démonstration emXeroit portée jusqu’à- l'évidencejamais il suffit à
mon 'Objet-présent, d’avoir mis ie'lecteur;en ôtât d’appréeier toute
J’étendue de la faute que commit alors no'tre Chef. On verra bientôt;
en effet, que, par une, suite néGessairç-,de<<dfe'cÔntre-tempsv aussi
simple à prévoir que faciled éviter, il sevtrouva?forcé., dès 'le début
de?§<Én'. voyage.,I à intervertir tout '.d’ordre 1 desV,opérations - qui lui
avoient été-iptescfittes?. tant, pour l’exécution-des entreprises tes
plus importantestes- fautes'fes^plus légères- peuvent avoir des
conséque®ss&S| fâcheuses etirréparabiêsdv: . ‘. -
"S a n s ’ doute la relation’- d’une traversée, dans l’Inde devront verre
peu' susceptible d’un véritable > tort ér é tr ; Qilië'embteroft même qu elle
ne^î-ïdût p l*^ fournir aucune^observatiioÈn« nouvel!#.^ awjourd’^ 4
qu’un si grand nombre de navires"deitoutestdesî'natiètîs d’àïEépétéè
depuis trois'^èdësj il n’en esfe.cepéndant pas'ainSi, etf p o tîr s ’en
eonvaincrevfril suffira de. jeter un- coup'dfceil .-sur <eéttfe;multïtradeïde
relations qui nous, ont ?été fournies-à^dsvera^fîêiroques.aOn y^verra
presque toua les navigateurs exclusif ementcoocupcs desjobîjêtS'Ides
plusivulgaifes I répétant ce que leurs prédé;êesSf.&Sr‘ûnt déjà» redit
êéntTibis avant eux ^et négligeant tô,t^g.iqueqïeut’ vraiment ctfrir
de nouveau cet immense thcarrc, que comprend àdaffons l’Océan
Atlantique dans toute, sasniongueur, la mér ffeaiiiidès^v|es44etix
zones tempérées et toute, la ban de équatoriale, du 'Cependant;
quelles belles suites d’observations -fié, serpit-djrîpas, possible
d’y faire sur la-température comparée, de l’atmosphere à ddlereni.es
latitudes deffun et l’autre hémisphère,» sur dès variations dufba^®l
mètreretde l’hygromètre dans les'mêmes circOQstanfe.eS'i Ta- température
dè la mer à sa 'surface /comparée f à, diverses époques .du
jour et de la nuit; à celte de l’atmosphère, n’offre*t-elier,pas- encore
un nouveau champ de recherches ! Et la chaleur de l’Océan à de
grandes, profondeurs, nê présente-t-elle pas une carrière ' féconde
en résultats .du plus, haut intérêt ! .Ne., sommes-nous pas encQre
réduits à de'vaines conjectures sur la profondeur des-mers, sur les
proportions relatives de la safure de leurs'eaux T Toutes nos idées
nefünt-ples pas/èpeore incertaines" sur la véritable cause de la
phO^'horescepIb!vcle la mer, ^euphppppiène^si merveilleux, si
commun, e.t*4èpêndânt sr.maf expliqué, ion;pourroit même dire
si» Mal fe Et^si- nous voulons promeijeï’ nos
régards<'lu.pd’ééehdue dêU’*Qcéâin y mty découvrirons - nous pas une
fêulWcfanimaux- példgièné rgnoréf, de moilusquésjlÿurrtout, et de
qui 'mattencfén't ; poüri nùüs manifester de nouveaux
prodiges, qu’un ©4&ervat4&i de leur 'organisation, qu’un historien
deg|eibl' mèsùrs*^. f -
Vcfflà'/sâfts d o u te , d’àssezs .nombreux et d’assez/beaux sujets d’ob-
sèrvat|feh%5à poursuivre durant-l^loiïÿeies'îtraverséésifdbnt il s’agit,
jÉ'êffirqu’S©'3^p0^iKPfde#Q§cuj5er ‘'aujouTd’hui d’autre .chose -que
desffifOÏssonàiv’wdM'S, des doradfSf'des, requirisfS'de leurs sueèts^ ê^à. C est
aux navigations de,M6. gehré. adêhèSlse lfe^. qu’il a p p a rtien td e
fournirèlfeâiîprécieiik' Matériaux cfunevcart^ph,y^^e<^et .mçtéorolo-
gique 'de^mer.sï;nea£te dontbtWf-es l,es ^ iêp ë ^ iép ro u v en t le besoin,
et ^do|iffom,cKeçèjier^)i,t en vaint Iç^élémens léj&plus ^simples dans
Gètte-jfpule, de relations- qui.se, multiplient en^sft -reproduisant les
u n i r par des^aptres.
dà^fe,portant}mé?^dherçh^s|sur5 chacun, des sujetsdont je vienf
de^parier 3,qiauÿouIu plutôt indiquer.-cet-tè nouvelle jeapigrfe, ,que
je nâaij.eu .la prétentionj <te la^pafc-QÛrirs mais les - résultats';queA j’ai
obtenus de :^s.-pKem|èries tëptatipispme par o issen tsfps,efc u(tij^S, pour
q.uej je^croie de,voir des exposer raMdemeni^â^iv réservant tops les
détail&des-observations donttjls>%ont le -fruit, à'd’autres temps et
pour d’autres ojpragos-.v.\