C H A P I T R E VII,
Ter/e^ de Witt.
[D u 23 Juillet au 16 Août 1801.] ?
O n comprend généralement;sous? le nom de ,Terre de, Witt,
toute'iQétfte-partie Me la 'Nouvelle - Hollande qui, du capuN. O .,
détend jUsqumucap.-N- de ce vasiq continent, comprenantj/àinsi
(i.dp*.environ, dre, latitude sur 1*5° de iongittude.EE'Ile fut découverte
, suivant l'opinion! commune^ par - ^ ielaumE' De W itt ,
navigateur; Hollandois, qui lui donnarson-nom j<-mars |ÇéRg)jque^e
ce tte ’decouverte -n'est pa£ .précise ; ies^ù-nsdar fônt^pji^®!àç^jfef
quen 16 16 , d’autres la rapportent-à l’année;^62^3 ptfmcbï£!j|||||E
G ’,est à cette dernière année! quôn fixe au^siale nai^agCde
sur„;.£ètte - côte. En i6 $ § , D ampier parut stfc,^§|| rivages? ppars,
répoussé par les mêmes obstacles que l’on +va, voir biçj^Pr^^uI'-
tiplier autour de rictus^, il fut contraint de |à| abandonneâbl^Æi ,
en 17&5., troxs’feâtimens HollandoisÆrent expédiusnié T t t n o ^ g r
recpnnoître la-terre de Witt eVcrëlie de D iém ^ ÿ u ^ ô ^ ^ m ^ is
la relation cbc.ce dernier v%agem’ayant jamais-igé renduf^ublique,
imites les circonstances en sont encore
Jenaent que, Lest â cette dernière .'entreprise^ qu’on d'cÿj^lf^ 4fRdis >
très-inexacts d’ailleurs, d’après lesquels cette partie de la Nouvelle-
Hollande se trouve indiquée sur les Jsartes prdinaires:Depml|-{|p e
é p o q u e u n siècle .sptoit écoulé sans qu’aUcun navire Européen
eût paru dans ces mers, èt l’on pourra juger-bientôt .que {ce nlèst
pas sans raison que les navigateurs se sont éloignés de ces, bo|ds
dangereux.
Le 23 juillet;* nous passâmes à vue d’une,liebasse et.stérile,|de
trois lieues de longueur environ, qui fut appelée île l ’Hepnïte, du
brave officier de marine de ce nom.
Du
Du 2gl4u.'!2^^.tiisé^i%fis;des\\fents|f@rHq^ mêfés de calmes ’
pià^f, qui. ne notefpej;mirentl pas4dé;|feire^>eàucpup de chemin
e t ‘|es|èpurapgnousïeu-traînèrentliiséz.doinfdlff .tpFps;pour que nous1
ne^p|fesiôns^pa|'li^f^>voi|^qn vue. • La jtem^éràtp-rclde la mer^à sa
surface, É&|>it a lo«^ « b de^éi||^tfR,S M s aninjaqx pulluloient
çfiin's!sefti?sem. Indépekdammenx^©Æ^et|l||™|npmbre prodigieux
, de S,dlpa>s^%de.^ÿ^pÛ^L <&<?., npngiffipus,trouvions Pt «
environnés de '’ ppés^m-sjidë d%e®;^^nE^s, paEticuligremenu^ de * et'î>xxr'
Bdljstçs^ ^ $j^(?/npéj,/i , t if«sk, qifügfajut; • pjaceE àjajflête
des,s pais^dÉgjé quat<g,r iaux,fi A|-r,f%qite, - infant i|qux4aM^cé^Qns4
autour
Baleines et les Tortues se présent oient ÇM|gF»d;n;oii^es|]^^1s jecünL
nu^fes'%|ussi d e uxi.n ou v'ejftesjfcs pès es ; ~dejyà;7ÿ7& .ï-nuirtn >j||dpht l’unej
de f2|jdé cimèp^de^l ongupUri» ^ ^ m'c^ime * cônl
W f t ^ e f t e ^ a f d e b b f i è u : À ’a»^é.>H-m^4L||di^naèrT?à^*
4 Pieds], jd’un vdw p lu^ l^ vu f, H-^dLïtmguoit par
L e ^ , nottsréumèsdlaw^Mffl un-petit K&pAapcl. qÙ^Æ^ÉCnom-
mâmut, Topçsnerg en l’honneur^dp .(^ ^ ^ d » la prerniàÉê*
division'du JditMStère.dedp marine.i^'^^^,jqpfe*^fious'a^âfes. depuis %
reconnues d’»u^ imani^e pliis4^à^f||ÉD^'%Cliî)?Pnde4 distanSifde
c,di§sMu Rpmarin-, e t detTarcAdp.eL.de D am p & .Noul^enf avons *
â x ^ ^ c ip a l^ '^ ^ n t la pl&s|granjl-^|gi’a-pas, plus, dev. 3||o,u
Cliques de longueur e 11 e,s^paroi5sên^^p|ierp,lei^ntjbasîeèer sÿé- £
tdq^tesupme c#|Mde Rivoli ; mais l’une 'elles-,#{qui rè^ét*^
dj!#è Depuch, et qui gîtipar Ku itudfej et%p ar’ ’
1 1 5§f|de 1-ongkude.w k sf 1
pariic^ikçrsi, que le'Commandant cru%d^^|Ma faireprecpnnoître ’
d’une m^nièip plus exadte-. Efi ^alsilquence;;,M!';R©.î|sard partit'
avec,-lç..grand canot.. . ; . Vainement&s^t^raljs^è^jd^émandèfent
à ;dês.cèndre à \tèrfe, aucun d’eux ne put,, l’ofi^tefr.
M. R ^ s.A'RD fut dejitretàuÇxà ffiprd le lendemkfii|,Sw les dix
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