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 - des^nôn'tagne^,Voisines- :»lnaà s,j on - h’ dsaîipIls ÿrrer 1er- canon it^aikrme,  
 au  bruit-duquel  les -'milices  -défi l’intérieur dqridfeô doivent ia’PQoqrir  
 à  C  onpang i,.1 îpjâpéfi  qué; - .<èès s : Groupes^ ftjjgg composent  d’Ecpmïmes  
 farouches*. sanguinairés^iet redoutables-aux- Hollandoi%P^-|b^nes,  
 ;T.ousr*T0esi préparatifs  hètteeqsçnientf 5 furent. a|Ét§«£t j s pue  fcs  
 preînters?  Eie  "capitaine ^erJa Régate  Anglaise,, ■ après  a^o|n;^rtis  
 "communication  de  nos ,passe+-ports ,  -qui  fui  .fureM ,p,e|r^Sj.u|)ar  
 M.  de Moî€rBÀzift , .l’un  de  nos , officinesiùi déclara* qu’ignorant  
 la nature" demafÿe mission * et tarant appris à  D e% vque^dçux n|p|res  
 François  ffiouvoient  mouffieshen  radèn.de. <;iG,aupang |   il pa)pjt  
 Supposé quevce'rdevoient < être p e s   bâtimens3"d^^^^®^rc^,î:^j,^e  
 dèsd®|sj il  avoit  formé  le^profef-.'de  ^ i r   lus  malggfrle 
 canon yde$  Hollandols^doiit  ihparoissqiîî- |j£:ud inquiéter. rÇet  
 officier,  dont  je  regrette de ne pas connaître i;em©|nUts^dîp<|t|:S'it  
 avec* la  plus  grande  déiicatesse^à  notnenségard.^ Autant  appri||g,ùe  
 nOffie  Commandant  étoit  malade i-fb.o'ffiiûiàiM.nJDp;Ma|;7B^iN  
 dède ‘charger-de 'quelques boutedies  dêpiceilent Adn, jq^fi^qlnEcilne  
 Vrüt pas devoir accepter.  D ’ail leubsriïl  lu i apprit^ù^^rnate^fejU  
 ‘des*plus  importantes  possessions  HolIandqises|tf|#ïS^^ïip^|3.ges,  
 avoir  éprouvé- le mêmfe.;âbrt qu’AmbQihpféf Ifanda;j  ^qUcin  v^sq.|U  
 AngloiS .de-7Pcanons»avoir .eft-^pemmentds malh^r dépendre  
 feü  dans  la  rade ffi’Amboine,  et  avoitiesantp. i Après  avqirjpipsi  
 conversé  quelque  temps-avec  notre  officier,  -le  ç^pi.tâ.ine..AngIois  
 regagna. la  passe-de  îa  b a ie / é t ^éloigna  sans  -tirer  un|s^uj^<^up  
 de Canon,  quoiqu’il  se--fut  assez  approché  du  fort^r.flenla  Vflle  
 de Cbupang pour pouvoir, avçcnvantage,  lâçher/quel4uesbord|es  
 sur l’un et sur l’autre. Eft s’abstenant ainsi de toute espÂce: d’ho^rilfé,  
 le  capitaine Anglais  voulut nou&danner  un  témoignage  .pffis:'par-  
 ticulier  de  son  estime-et  de  sa  considération pour  l’oJbjjet, de  notre  
 voyage.  |1 parkffi-, au surplus,  quede.cjimat meurtrier .de®§fVégi<^s  
 navpît  pas  épargné-  son - équipage ;  car  M.  de  MoNTBA.zniÿ£r-ut 
 s aperce vo irq^èfîd^é]fStrepdnfis'. de. iadÈagatb' étoient encombrés  de  
 mâlâdés.  I 
 -  d é p e n d a n t la :tIysseîÉterîe eteridoit ifqâioruels ravages, sur les deux. 
 dd- fi0tff(ïélpi:daq©nH:,de  nombre},des malades, é to it  con-  
 sÉlér^l#'? ■ qdélq-des'-uhs^moupMiimt:- dehjour -en  jour,  ;efc plusieurs.  
 ad^^^tWi§firt'irèMnât. = . .   .  Dams  un- mémojre-tparticulier que  j al  
 'Soumis  à l’écpi'e  d?é1 m édeqid#de  Paris-,  j’ai  présenté-mes  idées'sur  
 I’«i§i^^rdô'^Ge&fléaM,itdOhc^dTlvérraK'àifcGessiY©mÊnt  tomber  tant  
 de%mfeftme^il  meï'suffira  dAbserVéffiijeê ‘iqdë-,'/ tous  1«$.-soins  de  
 LHARiodîi^BDLEEEiN  eti-TAiLL&EÈR;'échouèrent  côns-  
 lamméhfcè'ontrè ’cett'P redoutable^,épidémie.  Ils  eurent la  bonté de  
 m’îhViteri à-i leurs ^onsultatièn-Sp  nous  fimes-plusietirs"'Ouvertures de  
 cadavres ;  -ndus%éhtârries’ suëîfeséivemept  tous  moyens qui  nous  
 p'â-ffàrëhÉôlèV  fût  -inutile^  et  quiconque fiut griè* 
 yè^mdMtfèîkt'der qette  terribk^malàdiv*, périt.  Elle- nOtts poursuivit.^  
 émâdiiP o nV e r ra ;b ién t< tf#  jusquàTextrémité  du g io lÉ i  et nous  
 foîç'a' üp'âr^fduÉjà- sfenfér-; les^ffiersid© nos  cadavrésA-'-’v 
 •Tè’lS  nos meilleurs  amis? étoient  happés-A mon  laborieux;  col-  
 lè |p p f M.  M aü%é;; depuis  long^'Égnaps-étoit .sur  les  cadres."  Cet  
 hqmme  ^ s p e © ^ ^   s’é t o it ,  dans,-des-  premiers, -jours  •  de  notre  
 rëfate'hé, ‘indiscrètement  abandonné  à  l ’excès.  de  so h iz è le ;  il  en  
 fut- bientôt  là Victirtie-i .i s . 1 ■ / .  - ' 
 'J’âi  déjà  d it  qü’aussitôt  npîès.  sa  descente  à   te r re ,  notre  
 dlllègue M.  L ev il la in   étoit  venu  loger-  avec  nous :  le ^climat  
 redoutable  de T im o t  ne  tarda; pas à  lui  fajre  éprouver son-iac.tion  
 dékructiVè'^'ii  fut  frappé-  de  la  meme  maladie  que -nos.  autres  
 compagnons,  et  oôhtraint  à  se  mettre  au  lit  pour  ne  s’en  relever  
 jaihais. 
 Darîs le meme temps,  notre premier garçon-jardinier,  Sautier,  
 «fui  logéoit»  aussi  dans  notre  maison,  fut  atteint  mortellement ;  
 et  pour  eoftible  de ma-lheursiet de  désastres,  mon.précieux  ami.,  
 M.  D e pü c h .,.  reçut  à  mes  côtés  le  tra it  fatal  qui  devoir  le 
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