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 que  d'éloigner  leurs  habitations: de pess'hords  dangereux-^ ou  de  
 les  établir  dans  les  lieux 4es.-plus  élevés1  eu  les- plusM#acdessibIes  
 aux  feux. Malgré  cette-  double  précaution / ld$:Q*d‘tivateur&-riv,e-  
 ypin s   dft  rHawkesburry sont  bien  loin  de p&çjÿgRt  à  1 çJbarr de  tout  
 désastre : (et  comment  se  flattbr,  en  effet,  d échapper  toujours  à  
 des  inondations, de  8  3!  et  fflême  16  ^ ^ ^ [ 2 , 5  ,-3 0 ,4 0 
 e t -.5:0  pieds]  au-fesus-du,  niveau  ordinaire  .de  la  rivière,  à ,des  
 inondations  qui  n’ont -aucun  srapport  avec  l’ordre  naturel >des  
 saisons,  et  qu’on  a  vuesÆé-renouveler  jusqu’à  onze  fois;.par;an.  
 Ces dernières circonstances méritent de Æxer, plus particulièrement  
 nos  rechercheslet  nos. méditations.. 
 T o u t le monde  sait/que  dans.les;-dimatséqu'aroriaux,  lannée^se  
 partage  en  deux-grandes  saisons,,  celle  de lariécheresseqtmelledes  
 pluies  : cette  dernière  correspond à. i’époqueloè le ^spfoijpfrri^dé  
 l’équateur au tropique,- enveloppé-;!pour ainsi-dire-, de^îvap/e^j que  
 la force  de: ses  rayons a soulevées de-la surface des m e^.jeJ?qïé|ise  
 rés^v an t sans eessçeiytorrens, se troiBieaifrrenîpfoo4es‘sa®iié^^Par  
 de nouvelles, vapeurs. A  cette é p o q u e ^  fermée,  toutes I ç ^ i y ^ s   
 ge  gonflent  et  diiibrdent sur  ieafcampagnesf de-grands  
 terrain sont ensevelis  sous leriêaux;  1 âirdulftnénxe <CÇ$Ç rènapliffurife  
 humidité  chaude  çt  dangereuse; le s .m a la d ie s-^ lw e n ê b ie n tâ ^ p p   
 une violence  inconnue  dans  nos  climats'moips  artiensu*.  
 déjà le soleil.rétrograde vers feu tre tropique/Traînant  
 vapeurs/lesibrouillàrds,  les, torrens net d’humidiÉé< A lô fe | pour .fe   
 régions  qu’il vient de quitter, fetmbspèèré T épure  
 ^ co n solide/lescriviëes,rentrent dans  leur lit  acco.utumé.yda-%é-  
 ta tio n s e   développe  avec  une  activité  d’autant  plus  grande ,-ique  
 la  chaleur" humide a   distendndes-feîssea»*  e t  ramolffde  tfssw.y djès  
 plantes/Dès effets  analosg^oonçiHêupoûrieT-aniüiaux;  ie#r#>ie  
 languissante  se  raffermit,  les  .épidémies  cesseîff, , et  1 homme  se  
 trouve  à- la-fois  rendu  à  febondancè  et à- la : santé; 
 Cette; 
 ■  C e tte  esquisse vapidede la .mapçJie .des.•saisons dans les pays  équatoriaux  
 ,iconyient encore à,ceux  qui sont voisins  des  tropiques ;  et  
 du-sqife -la .hauteur d e   3^0  .et m ém e d e q i   degrés  de  latitude., .tous  
 les  grandsphénoEg^eSjdj  la mét^^olffigie .-affectent pjjus,ou ‘moins  
 la  suGpessjipn,xgégulièpe  dont  nousjvemons  de parler,  
 i  -Ces prinpipes étant  admis,, dlfllp^jpit pas  extraordinaire que  le  
 •çornté ^de  Çumifeerland,  quj  se trouve en-deçà  du  g^jAjdegré 4e  
 latitude  A-ysfcrafo, ?futrexp.osé  à  d e s  débordemens  .considérables ,  
 -si %^car-aetère  meme -de  ces  (déb^rdemeps moffroit  lia  prouve .la  
 plusdridentequ’ik-nesaur-oiept a v ^ p o u r  cause Je (grand ordre .des  
 saisons équatoriales.  Dans aætjjOrdxe,,, ç n  j^ffqt.,  tout est  immuable ;  
 les(,pfoi^,^^lçs^^datâp-ng ont,,Le.ur  époque distinct p-et  précise,;  
 ©m pey,t  les  calculer,.etdes  prévoir ;dllss,m’©nt  lieu  qu’une  isgule  
 fois par an,  et ne^e -renouvellent jamais -dans ides .saispps .opposées.  
 II  men estipas de momie p ou r c e  qui  concerne ,1a rivière .d’Hawkes-  
 hurqy ; -car  l’expérience a d’éj^prouvé., 4,/jquedesdébprdemens de ce  
 fîeuye  singulier, iont  indiâtipçtgipent,  lieu  a   tautgs xfes,..époques  .de  
 l’année ;  .z.-°que le nombre,de  ces déhordemens peut.varier par  an  
 d ’un-ou deux:jpsqu:à pnze, .sansqu’ifeoit possible ffapp.orter aucune  
 yaispn-senriMe^dç ‘©ette  différen&ga  3.° que igjpsinondations p rodigieuses, 
  p’ont  asu<nm  rapport,ssoit ayec da  constitution  ,de  l ’atmosphère,; 
 soit  avecria  focoe  ou  la -direction  .des  vents ; <4-°  qu’elles  
 -sont.,  iî  -qst -yrâi.,  précédées,  souvent-  par  de  violentes./^empêtes,  
 ruais-que-ces .tempêtes  elle^mémes  peuvent indistinctement  venir  
 de  tous djes  points  de  - l’hor.kon,  sans  que  leur  influence/aur des  
 inopdatic^s/en  paroisse-plus  ou moins .grande|^r 0que momseule-  
 -mJfft£,es Inondations >n’çmt aucun rapport, général  aveeda marche  
 des «saisons et  la p a fe r e d ^   v.epts,  mais qu’encore »elles me  gardent  
 entre elles  aucune  espèo,e„d’.ordr!epaiîtip.u|i€r  i  -taanèf^en .effet,.six  
 •mois  ser sont écoulé%d§p  qu’il .|q,survînt -aucune, ttamsat i©n  ema  
 yujju^qu’à «trok^t,,-même ..quatre -dans  un mois,.  . 
 donc  déduire da çonséquence,  
 TOME  I.  H h h