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 nous -àpef^ûràie^ un  graM  nombrêfdfeWèuk'^  $ 
 A   ce  dernier j>oint 'de  là  terré Napoléon,  Ies>MeshsO multiplient;  
 pi. v, fig. 4,5  et  d’abord  Y archipel  S .*-François  présente! ses  treizé'-Ou  quatorze  
 îteséstériles ‘-‘et  blanchâtres-;  qui  g isen t‘àMi 5  mrlIfesv-en^ïEOnHSti  
 continent’ A'peu de distance'W dansIe.NüE. de cepremief#©upe,  
 's’offre  -céiuf'des  îte^&^Fierné';  qui  som du-nombre  d e 2 tA | | é t   
 Cuit une c<^tîtntio^semblal)l^^ife dfeÈ'pèdié’édentes. PI#sdoih, et  
 Pi.v,fig.4,(/).  tout ‘pÿO&hê®de  la  terre  dontinentalëy'^toéc'ouvrentsles^^s. Joséphine, 
  héfî§§é^>îPour ainsi dire,d e  toute part,  die'bri^nqétûdéiia'uts-  
 foüds: La,- S ^ a ^ i - c t o î t ie ^ f t e u s e  de récifs ^HW^preSque Mut  
 l’espacé quisépare  oeSdfesdé  ©elles"de  iar(3hipe4"S.t-Pieri|e.';dKissant  
 toutefois  un  très-bon  pâfeâgë  entËd'eI^èy4trSQn^exteéna^i^éISifa,;  A   
 l’Ouest'  du :groupe  Joséphine  Se  trouvent  les jjg|| du 'léÿéeÿt&fhe,  
 formant elles-mèmés un pétît groupe  dé  qnatre^iéS'.êntr.erneJ'ées. de  
 plusieurs  îlotsl  Vingt milles  pi us loin,, émrémontant -amM.  O ./ o n   
 découvre les trois  petites \ks  Jtan-Ban:  dè’de dernier pojnfc,* jbur  
 ^atteindre  les 'îles  la Bôurdonndis^\\  ffutîfë-port-er près dé'pfo  milles  
 à  l’Ouest;  e t  de  là ,  jusqu’au  groupe'dfesdfe dé Monfenotlé} défaut  
 redescendre- près d e  4© m illes - vèrS'dé'  rî 
 |  |En  réunissant à ces  dernlèrdslfànoüte^cefleS qüiv dü^rorÉôn-  
 toke  de Wilson,  se^ développent  sur  le  reste d e  k-tferre-tNapnèlon,  
 on  en  compte  plus  de  cent  soixante  ;  mais  à  cesrles nombro#es,  
 plus  qu’au  continent  encore,  doitt s’appliquer ïë   triste: tableau  que  
 tant  de  fois  je  me  suis  trouvé  contraint  d'offrir  dans  Jcltte Rfi-  
 toke:'Toutes Sont en Æ t   très-basses;  d’une- cOûieur-^is'eyj&tmè,  
 blanchâtre  ou  nondcre;  presque  toutes  paro-issem>de;  la  folus  
 ; effrayante aridité :  la  plupart ne>ffrent*pas un arbre,  pas  un arbuste;  
 de  sombres  Lichens  semblent'en  encroûter  la  surface.  Sur  fa  
 plus  grande,  et  bien  certainement'aussi'.sur' la ■ moins:  stérile;«sur  
 cette  île  Decrès,  qui  n’a  pas  moins  dé  70  lieues.  de  tour,, et  q©  
 porte  dans  son  intérieur  des  forets  profondes,  à  peine  avons-nous 
 pu 
 pu pén.creusant dans 'te.sable-, entrr^uqH'lant avec soin toute l’eau qui  
 sûfnt'QÜt  de^sroch^ip«,; n o^ ^ 'p ifo ^ ù r e r   quelques  barriques-,'-et  
 touüesjdè§ ; autres1 ,rlesHparoissf^t een  manquer  absolument. ;  .  .  .  .  
 P^roitrion jÿe^ner,;|ÿèsr,14rs^f que' f  espèce  huiriaine  n’existe  pas  
 sundesiîliés.îjdlëtî‘  trace de son 
 nombre ur|qtpsà|y©isins*'  du continent  !  
 Mai§ .reyeno^%à;^p;pntinent;dù^^(ç4;,quempus avops. un  instant  
 abaüdonp^pour fadé|do^p9Î%ej d’àbqrm^^e^lèsyi en dépendent. 
 Le ^Jçicteur  setpapfpellerax  sans «^foma/que  l’un  des,-objets  qui  
 nous ^©^^JiejpluSlfortement  rloemmandçd,par ,nos  instructions ,  
 /dé.  S^VErançoisjg et d e 
 r^oirmoltrq^p^dçjail. tq^tg-^a^poiti^rî du,continent; masquée par-cet  
 a|gHpeLSn-ra^point de.vOfdseftroiiyàr  le-puétendu  détroit  qui,  
 coupant  là  ^ipyëHffj^pMande  en- deux;  grandes?jles, ;seroit  allé  
 » ^ i^dans^le^fend d u   g^ff^-de  G^pentarie^^C’étoitfencore  là  
 qmàle^pLvsl^Bg^^i^^recommamdab^rne pouvant  concevoir  
 qu’un^a^ssi^as-f-edco!nt inent  ‘fût  jd^pourvu'  dp  toute ^espèpe^de  
 rivlk q s c^y^iéijt ;placé  l’embojjp'hiy^  de;Æelle,s^qu’%jisupposoient  
 ed jte rd   la  Hollande,;  et  cette.hypothèse*se  trouvoit* 
 il  faut ten  conve^ùo- autorisée ipar^l-ecbancruEe immense  que  prés  
 sqj$fte  laM^te  du||;  O.  de. cette:.gr^de^erçe..  Malheureusement  
 c0t,e-ingénieuse -supposition  n’a  pas  é té   u$tifjéeopar  l’expérience ,  
 eiC il  n’existé'xpas-; plus -d e   fleuves  derrière-les dles-  S*L Pierre  ; et  
 S.’nPranç-qi^ que  sur le  reste de-la* terre  Napoléon-.  . 
 - Enjeffet.,  aydelà dutcap-Lavoisier, qui forme la pointe N. G. dé la  
 grande baie^Louis  dont  nous  avons  déjà parlé,  laysôte  se recourbe  
 derrière  ,çefs  ^eux  archipels  en  u,ne  suite  de  petites.baies  peu  profondes; 
   puis,elle, s’avance  vers  les  îles  Joséphine-;,  constitue  avec  
 elles  une  assez  grande  baie^ que  nous  aurons- ocbàsion  de  décrire  
 ailleurs  plus  en  détail,  et  que  nous  avons  nommée  Baie  Murat.  
 De  là jusqu’au  cap.des  Adieux,  où I nous avons  terminé  nos  relève-  
 biens,  çt  qui  gît  par  3 %?-19’ de  latitude Australe i  et par  128°  42.'  
 -  tome  1.  .  T t