484 V O Y A G E D E D É C O U V E R T E S
T A B L E ’ VI .
R É $ $ k T A T s G É R E R A u x d e , toutes l^ E x p è r le n c e s dynamométriques.
] y , o R C E
des
' M A 1 : R é i fi s . 1
v TËIogr. *
j- ° T çtff* A* T'H^men., . t . . . « . . . » ».. H h h I
i l
2 ° ‘M a u v 'é iie -H o lja ù d e .. ............................... i 4 ,S .t ; '
3^° T im o r , . . ,-i , ^ ^ ................
i|M g |
’■ ;;^s' -
| - i 4 qa\ -) ;
- .4.-°,F r a n ç o is. i â A ' 2 2 , 1 . y
5 .0 Angk>t s . :. . . . . . . •• v . • .-T: • . 7 ^ 4 ' *
c'Q_, '
1 -1
AUX TERRES AU STR A LE S . 4 8 s
C H A P I T R E XXI .
Mémoire sur ■. lé nouveau genre Pyrosoma. a
Si l’étude des mollusques et dès zoophytes mous fût long-temps
négligée par les naturalistes, elle le fut Bien davantage encore par
les voyageurs. On peut assigner plusieurs causes, également puissantes
, à dette indifférence des uns et des autres.
La première, « cèst l’espèce de dégoût que la plupart de ces
animaux; inspirent'; des fbrfees'fcizarres, inconstantes*également
®i'|pci^ a^décrir^ à dessiner, à conserver ; 'des;'couleurs le plus
souvent ternes v obscures et désagréables ; une substance mollasse,/
■ tîsqueùsé’ et (Jégoûtantfeau toucher; ime odeur fade ou meme
nauséabonde;; dans plusieurs .espèces, des fluides âcres et corrosifs,f
dans toutes, unerdpcpmposition rapide et presque instantanée^
pelles durent les premières; raisons qui durent -éloigner les natura-?
lis& l de de gen-ré-de recherchq^jjÉïé
pTûTlratérêî apparent dé cette étude, l’inutilité meme-dont
Mie sembloit devoir lêtëre toujours, devenoient de nouveaux motifs
pour la négliger. On écoit loin, de soupçonner alors les résultats
mtéressaaiâ!auxquels est parvenu M. C u v ie r ;' on étoit loin de
prévoir que cette, portion des animaux,,si dédaignée, s i, rebutante -
pourroit un jour éclairer, l’anatomie, la physiologie, et changer la
fy.ce de quelques,.autres branches, de l’histoire naturelle*
* D ’ailleurs la plupart de ces animaux sont; fixés aux .rivages de
fOe éan , ou relégués-;au milieu-dçs mers; ils sont encore plus
.)(l eu tant de. fçÿv&f&aîipn,
,présenter ici quelques
dan- ci tte-mremi< rç pa'me'de notre hi-toire, dé
remarques g g n é rÿ ^ a leùr egard, et de donner
parler des Mbi-fusques’ et des ;Zooÿ%ies>péIa-
I’hlItoii^dKaiîLée de l’urèdes genres les plus
giens.; nçjis aurons sKssnvnnt èpÆpretÿ revalût;
[s.iogqligri^de. cetjte grande famille d p ^ an in '
sur cts animaüTsThguIitrs, quïîmiï parent
s ta u x m a r in jlw ô j'q ; chap. i t p pag. 45.) '
nécessaire, avant dç'. ^prendre lajjsuité' de;