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 nouvelles  fumées  nous  apparurent  dans  fo  fond  de  la  baie  ^Dur-  
 ville.  Le baifQmèaie* pendant  ce jour, s# soutint de  a8p 4   a  28^^,  
 et  le  thermomètre me  donna  pour  terme  moyen  1 50  de.ehaleur,  
 tempérâtute  analogue  à  Celle  du  printemps  de  notre  patrie. 
 1  (2  Duquesne  se présente  la  grande  fijç . 
 Deseanets,  terminée  vers.l’Ouest  par  urusecond  cap  qui»  de  l|in-  
 pi-v,  mortel auteur de l’E c r it   des lois,  reçut  le nom de Cap Montesquieu. 
 Il  étoit neuf heures,  quand  npus nous,trouvâmes  par  le  travers  de  
 la  baie Descarte&j-.et  déjà  nous,  commencions- à nous  y  enfoncer,  
 lorsque  le  calmé  survint.,-et-notts-força  de  suspendre  notre -navigation, 
   II  est  important  d’observer  à  cet  égard  que.,  depuism^tre  
 attérissage  sur cette eote, le jnéme phénomène'ÿétèit constamment  
 reproduit  chaque  jour  à  la  meme  heure.  Une  bonne  brise  d|  
 N.  N.  E,  variable  lu   N,-.'Eà  s’élevant  à  la.pointe, du  jour,  dimi-  
 nuoit  ip^ g fo lem en o ïë   Huit  à  neuf,  dp  neuf à  dix  Heure»,.  lé  
 calme  le  plus-absolu  lui  suceédoit  sur  les. onze  t o r e s   ou  midi.  
 Bientôt  après Jes.vents  passoient  de  l’Est  au ,S:? E s ,  en,  spuÆant  
 fort#  brise,-et  nous  permettoient de  donner un  grand  développement  
 à  nos* travaux*  II"est  probable-que'pest  a-etyttg-  eïre'Qnstpioe  
 de» brises  de  l’Est par'le Sud,  qu’il  faut ■ 'attribuer,  en  grandep&rtie,  
 l’inutilité  dp  toutes  les.tentatives  faites  jusqu’alors  pour  la reçon-  
 noissance.de  cette  côte  en  venant  dy N, O.  au S. E, 
 A   peine  le  calme epr  cessé  que  nous  fîmes  rOnte,  La mp?d?rise  
 avec  violence  contre  les  dunes  blanchâtres  et  sa&flapgusesMjl  
 forment de  rivage.  Au-delà  de  ces  dunes,  à J£flâs.<ou  quatre  Ipp$  
 dans  l’inté-rijpr  du  pays,  on  apercevoit  trois  pitons  :  le  plus  |ros  
 fot  appelé  Ment  S!-Bernard.  Il  a -quelque  ressemblance  .avec  f   
 montagne-  4e  la  Tablé,  V »   cap  voisin  reçut  le  nom  de  fy p   du 
 :  Taiwlis que nous  poursuivions ainsi nos  découvertes  4pns|#^  
 securité iprofonde* on aperçut  tout4-coUp:;une longue  ^îne...# 
 brfeans1 qui «nous  éohappéjjaui milieu  d^s  reflets  du  soleil  qui 
 ^â>gitl;loiOMà.leWktlrface..- N©ü-^émétiçns-si  ’ que 'nous eûmes 
 à’pOÊie  lfe>t*empsiiid*cg|dSer  'bâtepal  amu#^/J|gt que nous-ne  pûmes  
 |||a4 p3ibler  qu’à ; H p - n e P e n d a n t   toutes >' çe:S  
 manGèuyrepij^n^H^OsmJrUt |pj^^q|yeFAl||èJ|fàfot'C -î€ê|:fépandre  la  
 t'e^Mun  }énM fe^Mn:^Jiêÿâ;c-feie»yarit 
 que  celui  de  ces  récifs, - qui,  sur  une  ligne  de  plusieurs  milles - de  
 loiigtîeu^se. !d|ôybfonpOierit- en^âvaa.tt\d(.uné  et 
 j^pâtrC;,  et  donts&Sf cnc^çs”  !cn  dHntîj deVsqie  se - d^ting< 
 âîÔfont>jàmemé:iàuimiliëÛi’ deWfl|Ms|4 ’,4o^rhwétlîâes,  remous.  Vers  
 la  p o in te  o cci dentale  s  que  nous  nommâmes  îê$ ‘ 
 Mherpmtà&m.., - ée**f tropy efaff I tfleUx l\m-  1> 1  1 : 
 Boufflers, à-Ja* v|i||||4fiquel 'nous  tT®m^mâm^n^s%iiiti^s.%n^ -travaux  
 dji,’ 2  quelques  nnII,cb-»aLP  D ia oüesWspèçcs  de 
 G4éIan4sJCt,d'fe^|^el|i^ÊSjifure.nt -Iès|ïs§.M|i aninfau)Slqji4^1?air  ofFrrma ^  
 nO|$ie- ^observat^)#^ et » i d an  p<àt ff*«i p^of c û m e * r p 1 usi’^urâ 
 M ^ u 4fe|-4ndépèn.dàràment  d’uïi|§jEd| PHoquér qupttaglIOit. endbrmi  
 à>|[Énrv^p^©f®îJ^,e ^ î^ ^ ç ^ d   de  la;-bafeiD.escartes-'  tf^elq^e^fumâ^'  pï.  v,fi  
 s^e-VÔ%nft au-delà  c^^dÉnes ; mais fjçiÿ générai / la; nature  
 s&jtege  de Itgmte;  céMf-doji Q en.  Hno^hfe û 
 On’pmit .ero^eÿap  *mg|nspqueMe«ne - saÿrÿ>i,ti fournir1 qp£^|giS||eà;dë  
 d’un  petft'nomÉré^âfMmHï^^« 
 ( 3 , 4, 5   et  ô-Ay-rij-. )-Du< cap Bpljidor a&Mèap Boufflçr?,  la  côte  
 pimente  une  Mitée  -dM fttf^és#a^J®^rt|às4kgMabié^}, p pispelIj^Me-n^ -  
 fôitëe •dav^Btage-pj,4i|^former4a'*iMfo^^É^®é,>'4eêmipé^iau N>> O.  
 pas? un>-.g»aH d- Ir-càp^,  «lëj^du  Pm.-NEldelia  Frariot^à Bëèat- le »nom  
 &d^0 ap,îBnfforu^- D e   0®fderp|pijfoint  j|isquà kh fàüpde^ Rivbk?,  dans  
 un* espace  de  plus  dej^Éÿn^fesj ■.iê^Continent-rl-Qffee  plus  aucun  
 énfoncèmént  Kelnarquabfe^: aucupe  tespèael^d’pbri  pour  les  plus  
 foiblês-bâtimens.  ExpOsééj  d o ’tMAte- part  aux.;véô«  impétueux"  du  
 S.j-O.  ,  battue .sansiüipsse  par  fes;flpts 4 ©, l’immense  océa^-Austral,  
 cette  partie  de  latl^oukelle-Hoirandej|ǧt ' plus  âfoeusetpneCjre  que 
 ■’*'ÙTO#,-É  I.  ■  H  B