
 
        
         
		mais  bien boisée;  elle  paroît  êjre  entourée  d’une" belle , plage /de 
 sable.  - 
 En général ,  la  forme  de  eëS  terres,  la viguêurdç la   végétation  
 qunleSTouvre,  présentéîit  le feon-trkstê le plus- frappant avec Ie|o[  
 abaisséu&férile  et désert  de  la Nbuvellé-Hollande, 
 Le  a i  septembre,  nous  fîmes  route  au-'Nord  de  Rotti,  pour  
 donner  dans  la  rade  de  Çoupang, A  six  heures  et *un  quart r p^u§  
 étions  assez  près du mouillée  pour y  apercevoir un navire § trois  
 mâts; àsept  heures  et  demie,--je  fus  expédié "dans le  grand  canot,  
 pour prévenir  le Gouvernent dp but  de  notre relâche, J eîe\^Âja  
 à quelque  distan ce;dud?âtrment,  lorsque  feçiy-is-' venir  de  Iatterre  
 un  canot, portant flamme  e t pavillon'François; ibéç®®£  con^andé  
 par  mon  frère,.: P   j  d’appris  alors  que’ le  ‘Uêügraph’ se1 trouvpit  
 depuis  un mois  à Coupang, et  que, depuis I’instant d.è'notro^épa-  
 ration à la  baie  du Géographe, on  avoit  eulès>nquiétudëM#^l?us  
 vives sur  le  sort de  notre  corvette. Enfin, à  une  heure  de  i’^pïès-  
 midî,  nous mouillâmes -à peu de  distance de notre  conserve„.  .  .  
 Ainsi  furent  réunis,-et  pour  ainsi dire  par  hasard;  deux  bâfimens,  
 qui, destinés"!  opérer  toujours  de  concert, ne  durent leur  l|i||n e   
 e t nuisible  séparation,:  qu’aux  feux  calculs  du  Chef chargéffie  
 diriger  leurs mouyemens  communs,  . 
 LIVRE  III. 
 n i f f f lM O R   AU  P O R f l À C im N ,   i n c l u s i v e m e n t . 
 - « C H A P I T R E   XI. 
 Tr^vers-ge-sde  TM îçr  au  cap  Su d   de  la   teru.  de  Diémen.  , 
 -rtEhaTfe^BvejriiArfcliisijy  -an M Æ jw .p r  -jg 
 le  chapitre  y ,   que  é ^ /t e   début  de  son  
 |.|r0tre^Gornmandant  ayôifc^tèæyfrtille, plan  génétad. des  
 o;yfeIi@ns.;Æ]|<a&e.s..par fe^Gouvëlnem&t ;  qu’au liaoedaller doubler  
 le .cap  Sud,  il^étojL0Mnik.  reconnaître  e^lui  de  Leutyin,  et  qu’il  
 amjt,. emploMîJteite^ga p ,m m ^ ^ Ç ^ P ^ F ^ w^4*ter E  co te  N., O.  
 (%J| J^èfEgfç.Jle’Moliiande,:  la-marché  naturelle  deseVénemepâ ;0t  
 fejsaisrons  nous  -rappeloit  donc  à  l’et^émifétméridionale  de  la  
 .||f flM ^ D iéoe |p ;   et  ce  fut  en $$^wsrs;*ee  jpbkt que.paous  nous  
 dftgeimés  en, partant  de  Timor.  Contraries- lbngHempIvp^rS le's.  
 calûië||et;par  les  eûmes heaueoup-de  peine  .à  doubler 
 bgC^p Leuwin;  n ou sy  parvînmesî'Çppendant vers les premî|É' jours  
 dCjanvier^jàlla même .époque,  imus.;fûm'ês?aCcuèillis„ par des  vents  
 foM^s d’O . O . ,   qui nous portèrent-avec  rapidjtélsUr  les  côtés  
 Abstraies'de  la- Ærre  de  Diqmen  ;  e t  le, ï 3 "janvrerV nous  eûmes  
 la première .vue  des  pitonslbrumeux  de  cette .grande  île. 
 Dans  Texposé  isuecinct  que  je  vais,  faire. des  principaux  ëvé-  
 ner&'ens  de  cêtte pénible  traveîséée, j’ai Cru d e v o ir  itisfoter davantage  
 ^   les  animaux  péfagiens  qui  nous  ont  apparu,  parce  que  leur