
 
        
         
		« montagnes  primitives ;*les  granits,,Les  porphyres,,  ies  gneiss  on  
 schistes mteacls,,  constituent  efFectivenient  la  plus  grande  partie  
 »  de  ces  galets» confondus d’ailleurs .avec  des  s chis te  bitumineux, 
 »  des  grès,  des  poudings,  des  brèches  et  autres  roches  dorigine  
 » secondaire. p g l  diverses  substances  primitives  dont  je  viens,  de  
 »  parler, ne  se trouvant pas ailleurs que  dans le  lit  de  la rivière,  on  
 »  doit en conclure,, sans-doute,  que  les montagnes d’où elle  tire sa  
 »  source  sont  elfes-.mêmes  d én a tu re   primitive  tQutefois*fes  
 »  recherches .des Anglo.*  n’ont  pu. lestconduire  au-delà, d e rm e s   
 » ■ de  gÿès  qui  ferment  les plans  les .plus  avances  dgsr montagnes, 
 »  et  qui  s’étendent  jusqu’aux  rivages  de  la mer.  ~^  ^ __ 
 »  Contrariés par  les différens  obstacles  qui’ supposaient a  notre  
 »  navigation  ult&feurii r  dépourvus  des  moyens nécessaires, pour  
 »  nous  enfoncer  dans  ‘des  forets  qui  ne  présentent  ni  chemin m  
 »„ressource d’aucune  espèce ,  nous  npus;décidâmes  
 »  èt moi,  à  reprendre  la  route  d’Hawkesburry.  La  rapidèté  de  la  
 »  rivière  nous/servit  merveilleusenaentrà  notre  .mpear,^ et  
 »  eûmes bientôt  franchi  les  bancs  divers de  sable  et  d e ,% he s .q u i  
 »  nous  avoient „arrêtés.  d’abord.  Nous  fumps .toutefois, redçvpfjS  
 »  en  partie  de  cette  feciiité  à'une  circonstance nouvelle H  dbnt  
 »  nous  étions bien  éloignés sans doute  de soupçonner le -pon ç^ s .  
 »  L a  marée montante  avoit  élevé -ies.eayx  de  la. riyfere.|dfj.S  é p i ’  
 ^.mètres  [u n   p ie# } ,  malgré  la  distance  de  pli%/e„d‘0 j| rp '} e s   
 »  où  nous  nous  trouvions  du  bord  de  la  mèr,  en  m i r a n t   
 »  toutes  ies  courbures  que  fait  FHawkesburry .dans  son  ço&frfoEfe  
 »  cette  observation  ,  il  résulte  que  la  difrérence  detmiyeau  entre  
 » je   pied  des Montagnes„.bleues  et  le  bord  de  la mep m è j^ s - d e   
 » plus  de  6 à 9,décimètres [ »   à  3  p ied s],  attendu  que  l’élévation  
 »  dfesimarées  au  port  Jackson-est ordinairement de  12  à  16  peç> 
 »mètres  [ 4 ou-5  pieds-,].:»  "  ♦   .*  .  , 
 Après  avoir  exposé Jes.principaux  détails  de  son excursion jnteressantc  
 M.  Bail ly  résume  ainsi  les  résultats  de  ses  recherches  
 ■  '  '  .  "  •  '  ,  ?   o*!f ,  et 
 et  ae  celles-  de  son  collègue  sur  fes  produits  minéraux  du  comté  
 de  Cumberland  * 
 iiiilWépemdammenf  du grès'qMtàt%wx> que nous avons dit  former  
 »  tout  le. terrain :quLs étend  du  bordd è   la  itier  jusqu’aux  monta-  
 »  gneâiMë'Jl’©àe’sh^1ô tf!trok%i  de1-grandsî espaces  A’\miermin^hkh-  
 ^ teu x 'Pmais Celui-Ci  n’ësi?  quesfeiiaïiidaiïe  relativement au  premier,  
 £ "soit par  la  place  qu’ilc^cteupe,  sMr’par‘3^ii»posirion  à  la  surface  
 1Ws^c€*&h,ës #egrç£ ipÿfi' reCouvre  par-tout. 
 ' tb  Cë^gi^èlA^s^lifâ^s^tl'ïn^disp’GèéSi-e» couches horizontales,  
 -*>  ou  du  moins  trêL-ftppéôÇhéf^de-'>ce#e  'direction  :  tantôt elfes  
 ■ pront  une;épaisseur"de  pMsàés®s’<mèéiiës7j tant©.!  elfesfout* à  peine  
 ^ "quelques hnlltfenètres  'ordinairement <elles|  sont  peu  adhérentes  
 »  entre*''‘èHès^tît Sestéparent àvèë 'rfikpMftéfeh  
 I ' D ans  on|-tf®tlvfefïfjÊjtêMÏs  ouvenrfdëkïcav^éfoplus  ou 
 *>  m 0 ins'grandes,"tàpïiséës ƒ à la manière «feègéfrdès*  par ume4fipp|§  
 »  &  'fiëi'bxMé^lîémtàitti^ÛÈé.^'fëx^à.% -'eaux,  et  diéppsé ensuite  sur  
 »  lès  pardjfe  Èayîté^âbhc ik ’s-’àgit'.  • 
 dÿ ms^b'aii'tfS'tl^lgrls lérdfe s.cft tacts que nous-venons de décrire,  
 fepLfêë la xAuche  dè* terëèiÿeÿikâli } qu i , peu  profonfevers le'bord  
 »‘Ide  la-mer,  le  de#ent ■ davantâge4'à^rhfesMre  qu’éîUs’enfonce*idans  
 » Tinférieùt  dtefyterfes,  et  quis| vsur n | |  iriÿes  de  FHawkesburry^  
 i» a’Ch’ù'têj'f Unfe 'grandë 'épaiÉfeUfêA 
 « M ,‘-terie^#l&fe''nfe'êt'pas  làfseuleîsuhstarfcë'-'qurparôfes^taÆHr  
 ^ ë t é  d é f i é e s #  lè#foouches'?de-grès^  oh y'trouve  aussi4  des 'battes  
 »  ^Uhé^rgiM ferrugineuse  très -ScOttl-pactCy dont  on  fait  de  trè's-  
 »  boftheâ  briqué®. 
 •  il  Baiis  d’aùtfèS'fendrôftc,  et-|ùr-tout  aux  envirofrs* de  'Sydney-  
 m To^vri p  sur  la  route  dë^Pàrramatt&>  ai  existé*  d’autres  couches  
 »  d’une "argile fianthâfre  'mêlée- de  quair*de  'Hnlca,  "et^d’tâüe  matière  
 fifrugineUSe  qui  pztrdft  "être  du  fe r   'çarbd'fâ.  ^Ch  mélange  remar-  
 »- quable!y iq û ’on  a  comparé "hfe'qur  ne  ressemble  pas  mal  àmne  
 b "HëdofepasitTon  granitique',  a'èè^^dêcrît,  H  y 'a  quelques  années., 
 :  TbME  I.  -   Kfki: