éeux qui noflè occupent : dans un. tel état de choséa, le&p’essoarces.
de la- horde finissent' avec celles'de chacun denses- membres.
Ces principes posésj'que l’un dfe^ces hommes viennè a mourir....
C ’étoit un vieillard respecté, père d’une nombreuse famille : djj|st
èntoüré de ses enfans; ils ont reçu se*3 d'emrérs>s®upirs.. . . Que
vont-ds faire de son cadavre ! . . .
• tiM àndim tkh y. f • • f * teur ’ 11 é toit.bon. . - ^ e t
son corps, délaissé panses enfans, servfroit de .pâture aux bêtes
ierocés“ !“.-/. . . Cette réflexion doit glacer d’horreur, même des
sa&vagesV . . . . ÏYàiMenrs-la putréfaction de ce cadavre nèunam
quèroït pas de les incommode* ;• et chacun des ossemens ■diÿjgëés
de-dëuT |»è^-sertMt S ehaque instant,F sinon un'reptoêhe d ingratitude,
du moins un'spectacle désagréabfetet dégoûtant.
•Le jemf à h paroît d’abord un expédient pii&Aimpte? et
plus' naturel : mais, repoussé par tes’oouràns teopar la ih arée , 1 1
aüroient pu voir le cadavre vomi .sur leurs • iâv a^ A et .qpelq|efoi3
pëu*-#fe Iéséafembres corrompus de leurs parenscauroient été retirés
par leurs mains, Confondus avec-tes coquillages dont.iÉs sgfaàurfissent.
'
L ’embatmer est au-dessus de toiitës leurs "idées1, de tomaïffirs
moyens.r: ; J -- _ = . .
'in h um e r est- une opération-d^ûtant plus-differte,-^quëîde»l
est plus généralement dur, rocailleux, et que le manque lâhsolü
d e toute espèce d’HKtrument rendroit pfcust difficuàueuse? pqore
1 ouverture d’une fësse de cette espèce. U est'probable pourtant
que l’homme auroit eu récours- à ce moyen, s’il ne lui érc Situas
resté un dernier ihfiniméôt plus prompt, plus tecite et plu^avantageux
que tous ceux dont je1 vicias, de parier.
' C e dernier moyen est de brûler k o a d a v r - . i fei «>ut concourt
% la teciiicé de; rëxécution tout estd^accprd. soit avec-le?genre
de vteJhabitée! dèsFhommes-de ces- rivages-, -soit avec. tes. circons-
tânëéè-' dans lèsqueHés ils- se trouvent placés. Le f e u , -cet; agent
puissant-et terrible dont il§. retflentî des secours- si multipliés et
si-précieux, ne sauroit manquer d’exciter parmi de tels,!hommes
quelques-uns de ce^sentimens-.rde.yénération que la plupart des
nations anciennes avoient consacrés par tants,d’institutions et de
mohûmens religieux. Sans être .divinisé peut-;être comme *il le
fut jadis, le -feu, dans té s contrées - , paroît être r.egardé comme
quelque chpse de .supérieur-aux autres »'pbjofs^ de la nature ; (et cgs
prena%es idées n’auront pas|>eu contribué,* sans.-doiu-t'e) à suggérer
celle de brûler les morts.^ébtfe -opinion unefljpis établie, tout a
dû-la faire adopter. Les matériaux néqeisairesp l’eÿé|ïi|tion étoienf
prêts : il*pe dallait; ni- ÿéflexiàb. ni travail,; fl ne fall-pit aucun insT
trumqnt ^ e x é cu tio n é-toit aussi promipte-que faci-lé^éde p ré v e n u
et laj corruption et l|j||fêetion quHa suit. A>peine quelques débris
d’o£semens\«|urwpient à cette -opération-; êt les cendres! du'foyer
sùffisoier^setdesrp'ëui|leS'triêcouvrir.,-Lo.utte la cé^épipinée'îetigeoit
au^plbs-iqueiques sheurçit; et^l.|^prijugétlflenddientï en.cPre ià la
reMre pl-usi respectabie./et pltis sacrée:]' ■
Ainsi.doncipt usige-Béd’rûIer:4<feno rts^ 'rieipjârokfpas êtré;un
pur effet dudrasard : (^àsp^rd avecdôutês tes'circonstaf^s'pkysiques
et^iocalqil^il -sembleiéyidemment avoffj|piEp commandérpar e llé^
et s%la nature d è^ C o u v ra g e me permëtfôif de pQû^^pliîsïéoin
cë^éffcxüpnfeî il me .sesOit „facile, ;fle prouiver<que^Ê^te,partieér|||t
importantse. dçs'sfa s a g e s p e u p t e | b radbeaHCO$p ï pjas'îdlj rapports
aÿtcÇla qualité du •sot et avec^s^constitùtion qu’on fpe^pp^H'^ te
soupçonner-d’abord lMélt,pl pas bien remarquable. par exemple. qup
lèlfcdeux pays du monde lêpipi us; célèbres par ienrS'Cmbaé•meInaIfs,
et fleurs momies, la haute-Égypte, et Ténéiàff|î|: soient ^ég^lemépt
dist%gués par i e tearactèrêïdeiîsécbçnes&e'.lhabiîtuq|lé‘fle lgur ^ i ie t
de.ieur atmo'§|)hçre;é>ét par la facilité prppurer. l|^|divè|s
^‘YiPyagsLe. P h i,l 1 p,gs à- fa.; ;N ^ ^
véHe-Galles, » gDu-ûIcnt avîjïr^mwropits« VJ.