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   &ç.  viennent  chercher  leur  pâture  habituelle. 
 Après-avoir  ainsi Complété  la  reconnoissance ,de  la  grande „baie  
 dé  l’Est,  que  nous .appelâmes  Baie  Riédlè,,  en  mémoire  du ^naturaliste  
 jèstimable  que  nous ^avions  perdu  précédemment  à  TiïnÔr,  
 nbus*^débarquâmes  de  nouveau  sùF^pleypOur  y  jîà-ssenla  nuit^ét  
 le  lendemain,  ,2.0 février,  nousspariimes,  à quatre heures dumatin,  
 pour  continuer notre  exploration  de  l-fle Maria.  , , 
 •  Après  avoir  doublé  la  pointe  Nord  de  la  baie  Riédlé ,èjnêus  
 vîmes  la  terre  courir  à  l’Ey N.  E.0  jusque  par  le'.travers;*d&sap  
 Mistaken *A  x^îqŸm e.  le point  le  plus, oriental  de  file.  De  qap  
 jusqu’à  celui  du  Nord,   la rcékpi affecte  la  direction,-^‘eî  1- O î^   jp.  
 Toute  cette  partie  de  l’île,  comprise-entre  là vba*ie-fdeJd^Çsf  et  le  
 cap  Étord *est  véritablement  effrayante'. “Là  *M^ent-,«de  
 parts,  des murailles  de  granit  de  3  à  4 °o , pieds:de  hauteuÿper-  
 pendicülaire  :  dans  leur  épaisseur  sont  de  „vastes  c a y em ^ â ^ p s   
 eaux,  en  s engouffrant  avec  fraca,s,  excitentTide^^urds;ïmè|i|se-  
 mens,4 semblables  au  bruit  d’un  tonnerre, lointain.  Par-toutpe  
 rivage  est  inaccessible  :  la „mer  y  r o u ledpgs t|fb t,s  turnu ltuet0.-;p e t  
 l’on  ne  peut  s’empêcher  de  frémir- sur  le^sor^1  des  navires  qui  
 S o ie n t   poussés  contre  cette,  c’ote  inho'spîtal1ère..’Une51 telle^cOns-  
 titution  dépend  sans  doute  de  la  situation  générale dplpkyMaria,  
 qui  se  trouvé,  sur  ce  point,  exposée à,toute  la  fureur -d’un,^lÈ|an  
 Orageux  et  sans  bornes.  Cette  présomption,s©.>oEange-pour-  a gp   
 dire  en  certitude,  par,la  comparaison  de  la-/côtepooidentale|de  
 l’ffe qui  nous  occupe,  avec  là  partie?.orientale Jqu&i^ps^^énbns  
 de  décrire,.  En  effet;  a  peine  on  a  doublé  le  cap  >Nprd;   qui,  
 du  nom  de  notre  ingénieur,  a  été  appelé  Cap^BouJUnger,  quelle'  
 so l<s’abaisse  rapidement,  et  développe.,  sous» 1 abri  de  lajCDdrreKe  
 Diémen, une longue plage sablonneuse, laquelle^: -continue presque 
 1 Ainsr nommé p*  le  capitaine -Cox, qui  ieooimnt 'Oystef’ji Bay  en pfyfyi ■  > 
 saiÿs interruption  jusqu’au  fond  de  la  ]fa|  de s'Huître s.  En un m o t .  
 tout proclanie  à  Ipltjlês- ravagés,de||i|^s:eiijffes yents,. tandis 'qu’à  
 l’Qlps’r tb ü t  annoncé1 lé" calme  ’deTa  nature  et  faction" paisible  du  
 teijftps.  . 
 Enrayant du  cap-^o^ffan'ge® sè<'|^^ëh^effi&epg^ssenrjQche,  qui  
 sèïfattaGhe‘à j’îlyMfinâj par amptjp^irieer^4%é©i6 -jdangereux ; rcfette  
 roche  est  p’|é^tfPé  d’un  gros  îlot  granitique,  peu  élevé,  stérile,  et  
 qui  ia i^ en t rp  da',tei;reîétllui  un|]|apaoejprati.cabl‘e SçùferrîenÉ pour  
 lej^e-|iÿè^inbàrcÆtic)i|’4 :tnq'fe  la 
 de ||k|pf dé  parler dç^l>am>  dtj  fi’Ujfi*  qui  taps^-pt  une  partie  
 de  la  baW^Riédlé|||  leur  étendue  .-m’a^oiii.  . £$.  îuàtà  èn 
 prolongeant  latjMffjçjyN,  »  jjmétpo§^#gétàfe. nous' 
 1 bf^’irent un.  d’admiration  plpsffjiéefp'n^]^.  Toute  là'sür--  
 -falp-dé^la mtr*o™Y>^t^dou\çru^ài di  giand< s  dnnn^bsSljjjk^ miijÉÉt  
 meme  qu’aMM bèrÉipb-up k|i^pe-i]|||Mqùe 'nplus»'pàr\,ini^4k/à  nous:  
 d^Mrrassèr, d’un  flc(î£çs. fî’ah ippîçlfu èé s ^sur  nqüs 
 noiïseS^nsIengâigé«;  .il  hwms-faihu,pendan 1  pfé?ÿc uis. hennis. lutter  
 contre, e&Msibguiilrÿ'obs^tèle..y!iM§ 1 >a|i<  Vg omp^É^ient 
 d’une se ujèfc-i>[i'èc>p.,'Je  L iu uy ‘pgantinu 1 *, le plus (grand ^'an^ doUk  de  
 t& s  les y^etaux péJagiens;ypUisqiàf-nbusjèn a\ ons mesure qwtlquès-  
 uns  qui  n ’ayoitentLp'as, moinsf de 
 [„ iffa o -! à',^|WQr'[)iê,ds  1.  Pour’élever  ces  Lp/sn rfaOc 
 desKéà|ux^;e|^pour'j|%}||^qutenir^; la4 Vr(^| c^mplctiè  un  mo> en  
 aussi  sipiplèi '^Ujeffiéace.'"  De  dy|àn|e§feen^  d-iya^âsU i’e.haquerJ r f e   
 produit  une  feui 11t\-assê!i{large,  dcn^jfe>'dé^^Sj»)rds ,i.gauff’rce  
 dans  tcfutp'^çn  étendue ,jet].d|M|  le  pétigte -p^r£'^,TOn|f .pi^1’  de  
 son  insertion àda  tigel  de  gjf?g$s§ :y^^tfy:^ÿysi;-ifoimeM'e 
 la longueur  defjÉ i1; 81] millimè|rè| [2. 'à  ^,poûêê^isjâji*un diamètre  
 de près de  27j"mi 11 im è tréS li|p o u^ e |p Iâp p a r4ie'"mo) enne  ct?pius  
 renflée.  Toutes'  1  t .'comme;'autant 
 deÿJp„eèits  ballons] qui  for<æ»j|le#)  jtiges-,à^lfele\g h la^stuface  Utâ<  
 mers^  ni--qui  maintiennent  flgs »féîi^es*  %ano,U||^|ur.  ^ 
 Mm  B   .