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 désirs.  Plusieurs  détachêinens qui,  comme  autant  d’édaitên-rSy'.pré-  
 ’céd oient  la fenupe principale y doiah lofent notre-navire  dejjSfS&jpf'ès  
 et  dans  tonMiésfbéns'rda. rapidité ,de  leufs  évolutrohs^la  Kardieàse  
 de  leurs*  sauts, ino^|e©cc.ùpèreût  -avec  d'autant  plus  d’intéfêt,  que  
 nous  navrons  jamais  v u ,desHbandès  àuss^cB^M^T'aMesr^'de  ces  
 eétaèflllA  peine^&ônîSpvioBS=îBous  comment,  autîmilreu  d în e r s   
 qui  nous ,^nt p a tü   .peu  poissbnnaûaes',  ees  milliers .de'ydâupfrins  
 réunis  trouvent upie pâture  suffisante : Gemment. afii^S’ivùYlIgéJ R tesî  
 nombreux qu'ils ,1’étoient alors-, ils pouvoient exéputerdèsinp® cohues  
 les  plus  variées ;  les,'pfus:-fapidèsp.-5ansrse  heurter  mutuel!em|lnt,  
 sans  se  brise«  les  uns  fe# autres..  .  viEndpëu  dhnsfens* nods fïn   
 harponnâmes  neuf du  poids-de ^ ^ ^ y lm y r ta g r a h am e ^ e ^ lt t e   
 pêche- beuïfèùse  nous parut^comme un  bienfait  durcie K'  -4f©#i||n  
 effet  terrible  scorbut  avoit  commentl | É s '  râva^ê^fe^Psfsldai-  
 sons  pourries  et  rongéesfde  vers  alfxqùejles  nous  éti?i'nMrêdtits  
 depuis  plusieurs mois,  précipitoien-t’ châqUe'joun.YafFreu'X  devéMxp-  
 pement de  ce> fléauL 
 A   peine-eette  p êchée tok  finie,  qu-omsignala du-hauWddMMâts  
 une  voile  à  l’horizon.  T ou t  ie-mondércrut  d’abord  q^ilêf§égç>w/e  
 Naturaliste^  et  la  joie  devint  générale  ;  imjsfbientôt  noM#â|âis  
 rapprochâmes  assez  du  bâtiment  aperçu  p ou f?rtedonnOîtfe*q,idbce  
 n’étbit.point notre  conserve.  Comme il  cpuroi^ous-tobl^^aw®à  
 contre-bord  de nous,  il  ne  tarda pas à-Se-trouveï parn<^o>tWvèrs:  
 alors; il  hissa pavillon Anglois;  nous arborâmes nousdnêtnesil^^u-  
 leurs Françoises, et mîmes en panne pour imiter sa mancenvreoDans  
 ce moment,  le  capitaine  Anglois  nous  héla»,  en  nèiàs  demaMacnt  
 si  nous n étions  pas  l’un  des  deux  vaisseaux' partis - de* Eranc^our  
 faire  des; découvertes, dans l’hémisphère Austral.  Sur notïerépbnse  
 affirmative,  il  fit-aussitôt  mettre*  une  embarcation  à ? la -mer y  et  
 peu  d’instans  après  nous  le  reçûmes  à  bord.-*Ndus  apprîmes  que  
 c’.étoit  le  capitaine  Flinders ,  celui-là même  qui  avoit  déjà sfait  la 
 xirconna!vigâtio.nifdpdaî^Ere.idifâ,Piûépipni 'q u e^ n t fia v i^ s e  .nom-  
 jn©^* the Jrwà'$à^.takqué, parti  djEu|ro|gg|.deptiàs: .huit .mpi^ljdans  
 -lekAssein  d eÂw p p léW   la  rfçonnb^asçn^e i de  Ia{) Nçmveîlç - Hollande, 
  et|dyf;%rch ipè^sàdiu< -g^and.* Q)cé^n>épaatoTrafl,^ p^se^rou-voit,  
 dep u'S^pÈon;.tMjfe:gp®ëA à  la 
 F^ÿènt| /;pjl  n’avpi| pu pénéper^;c|||nm^;|il <,en„ ayph  eujléiprbjet,  
 *dp$:èîîe, iles^dqs  SEllt"Er$®iç<$> 4  ^;que^d<^rshde ;g]çn  .départ 
 d’Angfeier^e à  il- av®’iife>ftun|Stefeond^ briment av^dluiyd«fuit)  il, ajMQit  
 pîéÿisépaÿâqpari 1 ;ne^iq  tiq ^Wdà^ a ip c ti  de  pw&ï 
 et frar  l^hÿ f flt^^nt  dad^piino^e;  qjui  nousr^ayoit  fait 
 t^u rin  dd^J^és^a^ dangéEsiâ^^fej déir^tVd^^à^i.  d ; ÿ ^ p e jd u 
 ^bîUgtand,-çanot,,  âvçç huit honMS dfélitc^ptesoffl{premier*.officier. 
 ^^p^i»gidj^%^bpfo]îmit4^s^ns4% ^ k o iP lp in b s^ â fe tife   peut 
 'Sdçyiriàprbïùif er- -de- pins  en  plps  tp med’^qnduÊ Aegip érjEse^erivi^  
 aiu^ emêditjo^sp^^^^gopéf^^ 
 /#ÿEn- n®j|s-tfbu^n/^a*nffftôius> çes :détai|si|,-M, ;FU  nd un rasje$ij|ip ptra  
 dlune^apdq!réser^e.S;ùr-s;es|Gp4ï#iop&pâftiçujM^j^i©psî^ppp|gaes'  
 toutefois pafvquelquos-unsMe^ slmatêle)Jsè.;qu’il avo.kiçu b e aifk u p   
 VC$tS4(fe< la, partfe.idu  SfftI iCTuifpOps akoiient  
 été si,-faVj©rabJ4^ièl.<0^^Æ^lbr|^pr-p©p|(jq|ieJ nç^ush|pm^kàppré-  
 «gier  dajaritage  tççut&d& sag^çsidc  no^praj^y^nsj^uetiqmvAppès  
 <S4iavérsé> p^s|*d’une* hedre;  nous/,1  le  oapitain© Fîænders 
 repartit pptin’S.èbflbfài^h,  promettant d|g||ïJjgniFj ic^én|îegfaira {matin  
 ■hojfs apporter,uno,ea,rt'e(p a r^ .c u |i|r^ d e  jlab fi^ à^   afe;/^q,u’il  
 ^n^ittfde publierdeâ Angleterre.  Ili^e^ ntleMëffé t .  
 la fpnaetfêe^ e t:bieniQpiapf.èsi,«ndus  |e ? ^ ih t^ ^ |g (fc ç !fe p fe a d ife la   
 -suites de-i*qo^W»vauâ .géographique^'. 
 îfO^Oîts ypiciparvenbs maintenant à un p,o,jèt-dpJa^ei)|e|I^poléon„  
 où  !sa fCpnstttüüion y ^ù|ii»pIe i|usqu;al;©/s ^ ^ ^ ^ ^IcqueMellemen t.r '  
 qu’il  .me»- seroit .impossible  jd’en  po.uæsi^^èples  dé‘tafi|ÿ„>j quelque  
 intéressans  qûfil.S -§o5.ent  d’a^IJeurs., vjGptrijàçgrands^{traits tqü’fl  faqt  
 décrire les nouveaux pb|êtstq(ui^ontpprésenten;Au-d.ej4idjune baie