
 
        
         
		dë  l’Ést  ont  été  foibles'i  et-  nous  ont'toujours  procure  dü3beau  
 temps;  rceux  de  l’Q .j,  du  S.  O.  et- 'du  Q.  ^^^P^ont  }K i   
 Contraire,."amené  toujours  des  grains’-et  de  la  pluie'.  -. 
 La  pèche nous  a  fourni  d’excellent  poisson',  et  en  abondance :  
 il  y  a voit  cependant  des jours  où nous me pouvions  en  prendre, un  
 'seüi ;  j’ai  cru  remarquer  que :4ès ’ jours  cofrespondoierït  à  ceux  du  
 plus  grand  calme  des Vents  et  des  flots.  Peut-'étre  alors  le s 'p ^ o n s   
 snvançoient  davantage  au  large,  et  ne  revenorent  âuïj^fes^d^iisous  
 qùe ibfsqüHd^ mer  étant  trop  agitée',  ilsÆvoient  bfesoTn-  de,Venir  
 chercher,  par  un  plus  petit 'brassiage  ,  deV  flots'  moins  tumultueux; 
   - 
 jfj  C e   qui,  parmi  les  poissbifs,  nous  frappa  sur-tout,  c#   futt4a  
 multiplicité-  dés  squales-'ou  requins ;  'ils- nê ^quittèrent  pas  i^ ^ u 'I  
 instant  le  navireV-çet  la  plupart  d’entre  ’eux  etoient  véritablement  
 énormes.  Nous  en  prîmes-un  qui  avoit  le  muse'au  beaÙGOup^J|s  
 “pôintu que les autres ;  sa longueurétoit ’d e4 2 debimètï'es| i 3 pieds],  
 là.  circonférence  de  3 2 tféciniètifoffepteds|j|jet  'son  poidjtf^tal  
 de 636 kilogrammes environ  [i'30ô'hvrë||. Nousveb-aviçÿ^^^gîve  
 quelques-uns  de  dimensions  doub|es'dê,' oeïl^|Î^L'©n  peut  dfeni  
 raisonnablement  douter  qu’aucune  autre  partie »flés^mers îp^bnte  
 en  ce' genre ’dès monstres  plus  puissans  et  plus1 redfoUtabfosf-liflu's  
 avons  aussi  beaucoup  observé  de^serpens  marins  aux environs  du  
 navire;* principalement  lorsque  la mer  etoiUtranqui IIe. 
 I / f c   Bertholiet ’est  absolument  stérile,  entomfc&àfe  
 dé'brisansr/’sur-tout  dans  la partie: du  Sud  :  il  ■ y'a-dans'  lenNir-E'.  
 “une petite plage  de  sable  sur  laquelle  On  peùt  débarquer.  -  
 •rL/’îie  Buache,  d’un  aspect  ,à-peu-près  semblable  à - cdl^ydé  
 i’île Rottnest,  est  elle-même  ’environnée  de  bancs qui  en  rendent  
 l’abord  difficile,..bien  qu’elle  Offre  dés  plages  de  sabhMsez   
 multiphàls.  Ltntérieiïrî est  parfaitement  boisé  les  arbres »y - sont  
 généralement  élevés'j  et  l’on» y   rencontre : des  arbustes  dùn  port  
 très-agréable;'la  végétation  est  fort  a ctive,  quoique  les«terres 
 soientLg.énéralemjent ^eonv^rt-es, de^sab(Ie.  J’ÿp i.vu .  des  perdrix  et  
 j ê ^Upébeanx  plus.peti6s,qufr ceux  d’Epropè,  mais.d’un  goût  déli-  
 c^jn^fes-pboquefojfefo présentent  en;ÊbàuG©up  plus  grand  nombre  
 què fsur  l’île  R om M ^ P 
 .A  |é ÿ>d   de  la  rivlèiekcies  Cyg^e,Sj,ùd-Ie  ne„?sauroit  être, consL  
 déaslej comme  prppre  à  fournir  un  bâtiment Y 
 d’abord  son  entrée  t3i  s - d i f ^ > ^ ^ u r s  * ^ par trop 
 dgsbames; jde;s§b 1 qvi;b,;de  ds j i k^l î ü  foudÿ'pit  remonter 
 la. "lüljèrep une,  t^p.,gr4abde  dj^Lan©tpde'-s]on  emlmufb'ÙÏ&jpour,«y.  
 dope  pjjL  autpi-t 
 qnirta.wn^? | j R I e  Nord£  
 dpâns  lè 
 ^ y f e ^ i t i  nuoipp là 
 audapgë plkl|^sÆ|)rdéfs  
 qminpus a c foigne iji -ni+.dc  la  Æ pÉ 'A -  d  tpendant 
 la}.a;tger] d ^ ^Æ ^ i^ o u r  en  distingaélèjà»çobstlte^Qn  
 générale,  toute pette  pai tie  \ù q^sè 
 reprodu iré^{citj-;isteh^aeau dptcbiès.de  Ainsi, 
 coinranéVJpàr:J tk   ftuu>,  ttprc^fe^p ai  le  cfêsM|£^»-ejoindre;\le  
 d ^ ^ ^ ^ g j nouynepûmekpaS’ donner à <progpartiè- de ■ iio^ ravàux  
 géographiques,tout  fojeinqs quf®aurpiçn^t ( xigt |mojUS,nG)u^>eon-  
 tentâmes  dé  feircJ^rjsij. ^em^ns  nécessaire s  pptu i ja f^ b rm t i^ d e   
 « C a r te   manuscantplHollandwisc,, qui, nous  avoit  été  confiée  lo r s ,  
 «g -nqt>re  dé^ârt  d’Europe  ,  et  qui  ^cômenoit  Mg]  errë.fus^; trèsi|,| 
 L e f e ét'le  9  juiÛet^no^etion  iri.\ui  (h -  ih  de  1  </i ( '/>/’ /  
 et, ,dg^dÉjrofiomsViX  lesquelles Pelsartù|mi naufrâge ;6n, 1 Ù42..9. db©jus  
 recpnnoître  que  lps  îb sajSfcs j^brOlhtWja^oipnt îètq  placées  
 trop,au  large  de  la  tèïrefjferme  süfdè|i4 artès}Àm| nous ‘a\pi;ent,qtp  
 remjse's  elles  n’^ lp a foiss’en^  j>a^ .éloignct'' 'fl’e  plus  deLBpheuts,  
 m)ù|mussions  deSnl4ftRSserv^hrjét{slles>-Çt  le  çoÛ34^n4ftt-^])oür.déter-iî|  
 miner avec  exactitude  l’espaçe'Æuj-||è^;-sépare;<-mais  less^eptss étant