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 que  nous  avions é té   contraints-d’abandonner  sur la  côte  ôrientaie  
 de  la  terre  de  Diéme'n,  avroItTéié  recueilli  parrün  navire  Ang^ws  
 du port Jackson;  qu’ii  seAtrouvoit maintenant ; ainsi que .sfon “'équip 
 a g e  a b o rd   du Nmuralisteq que nous; étions  attendu&<hoùs-on®fnes  
 avec6»âmpatience .dans-la Golonfe^où des  ordres.du 'Gouvernement  
 Aiigio.is  avoient  été  reçus  pour  que  nous  fussions  traites  avec fies  
 plus  grands  égards;  -que  nous Y  trouverions  ;touse les'seèOuirs'dont  
 nous  avions  besoin  :  nous  'apprânes^enfin  que  depuâsv,quèlqùes  
 jours -seulement  on avoir reçu l’annonce  officielle  de lasconcÉas|èn  
 de  la  paix en tre rla France  « t  i ’Angleterre-*  eu-ce  qu’on  »'©us  p t   
 denses »conditions  ajoutant un nouveatiiprrx à ce grand événement,  
 les  cris  de  la  douleur  füreni-' üm  instant  au k^n4us;fiî 10!tV  
 éclate^ies .transports  de' l’alégrèsse et-:;ceuxx deïda';Jipeû0n|^g%ce  
 pour  le  gjrand  homme  dont  le  nom-  venojt w  - ra t-ta çfiet^ù ^ te  
 l^orieusepacifîçation. 
 Cependant,  depuis  plusieursqeurs-,-n<Ms  rioais; trouvites-' parde  
 travers du  port  Jackson,  sans  pouvoîr^'àiqamse-dedaifaib-l^setde  
 nos -matelots,  exécuter  aucune  des manoeuvres;; né®éssa:irgs pour* y  
 entrer-.-.  .  :  Quelle-ne^futdoneîpas la'^mfeuufe jo iè , éoïsqfeMans  
 la 'journée1 du?à-©",-înouS'aperçûmess-ùné^gro^e-chajpupyiÀngC^ise  
 qui-^e  dirigeoit  vers  nous  ! Nous  appr unes - de lioffic ier qui  larpsoita-  
 mandoit,  que  depuis  trois  jours  nous- avaons^t^siguai'elfpta-ljés  
 postes de la'oôte;  que-M.  le Gouverneur,  ayan®'bien  jtisgé>sapar  pos  
 manoeuvres-, que nous  avions  besoiri destsedours. iëslpiuSjpî;és'^ans,  
 jaVok  expédié-nette  chaloupe  avec  un  pilote €t les hommes nécessaires  
 pour nous  çntrer  dans  le  port/m-Z.  Nous- ne  tardâmes  |iàs,  
 eniefet„ grâce à  ce  puissant  renfort,-à nous  y^trouvermouiiés, 
 Ainsi  se  termina.fcette. longue' n avigation,  tu n e  -des“ pteÉ "meurtrières  
 d o n t   les  fastes  de  fa  marine  aient  crinsérvé" HfisCGire. f e t   
 qui  faillît?^entraîher  la 'p ê r te   totale  "de  notre-'équipage.: AHcêtte  
 époque,  en effet, presque tous nos  scorbutiques se trouvoient si mal, 
 qu’il  auroitfdnfàillihleii'icnt -suffi  de  quelquesqjours pour  en  enlever  
 laimoirié  : jjjgiix ^ ’ejgÿer eux, même  périrent  encore  le  lendemain  de  
 notre -mouillage^;  m&rs^es  malheureux- exoeptés^ttous  les .autre»  
 sedrétablirent  avec ïun'éktprdBfptitùdej *quj>tient  véritablement  du  
 p ro d ig e  ii' n ’en  mourut  pat -û-n^et  quelques jjo'ürs  suffirent  pour  
 re-^djsèvjàda-sartté»,  d'|s %>-mmesqyè ritablement  pk,e<||.‘sur  le  bord  de  
 la, tombe; Quel .'peut  don%.êtrecetvéffè,t magique  de  la terre-et de»  
 végétaux sur  uAe ; inaMÙieltiintfe < JàquelfeflàZmé^éeiçie. déploie  en  
 vain,  à,bord  des.v.ais&'éaux,  tî^êâJ^i®esf^krGe^|le» plus--activésV  
 toûteljfsés .préparationâjés pàus,ls^nergiques4.. $  .  . 
