
 
        
         
		Quelques-unes  fe u il^ o n t*  d è f  ; 
 et  if eh  aî~mésifré splusïeurs "de  32  à  38  déeiïdètres' dfe4 oi|gUeur  
 {  i ô ’ à  12  piè<fè_]d 
 C e   nest pas  seulementsôîÉHe  rapport  de  la  singularité jde  li&r  
 organisation^  sous  cefui  de  leurs  proportions-> gigâfttésques-,  que  
 6is  fucus  doivent  i^ ^ ^ ^ r^ o ts e rv à tèû r .  Àérâ&tfsf  qüét^tefôis  
 du  fond  des'mers par'TefFet  de  la  tempête,  ‘,'^ ¥ an c s   de  fùcj^s,  
 transportes  par  le‘s  côurans  dans  le  fond  de  -la  baie  Riedie  ,  ne  
 tafdènt^pats  à  s?y  trouver  eriseVeli#^^s^fe  safelé%-et>‘fe"©^tlib^nt  
 puissamment à l’encombrement ;def«|§t‘té bàîepét au développement  
 de  -1’istl.ime  qui  lâ'sépare  dê^Yellé*  d^H u ît^ fe l Ainsi p-Vers#e^tté  
 extrémité  du  monde  se  réalisé le  grand  tableau ÿ l   l’inflâf'tfêl>d£S  
 plantes  mârinïilur  l’attYrissé-ment! Ifes mefsN%tre ‘L i^N^us-'^kcé  
 dans sê§ Prolégomènes du règne minéral fm-raîs, SâÛs5fefi^tàlef davantage  
 sur-  cette  digression  imp ortanteV%evenbns  à  là-suite  d#|f|;tre  
 vpyageoautour  de  l’île Maria,  v 
 Après avoir doublé le*cap Boullanger,  nous  prolongëâmes -ràpi-  
 .dement  tome  la  Côte  N.  O.  de  l’île;  êlfe^estf-  ainsi ‘'que j ÿ $ h i   
 de  findiquer^^bâsse  et  sablonneuse  :  lâ^ ^ è ta t lb ^ |ë § P ^ ^ ^ â « |   
 aux'envirbÊs du  rivage'de  la  mér;  mais ^ ^ s   wys 
 -bti  découvre  -tfê  be!fés'foéê%  le 'revers  des  monYagngs^âïoît  
 1 couvert  d’aSséz ^béaux  arbres.  Sur  iM^cinq  héûrès  du  s©5r,  npus  
 dépassâmes  Yllordu  m ilie tique  nous  av'ons  ainsi momméV'Tl-'  sa  
 position  intermédiaire ' Ofitré-laHérre de DtéméWet i’Me Maria. Æe  
 nest qu’un rochèn granitique',  de* 2-34 mètres0nvirbri J3ê Ütokiètre  
 -£’120  toisés ] ,   à*  peine  élevé  de  9?'à -i^metrë ê ’ f  30 % ’^^OTffls]  
 au-dessus  de  la  surface  des  eaux :  il  est  naturellement' ’treS-stérile ;  
 et *lés  naturels  qui passent de  la  grande  terre  sur  l’île  MariaPétant  
 dans T  habitude  de  venir  s’y  reposer,  ayoient  détruit, par  le  feu,  
 -toute tràée  de  végétation. 
 Déjà  l’obscurité  commençoit  àkëndre nos  félèvemens'plus diffi-  
 eiles  et  plus  incertains,  lorsque-nous  doublâmes  le  cap'Lesùeur, 
 qui  forme  là  poihïè#Iîëjtd  de  l’entréefe)de ; la  baie  des  Huîtres  :  
 n^ùs^noüs^;d‘ispoSfcpis' jà  mèfffere  piçd  à^terre  _pour^y  passer  la  
 nU®|fquand Wilts;lapçn|i4m^^-|lne  troupe  d^^yiiigt-itiipqdÔ11  ■ p'ente  
 sausüÉges ,  qui balançaient  
 eUfoSussahtTde-, grands|B||| 
 vCnoit  doutant  moins ,;;qpet^nt^^^a^g^és<do^|f|?i.ajn^tla mer  
 depuis  d:eux.  jîëiirs  ,hn;©ü$  fævio#'’iÀ>éso7n  <d.eoqpejqy,e  repps Vï >et  
 q f  il  nousWht  fallu Vf a^lb ? d è t f è l 'ih ^   lypilier 
 enê^tnes  :  bfvias^W ^ lim es -donc  de  ri|||s^fnfoftc’er daya^tagplgans  
 la  ïbaieV-persuûiflfli  q ^ i^'■ ;sa'lnngc-S!^fl^■ ^np^jl^«llU^®^e^yt', pas.  
 Dl&cti\ e m e n-t,Sid'S^I)htinùèrènt leur roumi^ ^ ^ k t i^ ^ p j^ u r e n t   
 bientôt ■ : ^ al»s-iW^n&;.Wékeén^-màès * à  terre,.s 
 Le  2 1 ,  de  bénn^léllplimpmsbreprlmilf^Ô^Opérati^sj^da^lp.  
 bâîe.:desS T u k r o * oifrê  sfbpeu  d’ea&^W§ÿgW0'nd,  qypjppks  
 nous  trouVïO^à  chaque? instant  en edàng l&  djechouer,  quoique  
 s^¥e®tiàdétgrandeâ4lfîs4Sicè^ de la»ter|ebMaîgf^'cetinî;c)ip^i|nt,  
 nOUs ^rnîêbs '/d’en.  ’Woniner  la^ge'g^paphie.)  çt-  n^ùs,ljalMo3l%^dpu-  
 bfèr  la  po initè^Sudi ^eîflénBÉ^eÿdorsque  tirer  up 
 coup  'de  canon #è|pmàvireS..  .  .  Bient.ôtjil^Sfe^sU^G'édîlf^fî à ;des  
 intervallesjüeis, -que nopSme.pûmesmOuvpWprenglre sur leur funqste'  
 cÉjet:'.  dernier d,e me^@If^gU|^,-. M.  MAn&É(f?-n’éto11  p l^ 
 ôlrdù f  r Iridoit-dé funèbués honnéuBS.W  . Tl étok mortjlqijê^emain  
 de,n0treVdépàrt^iuni-versellementi®egrettp’^u|!f4èsbdenx 'Vaîsseaiîxt,  qt  
 bien digne, par îsMjcarapfcèfe^ét par s®é idévoiuemmt auWMi&ils d|è|  
 l’exp^dk-iOn,  dsèS"sèntimens..d;e  regrets,q.uOî|a^f)%t|\^^ir^.|^p|i  
 cotp's  fut  enterré  s*ir  Oie.Maria,  au  pied  d’un .grand^uCaWntjjiS,,  
 coWre  lequel -on attacha unè plaque <de plomb  contçnaiatfl^Sjtrjstçs  
 -détàils  de sa mort  '  et de, nom  de  Pointe  iMaugé, fut  doniîé^àiÇette  
 partie* de  l’île j OÙ< furent^'déposés des^jéstes'de  notre  malheureux:  
 compagnon. 
 En  sortant  & Oyster’s  Bay';  nousvaüâmes a ëè^ter  la  partie* .occidentals  
 de l’île,  sür laquelle nous.avions encore quelques relèyémens 
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 Pi. 1 lia