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 O B SE R V A   T IÔ B s -M É T É O R O LO G IQ U E S .. 
 ^  E lles p a t  ét.é  faites  avec  des  thermdraètrps* de D o l l o ND  et  de  
 M o s sy ,  des  baromètres  de  ce  dernier  artist^. ét>,dîÊ|fepgî'oniètres  
 à  cheveu  double,,.de  R ic h e r .  Tour  les  rendre  pluss?Çiôntp£rablés  
 entre -elles &£  m’astreignis:;- dès  le  commencement  de  notre  navigation  
 ,  >à  les;-répéter  quatre-  fois  par  jpur,  aux  h g üiies.p^^ip I us  
 opposées?,^q^ft-à-dire,  à-six  heures  du matin  é t, du; soir/ à  minuit  
 etalmidi,  toujonrs^en  plein  air  e t . sur-la  dunette  de  nôtre, navire,  
 quelque  temps  d’ailleurs.quil  putjfkirné .'Cett-e  première  série5  de  
 mes  travaux m’a  fourni  les résultats  généraux -spivans 
 A.  Thermomètre. 
 i  r °   La|températurelÉtoutes ‘choseSTégales^d’ailleurs ^s’élève; pro-  
 gressivemenr-à mesure  qu’on  se  rapproche  de d’équateur. 
 -   2.0  Elle s’abaisso progressivement ^m e su r-e ^ u ’orid^eméloigne.  
 ïî«l j.°sfet^5roportioÉs  de- son-élévatipfiVèt-deîsôn  abàis^paentlde  
 sont pas  égales  dans  l’un e t J ’auîrohémisp'hère, -le, terme-nroyeiat'de  
 la  chaleiméàns  l’hémisphère Austral  ayant é |^  plus fb'ible^qUe^pbûr  
 lespiatitiMe#tBdréâléit^ôjTèspondantestKl'î 
 Toutes  choses  égales  d’ailléûrS,  la  températüre^de'l’atmos-  
 phèfe  entre  les  tropiques  est  plus’èfoiM'e  en  pleine  mer  que  dans  
 l’iniérieur  des  continerfs  ou même  des  îles :  nous n’avons pas edèc-  
 tivetriént  éprouvé plus  de  2^;de  chaleur  sous  la ‘ligne! etde  terme  
 moyen  est  fort ^au-dessous  de :ce  dernier  point. 
 y,°  Lès  variations  de  la  température  deviennent  d’autant  plus  
 foibles  et  plus  rares  qu’on  se  rapproche  davantage  de  l’équateur,  
 et  vice  versât. • 
 6.°  N on-seulement  les  variations  de  la  température  sont  peu  
 considérables  d’un  jour  ou  même  d’un  mois  à  l’autre;-entre  les 
 tropiques 
 tropiques- et  en pl^ipeéner, m^-is^gW^^ânsTes temps  ordinaires,  
 il yàllf|en:de difPéf'en ec\entrc Ji«température du1 jour prise  à  f  ombre  
 à midi,  etpeelhl-de  la n u i t q u a r a n t e  ’observations  de  
 ce^genre,  faige^du  22  povembre  au  f^^dqc^mixce^ii 8(®i<U,  m’ayant  
 -fourni  une^somme dotaîp*^9'p^p°  de  chaleur, midP seul én avoit  
 îprqdüaU-,^3',  et  m in iû ^ jé a^ ^ ç e   qui  ïar&.A  peine ..un  degré  de  
 rd iil^ i^ fô ü r -  Ghaqnè.|^p?,dhén^mè'ne ‘d’autant plus remarquable,  
 quoiivsak,  par"-!cb$kpcnén'^^it^tÆÏELm^ 'dê^BÈZE,‘de'PrspN-i de  
 Haekey;4M%LrsTER,|J% 1   quffi^ddFeren^do  chaleurrdù  jour  à la  
 du^EM plusrgtfande|,dans> je^i iCgid^b|[^dtoriaIeM|tf  térre,  et  que  
 no,us  mêmes ocGçtsibn  d’enV^gpQÿier plusieurs exemples 
 qui  nous  sont propres.,.. 
 B.  TlMMnièffèyï.\ 
 N. B.  €|e|pit poui  la nteinièwT]>i*s  que  ^jra^èi|^i&'s^ura|fi^ftayprsoit  
 V ^îesï SnjpfsvVmVpotfv'dit ',croire^^K^al®sKfic',^n|?eïKer\ati<)nk roqrniîoit  des  
 *r  'ré->uJt<ùs  e?j),uw<^};(.foientJi;ietylioiicLéesï%‘ 
 y .° .T o u^ ^ ç-to^ ^ ^ ales  d’ailleurs,''  lijig<^ômètre  indmfe’unc  
 p ro p^ iB ^ : d’hpmi|litçJ, d’autant  p l u s / - q u ’on1  Sé  r;apprqc:h,e  
 davan^gjîjtle  ljé^ùà^'r;:-5;.; 
 SAsLa  proportio» aifeolue  de  l’humidit^^oe^^^r^uejpafôîp  
 'devenir  tfàutant  moindre ,  qu’on, 's’élèver dky|Ëtagè.  vjtf^  l?un  ou  
 l’autre  poléïA'; 
 •  9. fJÊ ePvanâtÎQns  de  l’hÿjgromètré  se*  montrent  d’autant  plus  
 rares  et IMillifoib;legj.■'qûVmofôérve’ é è t  instr-uritent' plus, près  de  
 l’éîjuatedMj  et :vfç%;v.M$0 ^ 
 ,  1 o .0 L ’hygjSrnètre ,;au milieu ‘dêsl^©gionskéquatoriales|s'è4soutient  
 presque  habituellement, Afé tat  dé  sâturk'tiôn  èxtrêm'e.  . 
 C .  Baromètre. 
 i  i .° Le baromètre ,1toutê%chds,qs,Aégales .d’ailleurs,  s’abaisse d'autant  
 plus:, fqu Qn.se,rapproche,  davantage',  de  Kéquatèur:  , 
 TOME  I.  è ’; ', '  ’  '  ■’  .  .  „  ,  ■'  E