 “'Heureusement des moyienâs-dç1 pré^e^-k  c'es épidémies'désastreuses  
 SAnt-m-reUxconnus : la physique;; la chiu^[^,r®.^t*prêté d’utile^séjCourS 
 PÉROnsE, Marchand 
 e i MiN#@j^.yEn*>foq:t--mbntFé  dans jee^‘derniers-;temp s  to u t ce qu’ii  
 é|èdt .po^ible^d’eSbliétoÊfi pour  lassante 'dès •éqpi$agès>,  durant  les  
 navigaJrorfs|?lAS/p 1 us  ,longbés»Yfde^Hoins  -apportés  au*  choix  deÿ  
 a-fenens-, p |   le n r^ p r^ a ra tio n ,  à - 4a -p > ^ fft'0 d ë syho^ime&.  et  des  
 ypsseaux,  au  • ^ ^ iB |f e jk ; .$ e iù ^ jV & c .. ,&c.  ;  et  lorsqu’on  vient  
 àî^.®appeler tous; les^ravl^es  qttkx&r§,rik ' jadishle  sterirbut  à  bord  
 ç^|rpa%iiK|s  de-ZÉEurope y. 'on,?ssp  .s*snt  pénéf M: - -de^ reconnoissance  
 pour -ges mëdeejnZ,gfcçrépx|,  ponr. ces^marins-écîkrié||fà  qui  l’art  
 d^-la  navigation  doit kous  les  perfe etio nn e m eus ' dont &jÊ|  kest 
 \-ajr, s  frufflici  dan-.-1  ws:  
 dontt.r-c .u  fips  suTi.k  scothlrtry  tfl;  ojrtH t'est;  ta ir\n , fsiu.  i iu   m o i,  quî.crmtiei  ne  dutiiijt  
 dtrae'ë'S’iitflçs^êï no nl!JU - que ttrarrii.,«)  pour  
 tjtoa  ,  üefluit pt  s mur,, m   tfi ' le iScprbu*,  
 par M.  KÉRAUJ3KI-N,  inspecteur  du  serviqe  
 d S a jïté . oee  îâ  lijflîiwe.' 
 Jamais la différence dn scorbiir-cte terre^awiet  
 c e l^ d e  rper^nja-voit ^ |i ^ j e u x   sa,itiÇ j»iÿleux  
 exposée ;  jamais  les  causes  marin 
 n a%uenï‘été détrSIbpffées d ’iîne marî-ière-iptus  
 précisé.  La  classification  riosologique.de cette  
 cffgçttotfj  s-usbordon'iite..qu a OfcVf rir.a db»  
 td'é'çs; hypothétiques,  se  trouve  rampicc  par 
 M.  KÉRAuftRÉ.®  à  ses  ÿémahl  |,ru tip t> ,  
 t t t   ilts^shtiir 1 ïtm ., ç  n tra u t et pmnéijjn rs  
 tîe  Fa. rn. 1L d il  rîjem.,i\iuttMr  co n tin t ;"atec 
 :ï^® ô n f Èe'.mé4sciuMé,  qu.efcle'^ctrçhut Jèst uap  
 maladie atonique  du  isyïisto;. vaxculaiie, À ^ 
 ,  riar^lg  traih^idès, 
 de p r é -v e n ^ t'd e â ttw frJ ^ ^ fflï^ riç e t'ro iiV É   
 ^les'ÿiée^ieàjjiusnsaiiiés', -tes’ïâppiochemens lÿiè  
 J ç s  aperipiSjIeÿ'.pfps,  délipats.  La  
 'ihearre d e fl SH'feuir.'S'Ur ■ije.prtnctpe d-actitaitc[es  
 Végétaux  fràis‘<-côhlir,'e- te «coïhuisy'tne  paraît  
 4 ^-à-ïa,^is^à^tesigjpîe , IàpfusjiMédieuse  
 ,etîlai plu^pr,®haÊle de -Ipu-jes  cejfcs ,qui ont été  
 jusqu’à c e  jour proposées s-ur cet objet.