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 bientôt  ii  lia  sompropre-isoMrlr seâtoi .dune-  femme  4e-isa  pation  
 et  de  Sa  religion,  déportée,  comme  lui  pour  des  causes  infa-  
 mantes-y mais  ramenée  de même,  par  i’exihet; l’infortune, a. 1 habitude  
 du  travail’,  en  même,temps  qu’à  des.moeurs  plus  honnêjp.  
 Soutenus p a r  les  secOurs-généreux.que le G o ù v em e ap en t.p r# ||u e   
 aux  individus  qui  se  comportent  b ie n ,  les  deusmépoux  ^ p r i -   
 chèrent  efroeommun  un- terrain  fertile ï-'ilèurs mains  eHv.tr^gpfent  
 péniblement  les  premiers*  -%illops -j  mais .'des  récoltes  abondantes-,  
 devenue#4e  prix  demes  sueurs ,*ne  tardèrent pas admettre lap etite  
 familie à l’abri de.s besoins physiques. AlorsdVL L a r r a  y portant une  
 partie de  son -industrie  sur  d’autres’ objet#.*  appliqua seaîpre^i|^es  
 économies'à  dës . spéculationsmommerpiales,  qui dpi  réussirent  au-  
 delà  de  ses  espérances-.  Insensiblement,  et  par  le a ^ o fe n s  je s ,g |is   
 honorables,  il  a  su  tellement  accroître  sa f o r tu n e q u ’il lejMggiié-  
 ralement  regardé ' jcommed’tin  des -pliis  rifefoes, .‘propriétaires- de-la  
 ■]Stepvelle-Gallés ;  et la  régularité  ddJ#8sJ.mçeurs,dihoBnôteté do son  
 c a s c tè fé   ^ e tu é l,  lut Ont  acquis  -uum, considération  .reelle  Pu^es  
 des  principaux  employés  civils? et  militaires^de  la>cpipnim r->'  
 Bien qu’à proprement dire M. Larra neniénnepas-upe^hâfé^ie  
 publique;- c%t cependant chez lui que-wnt de.scfendrétouté&lfesper-  
 sonnes les plus distinguées  que leurs.afla'iresappellent a Parrpmatta,  
 et qui désirent être  plus libres et mieux servies,  En nous adressant à  
 cet homme ,  JV1.  Paters on  luigvoit’é c rit,  à notre  insu,  de  1%'U-s  
 tra ite r avee-tous  lés-soins  et  tous  les  égards  qu.il  pourront ^avdir  
 pour  sa  propre  personne, 'lurrecommandant-raussi  de  n’^&pepter,  
 de notre part, aucune espèce  d’indemnité*. .Çettp recommandation 
 ?  Malgré cette  lettre  de M-. P  AT ER S O N ,  
 nous-  fîmes  tan t  d’instances  auprès  de  M.  
 LARRA ,  qu’en  qualité  de  è.dmpatrïôte,  il  
 consentit  enfin  à  recevoir  dç.  nous-mêmes  le  
 prix d.e son hospitalité; ce dont M. P atérson  
 conçut  un  v if  ressentiment  contre  lui.  Pour 
 nous-et notre guide, il nous en coûta 14poupds  
 6 shillings [343  Iiv  4  sous  tournois]';  èt  cptte  
 spmnie ne paraîtra pas  trop, forte:1, si  l'on considère  
 la  maniéré ;spn3ptu,euse  avec  laquelle  on  
 s’étoit, bien malgré nous, obstiné à ridüs servir  
 pendant toute  la  clprée de  notre  séjour. 
 du 
 du4Ereutênant%^mYërhèhp'gé®Éral  produisit un  tel -’effeübsur  notre  
 h ô te ,  que,  durant;-les"'#i>x  jours , q > u e ' P a r r à m a t t a >   
 Bous.y t hàmes'-eôliêfamm'ént  sehvis ïàvee mite.  élégance  et  même  
 ffvfee--'Mmiùxé»'que ^-jamais!  nous  o’aii#mhsWu  pouvoir ï éxister-'sur  
 %&s L o rd s , tsk no^-inten ^euséiOnsÉëéYvl’objet.mÊè^ meilleurs  vins  
 4 e Madèréî,  de Mérèsi,  dmFôtjtby  du  Gap^èteSêde  Bordeaux,  parofà*  
 soient)#)seï|stés‘ùir!4notre  Æblè'"^tt%ttks^«^^>l|!Mbês?féloietk- en  vais-  
 seHetpl-atmé  -‘touchés,  virres^,‘étoient -<éè  t r is fa l, 
 et  la* bOnne ’oherêllÉfeoi#à #^feh'âêv Àtteh&iFhMieviïier js podr 'ainsi  
 -dire5“*,  t- deU  ‘L aMr Ah .n OüsHf t ;11 ou j o uns 
 françèise4P*uneU’j-^/fgalahferiebiu^fétOk*  d’autant 'plus  
 faeHey^qub;  parmi  lësftoOfiv'k'^^'U^  'aH^fembez'riui. poOr-'home'^  
 %rqte*;ï  ïhsë.ftrdüvoit  im-Uexeebenfc«/èM-smiôri,de*  Paris y ;di«ri>*jue  
 déux 'aut^è^’^éuneBf^ènstde? nottife^'üfatiom  trois* malheureux 
 nous «plfhrenfr-pënériftsîfde  rsggrêetsvSt,*!&feéiifëf Æs'v:kii  étoit 
 yàs'de'même** UMimutre FrânçOis5,  n©mméîM”0RA%'i>;ÿqtfi#dilraeU’-  
 tGfk'*à^S^djiéy -T ow n , -~4l   dont  l’htsÆofire ' est>dkill,(ÉUife;s|as#ezlesîm 
 gulfè%ë*%é'4f' ^qti’elfë .mérfïe^de* trouVm'rpkeëîMc^t|fe^ m l  %k}me^  
 'disOa-ttf -rl  , 1 
 im ? “InîM^êe y&'ûdmi il  racontait feouf  aventure '(av^ïe^èusOAé dfe  
 eô'fa-fMêisanê^ét'#orgneil'que peut8s@ul d o n n es^  fanatîsine-'l'e É§Ë  
 -extravàgànt«m 
 rMscc.teEaf' ’guefref?^^^àOTt -M^RAiNDj  «  venoit  d ’éclatfeS en%é  la  
 » Grande-Bre tagæfèîl0k  *Franfcç gdfeifé^ëst’deS-deux natiéîî-^étO'teht  
 ->y a'u>xpti3ésL‘imàis’lil,me pHr®iÉ^'i»plus'.fecHelde détûüire 'nOtr@rivale  
 h  par  les'fmanfgà quèpar lês^rniesfUé^ôlus don®*; 
 »  dé  me'chai’ger ‘ Üfe-'^eéffeîtfainl^et  de-’la  ôpîisomiiîêr  au  sermde  
 » Londres-nlêmè?  Si j’atoijs réu#^i1té%riOrt-ibaveeeê^housiasme ; la  
 -SS  Francë|m'qû-t  dfèss’qtÇs ^ e t t e L à   qu'^fe-t-il  t%iid  qu^h lied  
 «  dfêtre -traité homme un' brigand,  je'n’aie ét’éfproclâmé le vengeur  
 f   (le ma patrie  !  A  peine  àrWvé''*éh Anglêèèïrë'j  je^^lnnièhjli mfès  
 A opcrationsiyfèli©# réussirent  au-deJà-\de  touteitèspémnce: 'Secondé  
 T o m e   i .  "   '  p f f