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 coupâmes J.e  méridien  dé  Pâris  par*53AT environ; de  latitude  Australe. 
 Lé  3 Lévrier,  nous  doublarugsTe -câp, d e.B o n n e -E sp e ran g ^   la  
 distance  de, hajt  ou  dix  Iiepe^M|aus  d istin g u âm e s^ p g  ‘ bien  la  
 montagne  de  la  Table  •malgcéoks.-beumes  dont  elle  s e  tr ^ v o i t   
 alors,enveloppée  de.toqtêsjiparts. |   , 
 Dü’<3'au'4!mars; nous fumes  assaillispar une;bpur.ra$queLqTui  ne  
 dura'guères plus  de  2.4  heures vumaiè^quKdute June^violenceuelIe -,  
 que  le  baromètre,:'dans  cet  inter^all^'.sj^aissaîde  K®J,i§iiign‘ès:î Le  
 i^ar«rÆ/U^>éprouvarquelqûeÉ«£varies  dans .-sa >voil-ùrej.Ncpis;.'n'^m  
 trouvions  'alors  par  le  travers-du  canal  dm Mqsambiqte „ parage  
 ïâmeuxjà'jeâîusefdeda fréquence xfe'çès^orages MÉde  leur  yfolenf^o.  
 Le.'! 1.0  mars,  nousi repassâmes  ie;ttropique  du. Capr^O'Ein^^  
 r  Enfin,  le-.ugi -aubsoirv .notiÿ eumesfflar^vbe tdés montagneuse, ITk-1  
 de-Franceÿ après  une  navigation  ^er5P^,n t<.quarante^nq|,/our-sfVfà  
 Gompter  du  départ ;dTu^dp;e^rcè,  qui. fait:  une<jde^p^qs?^ongu^S;  
 Iraverséesqu’on  puissé avoir .pour,un',#otyagekIecc’e ^ n ^ é (% b s ï   
 tination de notre  C h e f àrangër 'de ird p J)rèi9.>la^'®.tÊ, d’A fr ip tw iu t  
 la  principale cause de:c*pretard/eDÆÔmme  ilfcu^urîtolitetla  suite  
 de  nop  opérations,  la plus  fânesteunfluendé., jtë^orqis’;.devmp, m ar-  
 jÉli^un-- instant sur jçet o b j e t s 
 Deux-  roures  se  présement  -naturettemennaâûî) nâvi*^feeqr 1 qui;  
 partante d’Europe p*se* propose'} dialler' d o ^ lè | î^ q ÿ ^ % ^ ^ :qp*ilé.i  
 Bépérahbap":  l-upe,  qu’on  pourroit^appeler tde^eoekmtLg&,. oon^ 6t-f  
 ranger de-prèsi la GÔteid’Afrique,  afin  dex'ôhperf l’équateur  lejpbï^à  
 l’Estpossible.'Par la,seconde  route,  auteontraite.,aptesavpmattejnt  
 la  latitude  des  îles ni u  Cap^Vérd,  on;  làiiseïporter  dans-TO/uest,  
 en  serapprochant de  la côte  Orientale  de  l’Amérique,  de  manière  
 à ne couperia ligne  qute par  les  2 y  ;ou  mêmepgèx0  de  longitudkjà  
 l’Ouest du méridien de Parié.  Parvenu vers  le  33.e degré de  latitude  
 Australe^ on - trouve  des; vents d e iN .p . - d*abord;ipuis  de  l O uest , 
 à  la-  faveur  desquefenaai peat» rajlidfem^iil%V!»r- .dans  l’Est  pour  
 allméfoùblerde  cap  fameuxldont  nous-’parlons.  
 îrt  Sans  doute,’ sfli’offisetconten'te.jde. comparer la  distance  absolue  
 detôs; deux/routesl,  on  nib-ésitera  pas  à.?ejrqisir  celle  du  cabotage  
 içalong.desj dô%sa d’Afrique; mais  le  navigateur -instruit  fait  entrer  
 dansées* calcul^d.’autresiélémens,que  ,e#te yaimnconsidération  des  
 pp4ti^nsî^ograpbiqjjes,felatives-4il  n’ignore.pas que  les  distances  
 ,|®èrplus ^ ^ id é ra b le^ iï^ p p ^ en é e i,  ne* scjilt  rien  -pour  lu i,  s’il  
 se,trouve  fav€#s;é§,par  les&cpuÈansiinLpar, lp§j vents;  que<  l.e.-plus  
 pe^Æraiçfj,, -auicontraire ÿipëùBfJf.aPê$^|i pendant^d#® .semaines,  ou  
 pendant M:es?mëi|^iree^ménae^vien'f^H^^^^émeSiiéO'Uran% gont  
 oppe i^ià'samarche^ ou^ giquil  Redoute b^ n  davantage, encore,  
 sljÀ^cafines ôpiniâtresuetiennent, son'nay-ire, immobile  à la,surface 
 de§^^|^É 
 m yOSæ^itQus.' cessinconv,éniens^B(%n?i>S‘5se»s^attaebés,''àçla  route  de  
 rab-e) tf^edtï‘1 on^dedwtès duS|^. O :’ do l’Afrique : l’e&p.éjsen'ce- nous  
 apmençlji e^^fet^.que da;dp^%tf Û&-générale<4^ï%ent&, qui  soufflent  
 dsgu  ;eet, jpârxagtw^c|.L^clle^de!' l’E . ^  E.^n<mqïAe ' du  S.-  E,. ;  elle  
 np-ja*s-Apprend  qqejjles .nôU'Wis  qujbr-ègnent  dans,. cette, partie  de  
 I-’L^éan ^t%n4^^fe^orf:©n*^^^^iS^We noius Apprend emfimque #  
 deqtoutes  Jes|nP;rSï c.On]^ef||&©]'ie  qui baignela. poriiqù  équatoriale  
 %îia^@^étOnfffidentale *d’A fir iq u e^ ^ la p te ' -sujettejanx^eaimes,  et  
 quemulle.partsds^Ue|s^mon1ürentA-ussj cruellement opMapses.  Tous  
 fes^nayigateurs'dés» plb% expérimentés .Sont  d’agcppfdi^bir  faits  que 
 jevvJ^b^éf^bfi^'^tfcl#ÇaP'i‘ine  D^mpier,  dqnc?t©us  les.écrits  
 porcfent-|ün  caç$pjtè)$g .^jp^éoieux  d^®&ac'titp^%i4t;ïsPnt  le fruit d’une  
 -Alongue  expérience,  les  a plus  particulièrement  développés  dans  
 son  Traitéj'4es- vennSÊp^ 
 Par  la . route  du  largey au^ontraire ,  le^. cpurans ,;svi  .funestes  au  
 caboteur,  deviennent favorabfeîà§©|lai  qui  veutpqrlèndans  l’CJugst^  
 et;lès  balîbesi.lil-rédoutâplS.de^G^é^Afrfèâmésr^blit  beaucoup  
 pluss’^ares.,  et  sur-tout  beaucbupi moins  durabiefjau  milieu,  de 
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