i2.° Il relève progressivement ,à- rmëSure -qu’on.Ten éloigne?.
ï 3>? Les yariations du, baromètre sont ju t a n t iplys fmmks |jt
plus rares, toutes ; choféi cgalesj ;d’ailjepr& ^ qu’on oh^typ jlfet in s trument
plus prè$j de i’éqtïa'teur, ex vice^vessa.- h
,r4 .° L ’égalité de niveau du tfréâtçe iur lequel on qfrsërye,li{âo'i-
gnemplt on l’absence deL^out¥\ca?^ip.etturbatri^S étrangère .à
l’atmosphère, donnent sur mer au baromètre une inarche beaucoup
■ plus, régulière etiplus'comparable dans 'Sès^.yariatieâàl, quelle «né
sauroit l'être au milieu ..dévcontineos; céLinâtrument, 'sous ce
rapport, devient d’une grande utiJit&hiQurJ^èmarinsfc et notre
propre expérience ne - peut- laj^er aucun dojj^è^à cet égard, '
D . Rapports du Baromètre et de l'Hygromètre.
15.0 Les variations du:baromètrè;dtnt dèsrapports^ipcontestables
avec celles’' dé i’hÿgr^IffitSce. -
16 ° L’abaissement du mercure correspond, dans*Je pl|&1 grand
nombrp de cas, avec l ’augmentation de l’hqi^d|të il pa£o|f d’autant
pius"Çonsidérable, qu’elle devreh^ptus fdîtèH ’
1 j.° L ’élévation dn-barômètrê^'presqâè * toit jours "^^c^rRe^pond à
la diminution^de i’hümidjté dans l’atmosph'èréjèêll èpësti.d’aufant
plus grande, toutes" chèsès' égales^ d’ailleurs, que-ce.ttej diminution
est' indiquée' plus considérable par l’hygromètre. ' ' ■
E. ‘^ n ts l^ -
18.° Les vents sont d’autant plus; foibles et plusxpnstans, qu’on
se rapproche davantage des régions équatoriales,. ït$ ‘m'versa.-
• F. Rapports qes'JÇentsppeole Baropiètre.
i,o.° Les vents paroissent exercer une action réelle et tout-à-fait
indépendante sur les variations du baromètre ; car j’ai vu souvent,
par des vents.secs et froids, le mercure s’abaisser presque subitement
Je 3,'4.> 5 , 6 et meme 8 lignes, malgré la diminution rapide de
l’humidité dans? Uàtflfèsp'hèrd ;l’€irdo’iistance qui p d’après là théorie
tMp^’fe^clu^^'idfe^DEÉüCaurort dû déteriminer',- au contraire,
i’as Ce Jhi cm^f d u finérc tire.
iFJi'ô.0 Cèftè^ïadfi’ôS5 dé^yènt's sur le baromètre'' toutes choses
d’ailleurs 'supp^s^l^àtef^m’a 'paru généralement' être ên raison
XompiIftMIflerleuf 1té|àp éraferë moindre et dé leur vîtessé.’'’
G. Iffréngmjtnes, atrdpspl^j^ufis^
1 1 1 .8 L ’état vâpVréuxJ,dtr dieilônservç^'vérs Je ihilieu du jour,
dans toutes‘lès m e# dfeprë^o^léquatofiâîès*,'^ét désigné par les
nàlv^âtépés^ëohs le^noWà dédïîkg^rs'j (¥korfyoW^rasJ â e ’ézél galeux,
dl Bdrï^o^fèk^peîix^-éPpi ; la pompé*éclatante dëï; levéfÿet des cou-
xh|p|| duflo'îeil dans yMl nfémél èhmàts ; la sérénité des cieux durant
la nuit jtquLcbntrastjëysi fortement-^^^l’état vaporeux de ïatmos-
pbètëdürant lé1 jour1; Ja^néquefrceÿétr la frùmation'presque instan-
sfM®e d é ‘ cës TuSge? ' méhâçâns ' décnW? par, tant ’d obsterVate'èrs ; de
t^'onnri*‘s.^pJI-iei morfr d‘è graiiïi^âîŸ ^opiqiiù ; Thëtivité
prodi^èçsè’dë 1’Kümidité, à laquelle il pt'presquè impossible dé
soustraire 1|||‘é b f p l u s précieux ; l’abondance' des pluies; et
la ||ross;eiÉr Wslgouttés qu’ellës' fournilsfeirt : tous *Bèa phénomènes/
inexpliqués^jüsquu?jëèljour, de la’mété6réjd^îèvreq\iatbriale, mé
pardisltm dépendre preside exclusivement é l l’état hygrométrique
^ l’atmosphè^<jçk|is;;ees^ j ^ ^ è s / è t Jâ théfrfiè ..dès réfractions
atmosphériques me semble çfevoiise rat tap ber d’une manière importante
aux observations de’ ce 'genre.J
H. Résultats généraux^
• 221°* Si l’on réunit maintenant "à’^ès* résultats de nos propres
recherchés, ceux obtenus'par M; BÉ ffn ^ o LD T ltir lù: djminutron
d’inténsité de la force, magnétique v ë ff l’équateur, il s’ensuit qüe-
tous lè^ grands phénomènes de la physique éprouvent les modifications
lèsB:pIus importante^’à Jmesuïe qu’on së rapproché de ce
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