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 nouvelles  de -poissons -,  parmi  lesquelles  deux Lophies,  deux QsStra-  
 cions , un  Uranoscape, .un  (Pottt,  une Raiej  deux Sçienes,  la Chimere  
 antarctique, et unerseconde gspèee’.du même genre, très-remarquable  
 par un os  en  forme  de massue  quelle pottç  sur de  sommet  de  la  
 tête,;  un Syngnathe orné de plusieurs, jnembranes .libres et flottantes  
 comme-autant  de. petites handeroIlesvjJ'y recueillis«énçpj;^^tx<Ee  
 icm quinze, espèces de  coquilles nouvéUes,ou très-rares, au nombre  
 desquelles se trouvoit une Valve de Trigonie [ J1'irgoni#.antarmcai,N■],  
 genre de coquille qu’on n’avoit point connue vivante jusqu alors»!  
 qui dans nos climats forme,des bancs de pétrificationsnrè^étendu^;  
 la supeybe Vénus à côtes transversales excessivement m incessibles  
 et légères? diverses  Phasianelles. de la plus grande beauté,\des, Tfyo-  
 chus élégans, plusieurs  Turbots, dont un que j’ai.décrit^s.pps l^norn  
 SEustomins,réfléchit  les  couleurs  duprifmedss  plqs  ;viyf&  e t f e   
 pluapclatantei : quejques espèces  de Patelles, ,^fi.lFisstireIles,^0^a-  
 -bfipns,  fcc.  è t c furent encore  le produit, dqgs^ttq' seule et^ême  
 journée, A  là vue de  ces magnifiques  et. n o  s ^ p l  le et i on s, 
 mon malheureux collègue, M. ^MAUG^tné put rôtenkis^ ^ im es.  
 Malgré l’état dépuisement,et  de-marasme.auquel ilré^oit-réduit,  il  
 forma la résolution.de descendre'!© Lendemain à terrepoiir,.;«fer-  
 jeher  lui-même  quelques abjets&rfflgis,  hélas J  il jm^cpnsul^Oït feue  
 jon zèle et son courage ;  son corps mourant époit incapable d’usltel  
 effort. A  peine arrivé sur la plage, il sévanôuit’^et l’on-fut contraint  
 deJçrapporter précipitamment  à bord,  dansj^n  éfàtde  fioeÿsse  
 si grande,  qu’on  craignit  quelques  ins tans  pour.^vje,.  1| 
 dernier traitée  son  dévouement ;  il ne descendit plus à tefre K e   
 pour être  inhumé  dans  son Sein, 
 Ainsi  que M.  Freycinet i e  fera mieux^bserver  dans  une  autre  
 partie  de  eesVoyage,desi.travaux'géographiques'dé  l’amiral  B ek-  
 xrecastéaux à la, terre deDiémen  sont  d’une perfection  jgfande,  
 qu’il  seroit.peut-être  impossible,  dp  trouver  rien  de.  supérieur:  en 
 ce 
 cës%erirJe ;  et  M.  B eaùtbjspIhshB e a u p r è ,  leur  autéir  principal ,  
 yWtVâcquis ' par  fètoé'dls  r droits:.  inaliénables1;à  l’estime  de  ses  
 c iih p a tr fé fe^ t^ la   ïeconnoislàpqeudes  navigateurs  de  fous  I#  
 paÿsU  Par - tout  Bjfr deâHMfé.ënstattc^; -permirent  à  edt  habile  
 ingénrëiïir 'de1  pÔrÉer  defe-'Eee'herc#^feufl^an!e^f|2|l  ne  laissa)  rien  à  
 f â i r é d V a n a l   D  en tr ecast^.ux^fld^bai'és  e f  les  pi.  
 p*cfrts‘  nombreux  qui  sl^Wï-acfi'enk‘j vj£oM;  -àout  dan##éî,èâ$i 
 M’àrhëurétisemÈnt  i I -rf^^iFl'êsfeqéâs ^ a in s î-iâLé ifp.1 p&Hife  de  terre  de  
 Diffiièn tp^l»B8MH 8 i ê ) - Est  du  canal ,*dt^qurm<é’ fut  
 quff?tïès-sQj)èrfïd^  pardCs "cànidts  de  Fran- 
 Sis"! ''Son1 ffavàfl  #dîi'ï'Gd*ip,dint  làissoit  Ënamcaup-à  di&jrélr?: • nous,  r  
 h$,1 dans  ce  chapitre  eF^Hp^»Bvaalt.  eidttami  
 piéteridê’^llét£ffl§-^^%$àpftirqàés,v pt 
 uct-itms'diê;i@buvérh%hâëMà/;noàV  ordoferto^k!4Hà^ï "  
 q^piî  l’a,'!v^dài®id ^ :h â p i t^ 'i . " ,  dt^ÿenJônt& ràusài^fôjn  qu’il 
 sctblS pV*^??I>?l'fe*tt3iités"i lëyéivMres' qui nîodëi|)m''OîtKè^nw^MlÿpCiblés’ 
 d^quéTq'âè" im^ëétaWê:- ‘La rivïèÿé du  ?! 
 pal^idffdè^efrês '.^pfràlfes* quPmWirât-ff  ï-ÂpfMày um& lëêilÉAj 
 nlfÉfethéfc pai &YulUr,c <Al&^t>imHiF fut 
 jwfi^dé^^>fpir:^à®'cëlipagU.^^e! n ousa |iÉ lcïÉiés^|^‘ jàn-  
 Vier?,"*süf’  lettrés”' - dtematin.^Sbntrarîés  toür&aVPurVpar 
 letf^alnillfl îcS7è(|®ranS"^p!jei^V€nKj^^6iffll  fl®^sd©Mî^si|d-d‘;pro-  
 'a^îwfron d ^ ^ féW c0 ii^ îl« pM e   la  éiV^^'épTour  piBfirfï  
 dcSabri des  têrÆsf A   fihit  heùr’es',  rfo«??ÈMàrilia.-n 1  tx ik 
 rèfouler  u n 'fort  courant  qüFm&is -ipo'ÊttdMpàjê^iid':  alors  nodè  
 a^^ëevionfetl'u.ÿ  l^ffldra^ê  grandê%W(fu,pSs^de  de 
 de  OorrilQranâ  Pfdri^ëdns.  ;La  Üaiîté5tm^È^^eMdé P4&iê-mi 
 é't-oit "’douverteddé  b^mfe^s' qujPSlèïéî^lVdM#  
 abondante <îêt-tï'è*s-fT6ide!,wte'fcrêtw'Wr'l:e»fp'dint  sont  ^iàù’ediip  
 moins  proforidhfLfùe  dans-M’inlefiêrlî’ldu-Ê®©^'ielfes%àfôi^|#iént  
 d’ailleûr^âVdir  été  rdwg e^  par dë^feu.,| 
 Après?’avoir  ‘dépassé  la  w ritagne   du  PlàÉ'eaûy-’q id  IpJ paroi t  
 ^OTt>JME:I.  H   H h