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 dans F intérieur du  tube, 'forçèSid’y * séjdürner,  pourroient  pent-etre  
 ÿ  suHir  une  sorte  de  décomposition  de  diliilution  qui  l'es.rendît  
 propres  à.être  absorbés  par  lès  extrémités  du  réseau vasculaire que  
 nous  àvdns  décrit. 
 Plus  que  celui;de  la  nutrition.,  le^ système'*de  la  génération: est  
 obscur-et difficile ^concevoir  dans  cet  animal.  Comme  dans  çe$~t  
 tainesespèces-de Pôlypés, à   la  classe  desquels^genre  appartient,  
 la régénération s’opéreroit-eile par une sorte deffiouture ï Quelques-  
 uns  des,,longs  tubçrcules7 dont  j’ai  parlé,  se-détac^é|o|ent-ils,,  à  
 des^epoques  p lu ^ u   moins  avancées-,,  pour  devenir  eux-mêmes  
 autant  d’individus  d i s t in c t   e t, "dans  ce  cas,  les ..tubercules; plus  
 courts, plus déprimés qui  couvrent le preste de la surface*,  seFoiënt-ife  
 destinés-à  remplacer les plus  grands  a  mesure  qu’ils  se  détachent,  
 pour  devenir  à  leur  tour  des  animaux  organls'ét^’avoue queîce  
 .'sont  là-des« conjectures  qui  ne  reposent-,sùr  aucune Observation  
 précisecependant'si-l’on  réfléchit  sur  la  simplicité«.d^îrgànisalion  
 dq»èes animaux,^urden£mbre prodigieux que nous^gofiservâmes,  
 et  qui  suppose nécessairement une multiplication  rapic^pe.ùt-^re  
 -ne  sera-t-on. pas  autant  éloigné  d'admettre  une  ieféê^^tHi'rp'àroît  
 s âcoerdéi  à-la-fois  avec  la  simpliérfé' de l’orga^atiôn^ë; l’animal,  
 a v ÿ ,  sa multiplication  prodigieuse,  et,que  l’analogiei-èemblejustifier  
 elle^même. 
 Je  dois  pourtant  ajouter  ici  que,  malgré■ .nt^oürsës-dopgués  
 et multipliées  au  milieu  de  tant  de mers dif^rentes,  nousmcfimes  
 j a m a i s   depuis  occasion  d’observer  aucurfe  tribu  de  c£fei^espèfce;:i  
 elle  paroîtroit  donc  cantonnée  entre  le  19.®  et  le ,20.e  degre  de  
 longitude.à  l’Ouest  du  méridien  de- Paris,  et  le  y.e  et  le  de  
 latitude boréale  où nous l’observâmes,  La température  des  eaux de  
 la mer à; sa surface étoit alors de-220 du  thermomètre de Réaumur.  
 J’indique ayec^oin  ces- dernières circonstances,  parce qu’on pourra,  
 voir  dans  la*suite  de nos  travaux,  que  les  differentes  especes  de. 
 Zôophites* et  de  Mollusques  pélagiens  ne  sont  pas  disséminées  au  
 hasarelg,sur  la  surface -de,l’Océap fc mais  que  chacune  d’elles ,  fixée  
 toujours  à ,d é b itâm e s  . latitudes,  à/.de  certaines  longitudes,  se  
 crepr© dungeons tam ment’ aux mêmes  lieux,  où la température’  vrai-  
 semblableipejnt  plus que  t’oute  autre  chos’e ,  la  contraint  d’habiter  
 e r de  se  reléguer. 
 Fi n   è u   L6r?VôLuMÈ.