2J 4 ' VÔYA^GEIYE DÉÉ'0® tE R T 1 5 '
ide cfes*rëgrori§§‘ J>e‘ me prêtai V$ionti8rs‘ àv, ûe'^caprfce~yôbH^eânt ;
~M. H eirisscIn eut. la mêrùë cbmpiajsancA^tAeçut uiï^pareil
iriâsquefrîNô'us parftmès!iètrè^ilôf^un>grand -suje'fSd’adm irat ionfpbur
cës'frïfnïûes; elle's sèmMoient nbüs-regafdëF aveê<Aune dfeucèfsâîis-
faction jfei nous féliciterdfes'%ouveaux agrémfai® rqueMb-üs-jveniÉus
d’acquérir. A i n s rf d o rit -cfette blancheur Eurbpeenne don-t^hoibre
e5pêcfe^ëfetisr#èfév.n?iést puisqu’un défaUferéël, une ^ortertde^diffor-
nüré qui dnitdêifeéder, dans^ees climats lointains, »^ila^èouleur
nôire du charbon, au rouge sombre"dé loereg ou-de la ferre
• glâiséeA-
- Isa déférbnce que nous.-venions d’avoir pour ees femmeswt
peut -ëtrC^auSsi;dês'Adiarmes rïôuveafux' que nous' " devions ‘à* feurs
soins; semblèrent ajouter à leur bienveiilaûfeëtëà ie,ùr*%ânftanc'e
en nous; maïs rien ne pûtlés décider pourtant^ se laisser UpprbÉfaer
davantage. Au moindre mouvement que nous &ision§|ouqm' |tbüs
paroissiens faire pour rompre la consigne V'tofeïe^élàAçoierit èye|
rapidité de dessus leurs talons, et prenoient la.fuite1; nbûs-tfûmès
^ n t ra iim A p ’our j*»ir plus long-temps* de leu* présenée^dê-floifs
conformer-entièrement à leurs désirs. Aprèslfes avoir ‘comble-es- de
présens- et de caresses ; nous-jùgeâmes- à' propos;-de reprend® fa
routé du ïrioxrillàgë^de notrë embarcation y* ét-n©%^HéHi'êripïses
pârolèsànt avoir le projet de marcher du même doté quémôUSi; les
deux troupes partirent : mais il nous fallut trahsi|êr>*ên'Cofe &fcê'cës
femmes inexorabfes^et nous condamner à suivre4 aë plage pû-anclfe
qtfeliéi-niêinès marchoiént sur fes dunes dessable ^nHurétoient
paralîèfé'sr'
Gomme elles revenaient Vraisemblablement de la pêche (lorsque
nous les avions aperçues, elles étaient toutesvehargees-de ^ro>
crâbeV, de langoustes et de divers coquillages grillés sur lés ehar-
PLxm,fig’;4. bons, quelles peûtoiênt dans leurs sàcs'de- jonet^Ces‘saies’étôierit
fixés autour du front par un cercle de cordage,{et pëndbient de là
derrière le dos : quelques-uris étoient très-lourds ; et nous plaignions
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bien sineèrementibesgpauvtes femmes, 'djayo.fr à tramer de pareils
fardeaux. *
* j^ # r'e r&ueçi toutefois me fu t pas gaje que notre,ÿentie^.
vu#:;» et dîa sCtni'ipet des dunes^qp,n^u^ny^j^t,force plaisanteries!,
ffÿae4a,gaùerjj^p jauxqud|psy<tâçhipps , de «effondre le plus
expressivement qulibnouiS- étoitpo|%ibjc|,^nsans4ioute,nous^Lurions
continué plps longTtemp&dqtparppt d^upre.qfsljadinagespnnocens,
lorsque toutjàjqgup- une,d^%fepm^^ëi^itâ^ppias;s.erlup/grand cri.;
toutes les antre». le ^épéjtèr|enup^emeffKoif :.y ’étf>ient qos ernba^-
çdtipns et-, nos rcamarades. ^u’eUes^,Vntpajenitdé^dd^AWr- N.që*>
npus^.gffp|:çârpe§’ de çalmer, leur,s ânqüjdt,u(Iqs|, enfles ^|sqr.ant:,qpe
bien loin d’ppÆouv.er^ai^iune^çffepsej.de, iK>s*amjs el^s„afj^|p^ en
rpGfj^o ir-‘.,d e;n o uv eau%.~ d pnsj jgtagggjg >|pt;, inutile^.,çt.< djÿà^jja. troupe
s çnfonçoft . dans Ja^fpr|&;;.lorsque, la, îqggap. femme qui ^p^f^pe
seule-rtavo,û fait tous .-lestais, dp nostr^^ntre^e^seinbla »s^a^dt-.
T^uSa vtoi^Mil -y. em. un. maupement. d’hésitationâ^ llemarlaiguelqués
instant au^,aujpE^;^4n^js,;ne .p o u^ n t^ ^ ^ ^ q u ’il nq;(qs p a ru t,, if s
décider fà ia süiyp§.,'«ejLLe.^s’!él^nça sapejcfii hautfedAs^frupes ; et jnar-
chant.sur len'i,vage;à^uelqpe disjtançep^i avap^ de,^io,u^h,eau-
eoup d ’asstnanpja, ;qtFmêm e,^av;^e < SbF;1 e - de.fr erpé^, ni le ^çjpbfrpfr;
insulter à Ja tiiuiditA-dq^p^ppH^agnes^^eSjiiu^l^ies^'À.
parurent-iaoptguses,de .'feur^iblesse,; p©uAirp.e% eMg^s.,enhardirent..
etfÿ H dèrpn^erifin.à .revenir,.au^rivage.^Gé fut donc a%çCaof,ttç
nombrei^net singulière çscorte quen^us,,arriyârne^ àjàos ^mba^a^,
tiàpsj/.auprè^desqfreües., par. un.- hasard'.dïffinde^àmrpYpiE^tQus, les
marisüdef e s,pauvres femmes^setroumientnas'sembléa.depMis- quel-
qnfS:,jnstaùf'^
Mafgré les tén\oignagfs Ips pioins,éq,uivoqfreCl^e ^ hiepyqillance.
cigde la .générosité de nos ^Gprnpatriotea-j ils; gardoient encore ppç
l^^oeuomie inquiète et sombre^ leur regard etpjt friroqphç,riq£jiar
çau^ pt ,d^.ns tpute leur attitude,, on, d^tinguojt,quelque,rcfro^é de.
contraint, de malveillant et de perfide, qu’ils cherchpien(t vainepi,ent.
FI, x et XI.