4 7 2 VQ Y^GE *X> E D.É^GO U y l^RTE S
D ans le cours de de ^ ém 'g ire , jjg|| cru devoir m’afostenihi^
toute espèce ‘de c itatio n , afin de- présenter mes'propres travaux
d ’une manière plus indépendantë’ët plus-simple “«/il mteût épé facile
pourtant de recueillir dans lès' voyageurs anciens et m é d e rS eS ^ e
{g\Ae d’observation^ anajjOg|ies .Lnelles^ue^^e Viens de rapporter,
et qui, stgs ayoir J a rigueur dont ^æ ia je s ^ oM Redevables à.
l’emploi du dynamomètre j fournissent cependant de|: résultats
semblables.
Ainsi, tous les historiens ^accordent à-dire que la plupart dès
nattons .de l'Amérique ~, au temps même de la découyéiie de
ce continent ÿ'selimmposoient d’hommes extrêmement ||||l e s .
.Consultez-à'cet égard H ernandez OviEDOvSôm;0, ,
iib. m , c/Vi ; T orquemada, Mionar. ïn d :, i },pag- f& o Simon,
Notic.-hist., pag. 41 ; CoRREÂL, II, pag. i j S ; LipNEg V^AFERS
a new Voyage, & c ., pag. ijr .*
H errera, dans son intéressante Histoire, a éonéacr|iatmeme
oÊseévation ; « Y mandando (el ReÿcatoÈeo J-fERNanijiOîV aj almi-
» rante don Bartolome C olon J cfie^le. b u so p s ê ^ fiîrn ia ^S o
» sëMIevassen muchos negros de Guinea, perquë ê ta mas utii^H
» trabajo de un'-Negro que de quatro Indipsy»<(©4cj i .\ lib. i x ,
» cap. V, pag.
■ Le célèbre évêque jde Cfiiapa-s’exprime encore d’une manière
plus positive è cet égard : a Son assi mesrao las g&nt^*ft^s^deli-
r»C cadas, flacas y tiernas en complicion “^ q u e meno puedën sufrir
‘»'trabajos p'y que mas; facilmente mueren' de quaiquiera^fpflr-
» madad. »/(Las obras del obisbo,D. Fr a t Bàrtol0$E de Las
C asas, pag. 4 ,
L’historien le( plus justemdht estimé, le plus érudit et-le plus
'impartial que l’Amérique’ait eu-jusqu’à "ce jo u r, ne porté' pas ^ n
jugement plus favorabje sur la vigueur dés peuples de êexontinent.
. « Non-seulement » , dit Robertson , ce les indigènes de l’Amérique
» avoient de l’aversion pour la fatigue,'mais encoré ils ■ étolent
incapables
AL 5t'iT ERRE'S'fAmT R ALE S. 473
» incapaMwde la supporter. Lorsqu’il#lès arracha par la violence à
» ’leur indolen'epnàÎPmle V iLfsâieçdîiïhèrent à la fatigue de travaux
» ejïâe'ieÿ Miabi-tjans fÉl l’arrciem.Continent aùroientr èxécütés avec
» facilité. 'Getip^iolesse MwMtntîiihnfpl^^€rm'Mhi^krselk parmi les
v pep’Mis&ui";^cupoie^f|lq4{’fëg^&sÿ;,deVl’Âméïiqlie 'dont nous
>5 pâr 1 onff/peUYotre’l iï^§TÂ^bqmW$\un$ marque U'd^a/êiwisâpîu, de
pif'dëft^^é^iîiomm^^ffl^ôBERTS'Ô^, Histbirëde i’Amér'iquèt
tbïn. ftftj 'pag*â‘0 lfî \ ^
AilJ^ps’ , le5 ifiêm^%lsferiériv>siextfi'imetsen ces' tèAneS’ :'' & La
n M^etld’ün 'Espagnol de-pllisfeuïs^méricaiTis. »
( RobertSOîff| Histoire de l’AméliqtipP'tOM'. 'iv,^y/£gy : ‘
-- X e s v^agéuÉs m0dèfhestfî'ëvrîôa^i(^ïfeiit'tpas pinpCômpte plus
av antâgeux dpfij a i f Ipttipl c s •> dfei l’Am éfijjue Sént.entjponale',
« La Virginiebs et oeBti^^^c^il^wISv^aU^aigésv
» ^t%|ëd^staléèi(if^^^[qment de £roùpel||ll#Mp%, maMieMIorè
3ÿd%‘qrhm"e à homrUé d|||s? toutfe..l‘&s^|;èrrfeff U|j||V©Lneÿ/ Tableau ■
des 'Étatÿ®hfe d ’Amériqùp.|, .U‘ém. i j t
J: d^;-.fkùs'hânafôg^Ê «parÿrapport aux sâü$&gés\du
Cad^ilai^ry. V b )^ ’é^qhë%id iffiM!l^ f hLt-ilrù Vsauvàgë$‘ de
l’Amérique Septentrionale, p d g fy fâ \y-\\
uGès'làuva|^P?', -dit11 Mas(|i3ES|^ie , en parlant ^é^beûx qui
habitent au - ’delà( deS^mdnt#\!c 6 r k ^ ['ï:y%tôient "mài'grës, petits^,
.y, laid|ï4 mal faits i avo^ot. les jambes grosses^; # (^ A ’cirEivtziEi,
Vo|%ge dans l'intérieur dè l’Aînérique Sêptèn'tEil)naie, 1 . 1
Le 'même voyageur présente u^* .tableau analogue -de la eons-
'tjtution dësfpéuples quijyiyènt au milieu des moriâghês' Roohelises,
sur le^ïborids dé la -rivière d’Gungigah. « 'des dndiehsoV, _ditr- i l ,
c c fcm ^ petite statüra,m’ayant paSplus dë'y pieds i> pèjîcè (Angtoij^y
» Us ont la maigreur qu’on1'doit s’atteiêfre|àb,|rÆ)U^eir chez dés^gens
» q u i.M ilan s ce^pîlleS*difficultés à^SürnàoÊtèî^ poun*se procurer
» leur nourriture. » (^Mà CkEn z i e / V ç^age dans l’intérieur de
l’Amérique Septentrionale, tom. n , pag. 'jjvM Ê È
to me-, i. 1 Q o o