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 .[SternaJ. J’endistinguai trois'tesplècés : da.premièré, me pârutfetre le  
 Sternâ  obsçurd, L in . ; la seconde étoit, nouvelle^ jeda'déë|iv^sous  
 le nom dejSterjid melanosoma/ â*cause' de* la-couleurnnoire de 'sfrn.  
 corps;  la troisième-étoit  également  inconnue aux naturalistes Ipt;  
 d’après ses rappo^t>SîAvéoie\r«r«Æ  Caspia/'Lin . , flle-reçut le np,tn  
 M Sterna  Caspwïdes. ^&Mmme, .jour, nous-aperçûmes dans lel-fîots?  
 d-peu  de*“distance"du navire,  une  énorme' éspçftehde SepïëWm$\~  
 semblablement du genre Calmar [Laligo^ LAMÀR&^fyydt Ia$|j^scur  
 d’un tonneau ;\elle  rouioit-avec bruit aüifcdfêtid,|:s:rva>§b^S’,,^t«s  
 ’longs  bras',fétendus-,à  leun--surface*, ~ s'agitaient) çomifiè  jutant-  
 d’dn'ormesreptiles. Gbacun de'êtes bras'-n’avoif pa>g‘ moins déftij|),’à  
 22 déêimètresde longueur £6, ou-7 pildsf*|§sur un diamètre de  ife à  
 21 centimètres [7 ou 8 pouêe-s]. *C’est spos doute a^uelque £®s|pal  
 'de”cette..espèceVque £)om  PERNETTY^ne xraîüL pas.ïd’a'ttribuer  
 dés dimensions -tellement prod-igieti-sès^  uw/pMdsM%pc©ïïsid4rable,  
 qu’ai Ors qu’il  parvient, dit-il,  à s’aGerochér ,à-üxt mano^ujvl^ §dpe -  
 rt^e# d’un-navire-en grimpantdedorig d£s';ÇOïdag.es ; H peut entraîner  
 sa perte^et  le faire soics-sambren ^expression; de-, 'Pernbt^) . . . .  
 Cpnçê^puéril  sans  doute,  exagération  révoltante.,  rn‘ai'sÿ’<pti Stee  
 probablement sa source de i’appafition de quelques-anima® monstrueux  
 de. ce genre.. à  i 
 Le  iO'lanyier,. le®os temps  continuoit  encore;  je1 découvris  
 une nouvelle  espèce de Mauve,  que  je dècriyisîfspijS'dêNdoni- d®  
 Larus' melanopterus, à cause de"Sês ailes*n6ifc,eg. Le nleme< jour, pour  
 la première Epis, nous.vîmes nagçrà la surface ,des-flotSfdès pa.quets  
 de Fucus, Gigantimfs,  (Ze n’est pas sans-raisop que ,”çf, régé talpgpçu  
 ■  cetje dénomination spécifique, jfçar* dans  la  suite, j’en  ai  .yÜMpÀ-  
 steurs ‘ figeç  qui^ nayoi^iof^  de-4^jà'  mètrésidte; jbngueur  
 [ 2; ouf^çrc^pied^j.^Nous dirons alors  par  quels m>oj|éns la  
 nature parvient  à soulever des longues tiges du fond  des mers, £f  
 comment  elle peut  les  faire  flotter  à  leur surface. 
 Le 
 Lé d h,  ift^d^^yjgwii^uA,le^ ÂtrA}de..Jp.aimlûn^k  tfcuseau Mafi&  
 [Mdfjiimus JueùcommÈfaÊxlv  Une, nokvejlSayse^dè ■ Dautthbi,  que  
 M -.  D„E  T. a  y f t ^ i çy^ d a T J . - » I  f iS S iiire   à^^é^a.cé^-. 
 gppgl^B. de jj^Midn. nomW/ài/X Ir/imii c 
 tro  detÆgus les: . 
 animaux à , devemmblaia^^à  ptc-.-iyeë^uet ku%bgibimMoimpe-râp-  
 plO'tbe, dés -b àliiî^platAtudesj  -Aîn-Ém dans:l.a|^iÿ#pàEs,èrégions 'd^  
 T&prd^qari j foûéa^iéiiL des redacds. blaiifcdpÿtMWjyjfifa  
 on^troufei||^s!â..ûn^Ésa|;®e,/dt ^aunhitb  b/upc%^DJphnm r  
 ƒ a t à d t ^ i ^ ü ^ h a j l ■4. 
 T.eifümmphz^idopiiteAiiens déparier,pib  ut*ondi.>e-f-eh’ • 
 duj,«fi%ème  genBe-|M:Ks.&p\^efM’âBprdatpaÆ.GîcAM pan’'  
 Éo.ÿfeSi’fER ,/d§ilt,le ifloip.sj|g;ut--Awf^iit b 1 aaic. -tne  çoji§.e'i^^p 1 y sij-g^e  
 ^lfach|pd’çn brnn-b^|j|^tçé^ 
 Le-r  nousipads^^^niMSa par  de:.Ja-titudlfatSd^l: ét 
 par?  talL^dtqi 1,1 ct H 
 à  pçu- ^e^éistàk^r duAat).  de ||  terre j dè^Diém'e|.\ 
 Dumnft fa  pfc)UJ«3^umè|i de, fortes^Lbéaujobup.dej’ ~- 
 grçlpj^lç'lêndeitiain |aatin „ dAi^tQii^ybeuïe,cîp^Sî«t'u\^vigaiÆ  L,  
 de|sq^ant^unrijppr&Ji  nous \dq©pAvrjmfos tks  prejm«iéfS pitoflC de  
 .çetre grandçyiç,  4. 
 tome  r. Eè