S E C T ï -Q V I ï 1.
Résultats 0 fié$nix\ i
D e l’ensemble des faits que j’ai suéles|ivenrient ;ex|d||s dans>eê'
mémoire/on pëut déduire • ï^réSirltats»généraux suiva-ns y .
i/'TL'es habitant de Timor,-de la^o.u velle - HollândVet d e là
terre de Diémen, incomparablement •moins^eivifeésyue«sf François
et les Anglois /sont néanmoins beaucoup plifs |ôib^es^gu eu^.
i i ; ° La températufe humrd‘e->ét-^èàude .de Frie dés T im o^ .et
sur-tout la yie \rpp indolente^trop inactive d^es-jhabitans,
paroissent d e vo ir'â r& S n s i’dérées!comme les causésÆsseniieltes de
la f o i ^ ^ du premier, de :ces
3.0 A la terre de Diémen, à la Nouvelle-Hollande^.lejdéjaut
d’alimens, leur mauvaise qualité, je s fu g u e s ie t|e^ |^ au x q b |I Ie s
l’homme ^est contraint de se- livrer pour les obtenjr . ^semblent etjre
en même temps' les" causés ^primitives de sa ibibfesse^ de|.^i§p
de -saconformation.
»^ïes^-nièrts^aBiêûrettsBs -Sâ^çiaigneïrt pas
î?<ïétëiifFêïv leurs enfâïis àJa'f&kmeHp, loYs-
qu’ils ^'leür qonnlpylfop d’embarras cou'
» q u ’elles n’ont pas de quoi les nourrir. »
(G emEJïlÿf 'C.A.Eer 1, Voyage autour dir
inopde,'’tp^;-jv, jpAërÿîS’ù
L/mbrt èsi^Zn i>eaufcoîip 5’occaSiopï;,
» beaucoup plus à feobacber^ qu’à ^craindre
sj parmi les ;sauyïge;S,-ÿnr*îtout dans,
» avancé ,dors™ÏTif^*n on/ plus de ^fàrce et
sj d’activtté pour la chasse. Lé père alors solft
s> cite son' changement de chfmat et le-fils
jj s’empresse'de. remplie le rote «Vexecnteur,
sj en mettant fin l’existence 'de l’anteur de.
s> se/jours..'^
»Parmi les Chippeways septentrionalejj
( pennies q#babîtqnt'entré lè lac Supérieur
et celui de Nipégpn) a lorsque le-pète‘d’-trne
» familîé’sembic,répugner à l’usage Commun,
» et^qù ë^ées -èma'nV^baï’clbîT g e liîé'I e f u r e n t r
*> du tràvail 'deleurs‘r i i d p r b p o s & ^ e
’» fobafldpnpgBfisur le ri vagé-d e -qui lip /v i re_,
jj 0% <de"^o{ïfirîrJ cou^agensfemènt là* m o rt,
» selon ^es l ^ s ’d&'ip'à^s :daris_ ce Ç r i i f e ç ^ s ,
sj le plus âgé des e n Pa'n s*do n iif ■ à ‘ s o V ÿ è rç#le
Sj coup’ de mbft àvfe'-sôn n bm âh à ^ k .' jj^ifJ.
L o n g , Yoyage chez différentes.rjajibp^slif-
vage de l :Aménque S eptentrfonale;p a g n q r
. s « TÙ!uqiuui,nQn:'ïttt:£orvmrp4Ucïtàtejrf m
» muitte quàm varia;pestes exjuiu^hr^asiquart
i> suorum * yiden.il diutubiiafiiiiiÿafbqjMiiÿu^e , ■ sj 'rrecant ultra gmpdàévqd'ptmseUun, e^scîiicet
jj psrMjrwrâs [stutfïiqueân\epssüj’testijicatio.n£jtif
jj eùm mers-, \a lu n ^ .e p jim îM ^ m ^ ^ o ^ ^
yyppnat ',^1 ( J P U W E U X , H is t, -Canadensis,
liltL j, 'pag. 6 lfy< y t
4«/; Mâisispai pr.ousyé^que cette disette habituelle dépend exclu-
• sivement de I’étà|J;sjauyag£ dans lequel ,ees peuples végètent encore :
-donc'cet 'étàt-là .m êm e ^ p ^ ^ tn ^ i long-temps comme la source
de la puissance; ph^siqû'è e t de la vigüeur, devient jc i le principe,
d’une foiblçssc^^ecssw^^
^.6?d ’ai p’areinement piioiw^qu’il etoi$ prqbable que le perfectionnement
de l’état sopjarj'çn rendant l’honmè^d^Æe| (cpntrées à
l’abondance, pëtmcpf aêleïmméf un développement' plus considéf'
rable des* forces*pnysiq^|,.et fane gfep^rpître les vicesjcle sa conformation
gftuelie dopc/lesjjpro|fèsVde■ la civilisation devieridroierit
ici, jâ’ do®leis^up&jae la vfgügur ,et 'de jta perfection physique.
f ^ erns e|?y (mpSr mai s d||jfg!gsf éloqùemer déclamations
contre le ’pé|fecppnhémçnt de Forclrê bocjal/dcdûites de la force
extraordinaire^ de d’homme .sauvage, pu' -nfùtôt, pour parler le
langage ^és- s o p h i s t S 'u l f^ ÿ ^ r ^ l l'a 'naturel';.. 1'. . r
J ^ ^ ’gardtéÉai cependant bientde voultm-lddhnèr à|fiesg;ésultats '
de mon ifiavailbiur cç sujet plus d’extension* qu’ils h’eri' doivent
riiplMIèmént a ÿ o ^ J’a f■ proùve que le ' problèrrî'e * dC la force
phjlicfue des * peuples , même les plus grdssiefs , ''B’qs^pas aussi
sirpple qu’mon- auroit pu le'icroire d’a-bord'; que / dlunêCpart, il sef
rk-tàehe ê^seriLiëllémênt aux détails; de leuréÉ^stijution physique',
de<ieur“orgaîiisatto<n spciale, et que, de l’aufre/jdSe trouve lié par
lesr’raÿp5^^ l’hiètoire du climat, de sa tem-;
p|rature , ;de : îêsv.yirQduçtipnsdisses, &c. Envis|agçe "sous ,, ce
rapport1, la question que ^ ir ïân s ' de «traiter.est'bién Ibin de pou-
vtn'r’ê iy e lpp lu e d’Ine^'màliièfe' générale.’ '. I . . Il me suffit d’avoir
le premier eh-ce genre ouvert la carrière dé l’observation, et d’avoir
opposé dés expériences dife’ctes,' dés iaits nombreux à cette opinion
trop 'Gpmmuném’éht admisefetrop dang^iieyie’, peut-lêtre ; let bien
certainement trop .’èxclusiVé;, de la dêgénération physique de l ’homme
par k: perfectionnement de là civilisation. . . . ;