - s ,le u r  ombrage,  
 lgs  dunes mobifèsde  sabieg^trouyent enchampés^e^i^ntenue^ par  
 un  immense, réseau, de  co^çlçs  naturelles  et.àiy^tgs/. C e  :sppt  les  
 racines  stoloniales  dune  grandeespèce  Ae.-.^yper^is, .dontJa  tige  
 dp? ^ £$■  passante  s’élève à 7  oit-j c>| décimètres £2  à, 3  pieds].au-dessus  
 diuspl,  et se  termine par un,épi globuleux.de  lagrpsyeur du  poing,  
 et de toutesTppts-hérissé de longues barbes. Cettppspèee de gramen,  
 que  nous  aurons  occasion  dpbseryer. encore; sur'différens  points  
 t|g|,l& Nouvelle-Hollandè, est d’autant .plus  intéressante^ connoîtrè,  
 quelle  produit  un  grain  farineux,  analogue^àjeelui:  du  froment;  
 mais malheureusement  presque  toutes».Ies„fleurs  qn  spnt  avortées,  
 et quelquefois on a peine  à recueillir,.  deux  pu Trois-semences  dans  
 chacun de  ces ^volumineux épis.  Peut-qtre ce t ayortement césserQij:-  
 ii  d’^vpir;,ligu^si  la  planté étpit  cultiyée.  dans  un  .terrain  moins  
 aride;  maist  sans  nous  occuper  d’un  genre, d’intérêt^-si  douteux,  
 çontentpns-nou|< d’observer que l'acquisition dqpegramgn  à  çorde; 
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