
 
        
         
		pojntiainsijJa  force  de la-pesanteur,* l'hÈfî^stté, de-laver-fu magnée  
 tique,  idiminuent; le   barotnètrë‘-s’4l^is%,*!le  i?hermamèt£ë^^l,%e,j  
 l’hygromètre  marche  à  la  saturation ;  lesf vents^e^unétit*  plusl  
 foibjes, plus. constans;  la marthe de tous  les ms-tr-umens devient« en  
 même  temps  plus -régulière,-  e-t  leurjs-variations moindres. 
 ; -SE;ÇT I Ô N  II. 
 TEMPÉRÂT'b'jRÈ  DÈ^IA  MER'.‘ 
 .D ans les:.mêmes  c irc onstan cie l daus^le  .même  tenjps  que mes  
 observations  mété.orologiquest.f je  ppùçsuiyoj£ une  10ngU^:'aérj[Ç  de  
 recherches,/ur  les rapports .de  la  température,.de  ia,mer  .l  -u^u,^  
 face  aveg^ellp de l’atmosphère,;  j’en ai fait copnoître  
 l’Institut. 
 Ayp'c,  un  appareil  construit sur  des; idées^ui  xn’étpient prpp^S^  
 je tentois, .à  la  même  époque ,|.cWcpnc^t ,tayec  mon|d|l|èg}ie  et  
 mnn  atrvi  M.  D epuch . .des  observ ions .^ar  la,tempéraf'tffl|^Ç  
 l’Océan.à de  gràndes^profondeurs,  et  déjà^jel^e.trouVe^  êond^îf  
 à .soupçonner  le  refroidissement progressif  des  eaux  d‘Ô la  nier,  .à  
 mesure qu’on  pénètre  plus  profondément dans ses. abîme^J’a,urai,  
 dans la suite,  occasion de  revenir  sur  cette partie  curi.eusevde.mes  
 travaux. : 
 SjEC TIÔ N  III. 
 SALURE  DES  EAÛît  DE-LA  MER. 
 Au nombre  des observations  les  plus  importante^; a  faire  pour  
 l’histoire  physique  de  la mér,  il faut  placer,  sans  doute,  celles'  qui  
 auroient  pour  objet  de  déterminerrjes  proportions  absolues  et  
 relatives  de  la* salure:0 e$^#'eaux  sous^ difej^îitês  latitudes,  et  à  
 diverses.profondeurs.  Jusqu’à  ce.jour,  cependant,  peu  d’expériences; 
  ont  été  faites  à  cet  égard, e t cés premiers  estais  même  me  
 paroissent  tontià-fait inexacts dans leur principe, et dèsdors inutiles 
 AUX*  TERRESpAUSTRALESp^; ' . 37  
 ddn’S >4èl3Pt' à|s'u.l|â§s| E r^ ^ p t,1 la-  pesantfuihsftéjsifique  prise  pour  
 bâi qfde  <1^*  n gen-H o  a b illà r- 
 DiÈ-REret^M; H u i^ t |iT 4n î^   incapâbJnde fournir 
 qui Igî&y  .-rrgolS^feseà  j àfagai^l<dfe  fénoripe  quantito  des 
 qui-pullulent  dans*  l’eau  de  
 u i,  |t,f^étraÉg|ï|| au^â||mÉ^,e,  n^p^o^ent pas 
 m^nsy^ïtctu  la  ^ c c i f i q u ^ ^ f - ^ i |^ ^ ^  let||^l  ils-s'e 
 tr-Jmint u f  Aispensibn^et ppiïdainsi dijrtÿg|ag»fut-ion.ijàfcgKB§et du  
 i n a t i i - j e u x  nujfeafejpdc dcnofiti  l|.îàtÿ’u-tpà%u^ct qtir ddnhe à  
 l’ea^à^j^itdi' plus pur^1^ ^ a '§ t è r e   qui  la|d&||®térisé., 
 v^Rckiirilbr  .des^oui-' 
 teilh''ft(-\mniil;}<i ‘laÿl  Si’ARMAÿj^S^t un 
 la 'p u ^ ^ ^ ^ n 1 dSÀt-'cey*  e«fux Gonfô&cÿptibl^|né^^&p,nt man*  
 quef d’en  changer  to'iis  I<^|rinui|;t^ ç|),ît\i;Ruans.,^  n  -produire  
 d^nw-iÀOâux* par  la  d&ôrnpr^ft)n ipltotlaffée ^feg/Ann ombragés  
 animale-  hoïts'? ?d è; pa 
 'fPoui  of)\du  a4^   ufi^T^qhVdnÀ\nicn^je m’t-roiîéprq^o'-é  moi-  
 même- d%fccucyl]ir/dc^higfWj.nwh çnq degrés  de  làtifeudg',  une  as^tz  
 gr4nde  quajilM'é-Æ’eàu diMnery  î»a<^  I nids-,’par. oxênïti^^pdf far filtrer  
 dànS-dMpIprers gris,d’endéterminer  jp pe'antturjspétifiqud 
 fàvêi'Ëarêqmèt»e (^pîfe-Ho-fe6pN ; m£>\  iïf l<WengÆ 
 ain^queqàÀviens  de  le  dire,  jna i^ur;  n’é t a n t q w H H H r a p .  
 deveridit,d’a-ùtant  plus^utiie,  qpè’l’eau, ..par  Je  filtrage,  aufb.it  été*  
 préaiâhi-Smfent  degSgéeŸdè  la;plTSy&a|tè  portion  des  substances, qui  
 lui sont étr angèfès. 'JS^tîtè prenîrèrê op ér^»ri Y tant hpfrajb rhe pro-  
 posois  de  mcttrocetti.eau  dans  l’un  dc^'aLimJi-ics  que  no.tbja.\i'ôn$  
 reçus  du Gouvernement,!et*  cl’th..jMlBSéfê®l’é^apora-tibnïau  point  
 de rapprocher,  le pluspbsjible^oiitès l^si^stapcei salines qu’elle  
 pourroit tenir’en dissolution;' Réunissant^e^^ï'tKdfe;'fésçd«u'*do,Chacune  
 de;gG<|s..di$tillationsf'daîns  un ;ou  plusi,eufs^j|^ç^ns;,-j3ioucJtés, à  
 l’étneri, je me  prop4sôis?de-.confier,  à- momretour,  cette  suite .‘de  
 précieux  échantillons  à M.  Fovrcroy,  qui  n’auroigpas manqué,