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 quelques physiciens  ont admis  uneespèc©deUnouvement  de putréfaction  
 dans  les^cdùc'fre^  superftételllsbdi'  l’Océan;  pl-tfsieurs  ont  
 appelé  la  lumièfe à-leû^®i^^>ttrs,  et  tandis  que  lés  uns  la. faisoient  
 agir  comme  combinée",  d’autres  la  considéroient  “O  comv-m  ve  'exclusivement  
 réfléchie.  ^électricité  né  pouvêit manquer-dé  jouer  un  
 grand  rôle  dans*cet te  partie  de  ^’histoire  de-la  mer ; .et  plusieurs  
 hommes-'célèbres  ont  effectivement  eu ^recours  à.cet agent.  Plus  
 récemment, encore,  le  phosphore  erses-* combinaisons  diverses  
 ont ouvert  une  nouvelle  carrière  aux  ‘feÿpoçltèises';  quélques.-uns  
 l’ont  supposé’ dans *ëes  phénomènes  à /é ta u   libre,  d’autrqs; ,1 ont  
 Voulu  combiné: avec  l’hydrogpne..  .  . v En un mot, ûhméstl-aucune  
 sorte  d’explications,  ^isemblab-lésiPu  meme  absurdes;  qui ' n  ai t  
 'été  foümie  jùsqu’à  ce’jour =sur  cet  objét>et,  cependant  l’opinion  
 dés physîêianf rigoureux  flo ttë ’encore" mcertaine^rlâ^àîusë-réelle  
 de" ce grand  phénomène  deda  nature. 
 P I M   la  partie./physique  météorologique  de  me»  travaux-, 
 j’aurai  plus  particuiièrement^casipn .de  dfecyerCchacune .d e lé k   
 théories 'diverses, sfer je  démontrerai, ' jespère'>‘'éife^ei.t, ^m B ien ,  
 une seule exceptée, toufeçdes autres-sorirloin de pouyoip-sat is-faÿr,e à  
 toptes  les  données 'du problème;'j’exposerai  seulement -ici-quelques-  
 uns  des  résultats  de mes  expériences .'ft- de mes  l©ingUÇs^reché.E©hes  
 à  cet  égard. 
 1 °   la  phosphorescence: appartient'eissentiellement'à.-toutes  les 
 mers ;  on  l’observe  également  au  milieu  des  flots,  de  l’équateur,  
 dans  les mers  de la  Norwège*, de  la  Sibérie , et  dans, cetfôs  du  pôle  
 antarctique. 
 .*  i.°   Toutes  choses.égalés  daflleufs,  la  phosphorescence est  ©n  
 général  plus  forte  et plus  constante- entre  les- tropiques  ou  près  des  
 tropiques,  que sou« des  latitudes  plus  rapprochées-- des pôles1;,-.| 
 1 3':0  La  température  habituellement  plus,-.élevée  dès  mers  équinoxiales, 
  paroxt  être .la  causa médiate  de  cette  différence,  -  r 
 4 °  Toutes  choéès  égales d’ailleurs,  la  phosphorescence  est plus 
 grande 
 Ü M  T  E RflE  S-  AIIS T R ALES. 41 
 .grapdè^e^plusigqn^àntededopgide^^tksl,  dans  les. mem resserrées  
 eu dans  les  détip,j$s>,  qu’au  mili|n*,dps<nïçrs  ,tj/ès?vastes  et  loin  des  
 .terrés, *  . 
 jjjllff’ En*géMrali^^pihén^în^ne4ts,p d’autaht sp&s "sensible,, que  la  
 - ^ ag i t é e t j u e   l’o^ÿuritjé*de  la.  nuit*-est 
 pli|g|sp(E^f®îhtdré..i- : 
 ^#6$#.:©©  peut .cependant  f  èjasetvvqn«pig&i, par  lë jjjitemps  les  plus"  
 paÉâpjés ; fe^le 4luSn%ér|c%ir^l(^eî{iune m'e^sfe^ts^pas^t^ujo urs  pour  
 d|éfÿpsiqr'.;^i 
 Tousd'f^pfedpomèn^sjt^.da pho-sphortes-denfefel||^yéaux  de  la  
 quelque  .myfâpli|fa&  quel qp^^s*irgp'h^Ê^qui’à|-SJ - pu fesent  être;  
 pe|É'^nf^Qji^dap.tuiîê(Èàe 'k^ppSefri^; xous^a^p^inamè^ unique;.,  la  
 phàsfiiîo<iêsè,e^,e;pr^aî:e(;aux . anima^|îp|ài|ni? ^ Ç 'p i üsépar t i Cpl iè-  
 r'epfentÿjau^  mo.Il'uSjfpigs-cie.t, aupq ^oqphfjÈqs 5 |p>qi^f,Més;|nn|u0reuses  
 :oïîservai'ij@m:S;l,'!idt(  la ihellosuite/dpipcintUç^^d’anim^pxvplffô^l^llgfé  
 riqjges>  dy,4âpt|4 »>par'jMiljLB9UBHRi/|n»fflérme,krQn.t^  de 
 ■ mÿtredç'f^téigran?ded®i|i^édi.d ahr-ij d|pbut  d'®|'^^g,kfftpê]'X  
 •'m8r°-Ceæie pkospffoEe-scepide^àck^P^dlsianimaux^lljélf1 différente,  
 ■ s@.u^à©îus desxappoits,,  dq. dette <fbijbi#lueuf %^ipeutf#é|«l'bppèr:,  
 dara«"certains'nas,  la'idéeojnpnsitfpnjputBtdo,  e^ te fcm en t  dépendante 
  ’.de-l’organisation^etçide  da  'vaet,  .qu’el4fj^éxalmfif^ppiilit  et  
 Sïéteint  avec* .'die  - pourree plus, selre-jIlW^ldd'eaapEès Ja fmprtî 
 ^ ^ u o tr iû N   y.j 
 j ; (QnELQ.UE-fyaf iq^q^p^s^ntje^re- iïiqs, çh$erva^Q^ deqahysiqué  
 et  .de: météQr.Qlqgiqîd|l|qfcm’ah4oA o ,i'ent  .dépendant «p4a&/.tous  mes  
 mjMnqns.; :  on  jen:  peu^^pnner  tant  à  fétud pA  hogd  d’mn .nayipé ;  
 p.ùjyjoin  de  nAs^iÿ|s bisUy|tpt|S^ on.  sfe,  tr.o,uyp^i Complètement  
 étrange]? a^pq^es deyon?s(çle /ami I|è*g§^ d ami tiiÿ^O'psIiHsirapp or es  
 même  de  spe^âté ! L ’étud)© de,â mo 11 usqpesKçL(|e„^©pphi|es/pélagienS  
 '  tome  1.  ,  ~  ,  F